Mon meilleur p’tit déj’

Ah oui, c’est la crise! Crise de rire aussi quand j’ai vu le Wall street Journal pondre cet article en février 2023.

Pour les non anglophones : « Pour faire des économies, vous pourriez peut-être sauter le p’tit-déj ».

Mon meilleur p’tit déj’ est celui que je ne prends pas!

Le petit déjeuner serait un repas essentiel pour passer une bonne journée. Enfin… tout dépend de quoi il est constitué! Voilà 5 ans que je ne mange plus le matin. Et je me porte comme un charme!

Pourquoi ai-je pris cette décision? Tout simplement parce que j’en avais marre d’avoir une faim tenace, un creux, une envie irrépressible de manger vers 11h alors même que j’avais pris le temps de prendre un petit déjeuner.

Je dois vous avouer qu’il n’y avait pas de protéines dans mon menu du matin. Bref! Je voulais essayer autre chose. Certains appellent cela le jeûne intermittent.

Mais je ne suis pas un ayatollah du non-p’tit déj! 2 ou 3 fois par an, quand j’ai faim au réveil, je mange!

Et toi, prends-tu un petit-déjeuner le matin? Le prends-tu avec plein de glucides : pain, viennoiseries, céréales, confiture? Ou optes-tu pour la version protéines, beaucoup plus respectueuse de ton métabolisme et de tes besoins réels?

p’tit déj’ à la françaisep'tit déj' à la françaisep’tit déj etp'tit déj' et protéines

Notre corps est notre essence animale. Nous devons le comprendre, le respecter, faire alliance avec lui afin qu’il nous conduise là où nous souhaitons aller. Nous vivons en symbiose (ou en dysbiose) avec 100 000 milliards de bactéries.

La maladie commence par le ventre et le déséquilibre du microbiote, à moins qu’elle ne commence par la bouche, par ce qui y pénètre et, même, peut-être par ce qui en sort…  A méditer!

Si je devais me remettre à manger le matin, alors j’opterai pour les protéines. En effet, consommer des protéines le matin favorise la production de dopamine, un neurotransmetteur qui va stimuler l’éveil, la motivation et la concentration. La dopamine, c’est le moteur et son starter.

Nous avons 3 cerveaux

Nous avons 3 cerveaux et peut-être plus. L’avenir nous le dira.

Le premier cerveau est le ventre. Il est constitué d’environ 500 millions de neurones distribués le long du tube digestif. Et bien sûr des milliards de bactéries dont je vous ai parlé tout à l’heure. Une véritable usine à gaz!

Le système neuronal du ventre communique sans cesse avec les neurones du cerveau, au nombre de 86 milliards environ. A noter au passage que l’on a découvert récemment que le cœur aussi avait des neurones!

Mon ressenti est que nous avons :

  • le cerveau pour gérer les affaires de la terre, de la matière, ce sont les intestins : l’intestin grêle et le colon ascendant, transverse et descendant,
  • le cerveau pour capter les informations du ciel, c’est le cerveau de la tête,
  • et un cerveau pour nous guider notre action entre ces 2 pôles, c’est le cœur.

De plus, notre ventre produit également de la sérotonine : plus précisément, ce sont les bactéries gastro-intestinales qui réalisent ce boulot. La sérotonine est l’un des neurotransmetteurs qui participent à la gestion de nos émotions. Notre microbiote produit 95 % de la sérotonine totale de notre corps! Ce n’est pas rien!

L’intestin joue également un rôle majeur dans la défense immunitaire, puisque 70 à 80 % des cellules immunitaires s’y concentrent. Il est donc extrêmement important de veiller à la santé de ses intestins. Et donc de veiller à la qualité du carburant dont on le nourrit.

Libérée ou plutôt réconciliée avec la faim

Mais revenons à mon non p’tit-déj’!

Au départ, j’étais persuadée que j’allais mourir de faim. En effet, j’avais été formatée pendant des décennies : « Bien manger le matin est essentiel pour passer une bonne journée ». Tel était le dogme inconscient auquel j’obéissais! En plus, entre fin et faim, il n’y a qu’une lettre.

A tel point que, si je devais faire une prise de sang à jeun, il me fallait plusieurs semaines avant de me décider à aller au laboratoire d’analyses! J’étais incapable de sortir de chez moi le ventre vide.

J’ai donc commencé par prendre une boisson chaude. Pas de café, non! Car le café me dessèche de l’intérieur et me donne des accélérations cardiaques. Ma boisson préférée pendant plusieurs années a été un mélange de chicorée, basilic sacré ou tulasi, avec un peu de cardamome et de cannelle. Un délice!

Et, oh miracle! Dès le premier jour de ce non-p’tit déj’, je n’ai pas eu faim avant midi , voire même 13h. Et j’irai même plus loin. Cela m’a permis d’expérimenter dans ma chaire la différence entre :

  • le petit creux de 10h ou 11h qui n’est autre qu’une crise d’hypoglycémie et qui semble insurmontable
  • et la véritable faim qui est tout à fait résistible et surmontable.

La véritable faim, tu peux la dompter. Mais je n’aime pas trop ce terme. Trop Yang, trop martien. Tu peux dire à ton ventre qui réclame : « Attends un peu! Ne t’inquiète pas, je vais te nourrir ». Dans cette faim-là, le ventre se met à faire des bruits étranges. Après plusieurs jours d’expérimentations, j’ai compris qu’il ne crie pas famine. En fait,  il se détoxifie, il se régénère, il chante sa joie d’être enfin vide.

Mon meilleur p’tit déj’ avec mon ami, le citron

Et puis, j’ai aussi laissé tomber cette habitude. Et, depuis un an, mon unique p’tit-déj est un citron bio pressé avec un peu de miel arrosé d’eau pas trop chaude.mon meilleur p'tit déj' avec le citron

Ce mélange a des propriétés antibactériennes, grâce au miel, et détoxifiantes, grâce à l’acide citrique. Il booste le système immunitaire. Il permet d’augmenter les niveaux du métabolisme et accélère le processus de perte de poids par l’hydratation. C’est un des remèdes les plus bénéfiques pour lutter contre l’acné et autres problèmes de peau.

Et pour se détoxifier de l’hiver, chouchouter son foie afin d’accueillir les énergies du printemps, une cure de 21 jours de ce breuvage est idéale.

J’espère que cet article vous aidera à faire les bons choix pour votre petit déjeuner, les bons choix étant ceux qui vous conviennent en tous points.

Prenez soin de vous,

Agnès B.

 

Cookies aux graines de sésame

Pour les gourmands qui s’abstiennent du gluten, voici la recette des irrésistibles cookies aux graines de sésame.

C’est une recette sans lactose, sans gluten, et il y a même une option sans œuf.

Les bienfaits des graines de sésame pour la santé

Les graines de sésame ont une excellente teneur en vitamines, en fer, en antioxydants et en protéines. Le sésame est une graine oléagineuse, on fabrique de l’huile avec. Le sésame est donc riche en lipides et en acide gras essentiels que notre organisme ne synthétise pas naturellement.

Les graines de sésame participent à la protection des membranes cellulaires vis à vis des radicaux libres liés au stress oxydatif. Elles constituent donc un moyen de préserver l’organisme des maladies cardiovasculaires, de certains cancer et du diabète de type 2. Leur pouvoir antioxydant est rendu possible grâce à leur composition en gamma-tocophérol. Aussi, leur teneur en vitamine E pourrait réduire les risques de certains cancers.

Leur richesse en lignanes (= elles appartiennent à la famille des phytoestrogènes) a un impact sur les oestrogènes, les hormones sexuelles féminines.  Elles pourraient diminuer le risque de certains cancers en réduisant le taux de ces hormones durant la période post-ménopause des femmes.

Riches en fibres alimentaires, les graines de sésame optimisent le transit intestinal et jouent un rôle dans l’absorption des glucides et des lipides, ce qui pourrait influencer la baisse du cholestérol.

En bref, que des avantages! On aurait tord de s’en priver et de ne pas céder à la gourmandise!

Les ingrédients dont vous aurez besoin pour réaliser ces cookies aux graines de sésame

  • 200 g de sucre
  • 2 c. à soupe d’eau de fleur d’oranger
  • 14 g de levure ou 1 c. à café de bicarbonate de soude
  • 250 g d’amandes en poudre
  • 250 g de graines de sésame moulues
  • 2 œufs, à remplacer par 2 c. à soupe de graines de chia trempées dans 8 c. à soupe d’eau pendant 1/4 d’heure, si l’on souhaite s’abstenir de manger des œufs
  • 2 c. à soupe de ghee (beurre clarifié), que l’on peut remplacer par 2 c. à soupe d’huile de coco par exemple

La recette ultra simple, réalisée en 1/4 d’heure top chrono!

  • Mélanger tous les ingrédients
  • Mettre le mélange au frais pendant 15 mn
  • Faire des boulettes et les placer sur du papier cuisson
  • Cuire 10 mn au four préalablement chauffé à 160°C
Avant la cuisson!
En sortant du four!

 

 

 

 

 

 

 

Laisser refroidir tranquillement avant de déguster.

Hé oui! Je sais, c’est la partie la plus délicate :  résister à la  tentation. Mais sachez que votre patience sera récompensée. Car ils sont bien meilleurs à température ambiante!

Régalez-vous! Et donnez m’en des nouvelles!

Bilan alimentaire

Le bilan alimentaire : pour que ton aliment soit ton médicament!

coeur-legumes

Souffrez-vous de troubles digestifs? Êtes-vous ballonné? Constipé? Vous avez peut-être des selles molles, mal moulées, qui se délitent? Certains aliments vous réussissent mieux que d’autres? Êtes-vous accro à certains aliments? Faites-vous des crises d’hypoglycémie? Avez-vous des gaz? de l’embonpoint? des problèmes de peau, des boutons? des chalazions? des articulations qui craquent quand vous bougez? des troubles du sommeil? Êtes-vous fatigué?  Je pourrais continuer longtemps cette liste de questions, tellement est vaste le nombre de problèmes liés à une alimentation , à vous personnellement et à un intestin un peu flapi.

L’alimentation joue un rôle primordial dans notre état de santé, même si la pratique médicale moderne la néglige largement.

Les conceptions actuelles de la diététique restent, pour l’essentiel, fondées sur le seul équilibre glucides/lipides/protides et sur l’absorption d’un certain  nombre de calories.

Mais chaque jour, le corps a besoin d’un apport en micro-nutriments, vitamines et oligo-éléments, en quantité et qualité suffisante pour que ses cellules fonctionnent et et se renouvellent correctement. Et nous connaissons  maintenant le rôle primordial que joue la vitamine D sur les capacités de notre intestin et microbiote à digérer ce qui entre en nous.

Avez-vous répondu oui à une ou plusieurs des questions posées en début d’article? Alors un bilan alimentaire vous ferait peut-être du bien. Ouvrir les yeux sur une facette de vous-même que vous connaissez peut-être mal, votre ventre, vos intestins, grêle et gros : un bilan alimentaire, ça sert à cela. Accéder à une meilleure compréhension de vous-mêmes et de ce qui vous permet d’absorber le monde extérieur, votre ventre, votre microbiote et ses dizaines de milliards de bactéries qui le composent et vous permettent de digérer votre nourriture.

Un bilan alimentaire, pour quoi faire ?

Parce que chacun est unique  : nous n’avons pas les mêmes besoins en fonction de notre sexe, notre âge, notre groupe sanguin, notre activité et nos particularités individuelles. En gros, certains digèrent bien les oignons, d’autres ne supportent pas le chou de Bruxelles. Et puis parce que les intolérances alimentaires sont très répandues, méconnues, pernicieuses et silencieuses, contrairement aux allergies : elle ne se manifestent pas forcément dans la sphère digestive, mais par des signes qui peuvent sembler très éloignés (éruptions cutanées, fatigue après les repas, tristesse, dépression, rhumes à répétition, otites…).

Et comme l’écrit Sophie Guedj-Metthey dans son livre « A l’écoute de votre guide intérieur »:

Parce que « vous êtes actuellement dans un passage vous préparant à l’émergence d’une nouvelle dimension où très concrètement les particules de lumière présentes dans votre atmosphère sont plus intenses; et cela amène une désintoxification profonde. Tout ce qui touche aux structures sur votre planète, les structures de votre société  et aussi celles de votre corps va être amené à vivre des transformations puissantes. (…) Et vous vivez également ces sursauts à l’intérieur de vous, dans votre corps physique. Tout comme la terre, tout comme certaines populations, votre corps ne veut plus accepter les traitements qui ne le respectent pas. Ainsi, il y a des sursauts au niveau de vos cellules, qui se mettent à rejeter des toxines et certaines formes de pollution à la fois intérieures et extérieures qu’elles absorbaient depuis longtemps déjà. Votre corps vous signale plus vigoureusement qu’auparavant ce qui ne lui convient pas. Cela peut s’exprimer par des allergies, des intolérances, votre corps vous manifestant que parmi la nourriture -au sens large- que vous lui donnez, certains éléments ne sont pas sains pour vous. »

Un bilan alimentaire pour vous permettre

  • d’identifier les aliments qui vous conviennent et vous apportent de l’énergie
  • d’identifier les aliments que vous devez éviter (en raison d’incompatibilités, d’intolérances ou  d’allergies), parce qu’ils ralentissent votre métabolisme, le perturbent et vous coûtent donc de l’énergie au lieu de  vous en apporter
  • d’évaluer vos éventuelles carences en micro-nutriments, vitamines (et vitamine D notamment), minéraux et oligo-éléments : ce qui vous permettra de vous supplémenter, le cas échéant, grâce à votre alimentation ou, si nécessaire, par des compléments
  • et d’évaluer vos apports en eau : sont-ils ou non suffisants ? Quelle eau buvez-vous?

Le bilan alimentaire, pour qui ?

Tout le monde peut en bénéficier.

Mais si vous souffrez de troubles digestifs, de troubles de l’humeur (dépression), de problèmes de peau, de problèmes de poids, de douleurs chroniques, arthrite, arthrose, rhumatismes, de fatigue chronique, alors cette séance est faite pour vous, elle peut changer votre vie ou en tout cas contribuer grandement à l’améliorer.

Ça prend du temps, un bilan alimentaire?

La 1ère séance dure entre 1h30 et 2h00.

Les séances de suivi prennent un peu moins de temps, de 1h00 à 1h30.

Je vous recommande 1 ou 2 séances par an pour faire un check-up global, car il y a parfois des évolutions : des aliments peuvent vous convenir pendant une période et ne plus vous convenir ensuite.

Déroulement d’une séance

  • rapide bilan de votre état de santé (travail, sommeil, digestion, élimination, groupe sanguin)
  • bilan de compatibilités alimentaires où sont testés près de 250 aliments
  • évaluation de votre équilibre en lipides, protéines, glucides, en micro-nutriments (vitamines et oligo-éléments, en eau : estimation radiesthésique des carences et/ou des excès.

Je travaille au pendule et en test kinésio.

Les bilans peuvent aussi être réalisés à distance:

  • sur photo
  • ou via Skype, si vous préférez le direct et le contact.

Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter !

Au service de la santé globale,

Agnès Burnet

Manquez-vous de vitamine D?

Manquez-vous de vitamine D?

soleilEn France, environ 8 à 9 personnes sur 10 en manquent. Et je le constate chaque jour lors de mes consultations.

Les 10% qui n’en manquent pas ne sont ni des surhommes ou des surfemmes. Ils ne passent pas non plus la plupart de leur temps sous le soleil des Tropiques. Ils se supplémentent, voilà tout!

Même si, rappelons-le, prendre un bain quotidien de soleil de 15 à 20 minutes est indispensable à votre équilibre.

La vitamine D est une vitamine cruciale qui soutient toutes les fonctions de votre corps. Et à la sortie de l’hiver, en mars, les réserves en cette précieuse vitamine sont vraiment au plus bas, voire même en dessous!  Mais n’attendez pas d’être en carence. Vous pouvez agir en amont et prendre le taureau par les cornes!

Devenez expert en D3 en une heure!

Pour vous aider à comprendre le rôle cette vitamine est essentielle à votre santé, je vais vous résumer un excellent webinaire de Claude Serres, naturopathe, devenu introuvable.

C’est une mine d’informations à diffuser très largement!

Ce qu’il faut en retenir en gros de ce webinaire:

La vitamine D ou calciférol est une des rares vitamines que le corps sait synthétiser grâce à :

  • l’exposition de notre peau au soleil entre 11h et 14h pendant 10 à 15 mn pour 90%,
  • l’alimentation pour 10 % (huile de foie de morue, saumon, thon, truite, lait de vache, boisson au soja, jaune d’œuf),
  • des compléments alimentaires (vitamine D3).

Cependant sous nos latitudes, et même dans le sud de la France, cette synthèse de la vitamine D ne peut se faire par la peau d’octobre à mars.

Il en résulte que 80% des gens manquent de vitamine D et 50% des gens sont en carence grave.

2 types de vitamine D

  • D2 ou ergocalciférol, produite par les végétaux,
  • D3 ou cholécalciférol, d’origine animale et produite par la peau sous l’action des rayons ultra-violets B.

Selon la médecine officielle, la vitamine D joue un rôle dans :

  • la minéralisation osseuse,
  • en favorisant la fixation du calcium  sur l’os
  • et l’absorption du calcium et du phosphore au niveau intestinal.

Elle sert donc à conserver les os et les dents en bonne santé.

Toujours selon la médecine officielle, une carence en vitamine D provoque :

  • le rachitisme chez l’enfant ou l’adolescent
  • l’ostéomalacie (décalcification osseuse due à un défaut de minéralisation) chez l’adulte.

Surdosage et carence

Un surdosage en vitamine D peut être dangereux et provoquer une perte d’appétit, des nausées, des vomissements, une perte de poids, voire un arrêt de la croissance. Mais les surdosages n’arrivent quasiment jamais.

Les 10 à 15 mn d’exposition de la peau au soleil entre 11h et 14h (sans crème protectrice, cela va sans dire, mais c’est toujours mieux de le rappeler) de mars à octobre produisent 10000 UI de vitamine D. Tandis que l’ensoleillement de la période automnale et hivernale ne permet à la peau de produire qu’un dosage extrêmement faible.

Selon des études menées outre-Atlantique, un déficit en vitamine D favoriserait l’apparition de certaines maladies :

  • cardio-vasculaires : HTA, calcification artérielle, insuffisance cardiaque, AVC,
  • métaboliques : diabète de type 1 et 2, syndrome métabolique,
  • auto-immunes,
  • cancers.

Vitamine D et muscles : une carence en vitamine D affecte la fonction de la force musculaire. Ainsi un taux sanguin en vitamine D à 12 ng/ml, alors que le taux recommandé en France est à 30 ng/ml, favorise les incontinences urinaires par faiblesse du plancher pelvien.

Vitamine D et douleurs chroniques : un taux inférieur à 20 ng/ml a été remarqué dans 70% des cas de douleurs chroniques de l’appareil musculo-squelettique. L’effet d’une supplémentation ne se fait ressentir le plus souvent qu’au bout de quelques mois. Notez bien qu’il faut s’accorder 6 à 9 mois pour apprécier l’efficacité ou non d’une cure de vitamine D.

Selon des études américaines citées dans le webinaire de Claude Serres, le dosage optimal en vitamine D se situerait entre 50 et 70 ng/ml, alors qu’en France le dosage préconisé est à 30 ng/ml.

Un taux élevé de vitamine D dans le sang permettrait d’influencer la longueur des télomères, ce qui confère une dimension anti-âge à cette vitamine-hormone.

Dans une étude de novembre 2015 de l’American Heart Association, les personnes dont le taux de vitamine D est inférieur à 15 ng/ml de sang ont le risque vasculaire le plus élevé.

Les personnes âgées devraient faire estimer 2 fois par an leur dosage sanguin de vitamine D et prendre quotidiennement des suppléments en vitamine D.

Le syndrome de déficience en vitamine D

Le Dr Cannel a identifié un syndrome de déficience en vitamine D :

  • un taux de vitamine D insuffisant,
  • et 2 ou plus des problèmes suivants:
    • ostéoporose,
    • maladie cardiaque,
    • hypertension,
    • maladie auto-immune,
    • cancer,
    • fatigue chronique,
    • douleur chronique.

Dosage sanguin en vitamine D

Le dosage de la vitamine D dans le sang s’appelle le 25 OH vitamine D. Or, fait étrange, à la lumière du pourcentage hallucinant de personnes en déficit, la Caisse d’Assurance Maladie a modifié en septembre 2014 la prise en charge de cette analyse.

Facturé 11,34€, le dosage n’est pas pris en charge et le médecin doit écrire « non remboursable » ou « NR ». Sauf pour les cas de suspicion de rachitisme, d’ostéomalacie, de transplantation rénale, de chirurgie bariatrique et les personnes âgées à risque (chutes). Mais si le médecin omet de porter la mention « non remboursable » sur l’ordonnance, alors le dosage devrait être pris en charge.

Après la crise Covid que nous venons de traverser, il est devenu clair que certaines décisions prises en hauts lieux n’ont pas pour objectif de maintenir les gens en bonne santé!

Et selon l’expression « à quelque chose malheur est bon », cette crise a aussi permis aux autorités sanitaires françaises de réviser à la hausse les taux recommandés d’apport en vitamine D, en s’alignant sur les pratiques d’autres pays. Enfin!

comprendre les dosages

 

Supplémentez-vous en vitamine D3

Il y a toutes sortes de vitamines D3 de bonne qualité sur le marché. Personnellement, j’aime bien la vitamine D3 dosée à 1000UI ou 2000UI par goutte du laboratoire D.Plantes. Et je l’utilise régulièrement. Il y a en a plein d’autres évidemment.

Si vous ne savez pas quel dosage prendre, vous pouvez adopter sans risque le protocole suivant:

  • du 21 septembre au 21 décembre, 8000 UI par jour,
  • du 21 décembre au 21 mars, 4000 UI par jour,
  • et toute l’année, veillez à prendre le soleil 20 minutes dès qu’il fait son apparition.
Bon dosage à tous et toutes et bon bain de soleil!

Vous vous posez des questions sur votre santé? Pensez à faire un check-up global! Je teste en radiesthésie vos éventuelles carences en vitamines et en D3 notamment. Je vous accueille pour un suivi personnalisé et holistique en visio.

Agnès Burnet - Géobiologie-santé.com
Au service de votre santé!

Douceurs à la pâte de dattes

Vous êtes gourmand? Ces douceurs à la pâte de dattes vont ravir vos papilles et les amateurs de bonnes choses contraints d’éviter certains aliments ne seront pas en reste.

Sans gluten, sans lactose, sans caséïne, sans oeuf, mais délicieuses!

Ces douceurs à la pâte de dattes sont ultra rapides à faire, 15 minutes environ, et ne nécessite pas de cuisson.

Voici ma recette :
  • De la pâte de dattes 250g
  • Des noix, des noisettes, des pignons de pins
  • De la cardamome
  • De l’huile de coco et du cacao maigre en poudre

Mais vous pouvez choisir de faire un collapse du psi différent, car il y a une infinité de possibilités.

Quelques suggestions :

  • 60% de fruits secs de types noix, noisettes, noix de cajou, cacahouètes, amandes, réduit en poudre
  • 40% de pâte de dattes ( ou autre ou un mélange : raisins secs, abricots, canneberges, baies de goji, figues)
  • quelques cuillerées en fonction de chacun de poudre de cacao
  • une ou 2 cuillerées à soupe d’huile de coco ou autre selon les goûts
  • des épices : cardamome, gingembre, cannelle…

Mixer le tout. Mettre dans un plat et bien tasser. Laisser au frigo quelques heures. Présenter tel quel ou faire des boulettes.

Dégustez… Hummmmmmmmmmmmm !

Se débarrasser des intolérances et/ou allergies alimentaires

Et si vous souhaitez vous débarrasser de vos intolérances et/ou allergies alimentaires, je vous invite à découvrir la méthode Bye-Bye Allergies. Elle vous permettra de renouer avec des aliments que votre corps à identifier comme dangereux pour lui et de rétablir le fonctionnement correct de votre système de défense immunitaire. Pour découvrir cette méthode de traitement naturel des allergies et intolérances alimentaires et prendre un rendez-vous, cliquez ici : Séance Bye-Bye Allergies

 

A fond dans les jus!

En mars 2017, j’ai accueilli chez moi un extracteur de jus. Je l’ai apprivoisé doucement et au fil des jours, cet outil a transformé ma vie :

  • le soir, en me couchant, je pensais déjà au bon jus que j’allais me faire le matin, et à la pèche ou la patate que cela allait me donner -encore une affaire de légumes!
  • je me suis mise à acheter de plus en plus de légumes et de fruits pour nourrir la bête qui est très gourmande,
  • avec toutes les fibres que rejettent la machine, j’ai très vite compris qu’il était hors de question de bazarder toute cette richesse à la poubelle : il me fallait apporter tout ça dans un compost. Heureusement, le hasard faisant bien le choses, le compost est venu à moi puisque, habitant le 12e à Paris, l’arrondissement fait partie de la première vague de collecte des déchets alimentaires. Si vous voulez en savoir plus, c’est par ici : https://www.paris.fr/dechetsalimentaires
  • et surtout je me suis retrouvée avec une énergie pas croyable, une très grande vitalité, un tantinet en décalage par rapport aux autres personnes autour de moi que je trouvais un peu fatiguées, un peu molles! 🙂 Une F1 au milieu de 2CVs, pas évident à gérer!

Et puis, j’ai découvert Joe Cross, son bouquin https://www.amazon.fr/F-C3-A9minin-l-C3-8Atre-Pour-finir-dAdam-dp-2226452559/dp/2226452559/ref=dp_ob_title_bk, et son film « Fat, sick and nearly dead ».

Et puis, bien sûr, les vidéos de Thierry Casanovas sur les jus avec, notamment, celui sur l’inflammation cérébrale et l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique. Je consacrerai bientôt un article à ce sujet. Mais en attendant, vous pouvez explorer ce lien: https://www.youtube.com/watch?v=4tZRt_OylAo

Et de fil en aiguille, on m’a collé entre les mains le livre « https://www.amazon.fr/F-C3-A9minin-l-C3-8Atre-Pour-finir-dAdam-dp-2226452559/dp/2226452559/ref=dp_ob_title_bk » de Norman Walker, le maître du jus, un des pionniers dans le domaine du crudisme et du végétarisme. Né en 1886 et mort en 1985, il a vécu 99 ans. Selon Wiki , il se serait éteint tranquillement dans son sommeil, même si aucun document officiel n’a été publié à ce sujet. Son livre est à lire absolument ainsi que « La Santé de l’intestin : le colon » qui est une mine d’or.

Il y a quelques mois, je n’y connaissais pas grand-chose et je ne voyais pas bien la différence entre centrifugeuse, mixeur et extracteur de jus qui sont les 3 moyens d’obtenir des jus de légumes et de fruits. J’ai suivi la tendance et j’ai opté pour un extracteur Greenis.

Puis, j’ai fait ma petite enquête et j’ai vu que Joe Cross utilise uniquement une centrifugeuse, alors que Thierry Casanovas, lui, n’utilise que des extracteurs de jus, et Norman Walker, dans ses livres, parle très souvent de centrifugeuse, même s’il a mis au point une centrifugeuse baptisée Norwalk, composée de 2 parties, un broyeur pour écraser les fruits et les légumes et une presse pour en extraire le jus. Malheureusement pas à la portée de toutes les bourses!!!

En fait, il semblerait qu’il n’y a pas de grande différence sur le plan du contenu nutritif entre extracteurs et centrifugeuses, même si les vendeurs d’extracteurs prônent, bien évidemment, la supériorité de leurs machines. L’association Que Choisir a mené une petite enquête: les « slow juicers » sont extrêmement à la mode et coûtent bien plus chers que les centrifugeuses ou les mixeurs; l’argument de vente en est l’extraction lente à froid qui permettrait une parfaite restitution des micro-nutriments et vitamines. Eh bien, rien n’est moins vrai. La seule méthode qui permet de conserver l’intégralité des nutriments est le mixeur, et extracteur et centrifugeuse arrivent loin derrière. Voici les chiffres donnés par l’institut Suisse des Vitamines (http://www.swissvitamin.ch/fr/) sur lesquels se basent l’article de Que Choisir.

Mixer:
Aucune perte
100% des vitamines (utilisé comme référence)

Centrifugeuse
Perte de 40% de la matière des fruits et légumes (déchets, pulpe et fibres)
Vitamine C: 79%
Acide folique: 63% (ce qui correspond à la perte de poids)
Vitamine B6: 40%
Béta-carotènes: 57%
Vitamine K: 27% pour la centrifugeuse, celle-ci est donc meilleure aussi pour cette vitamine.

Extracteur
Perte de 40% de la matière des fruits et légumes (déchets, pulpe et fibres)
Vitamine C: 100%
Acide folique: 61% (ce qui correspond à la perte de poids)
Vitamine B6: 52%
Béta-carotènes: 28%
Vitamine K: 22%

Côté vitamine C, l’extracteur de jus gagne le match ex-æquo avec le mixeur. Il conserve bien 100 % de la vitamine C, là où la centrifugeuse n’en restitue que 79 %. Mais, pour le reste, hum, ça fait mal! Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez jeter un œil à cette enquête de Que Choisir : https://www.quechoisir.org/actualite-extracteurs-de-jus-camera-cachee-les-arguments-sante-des-demonstrateurs-decryptes-n22121/ et surtout à cet article plus complet sur le site Ma RTS : http://pages.rts.ch/emissions/abe/7428791-smoothies-jus-un-abe-presse-de-vous-informer.html#7428793.

Bon, c’est sûr qu’ils n’y comprennent pas grand chose à l’intérêt de boire des jus frais sans pulpe, puisque cela permet d’ingérer une énorme quantité de nutriments contenus dans les légumes et fruits sans passer par le phénomène fastidieux d’une digestion lente due aux fibres et ils n’ont certainement pas lu Norman Walker.

En tout cas, en regardant les vidées de Joe Cross, j’ai découvert qu’il y avait hors de France des extracteurs beaucoup moins chers et certainement tout aussi  performants :

Celui qu’utilise Joe Cross est vendu en France sous la marque Riviera et Bar, on peut le voir https://www.amazon.fr/F-C3-A9minin-l-C3-8Atre-Pour-finir-dAdam-dp-2226452559/dp/2226452559/ref=dp_ob_title_bk. Vendu à 167€, on aurait tord de s’en priver !

170 GBP, soit 195 €. Et pour celui-là, les frais de port pour la France ne sont que de 7,50 GBP, soit 8,50€ environ.

Et j’ai oublié celui-là qui a l’air super aussi et très abordable :

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Nourrir son âme

La richissime vidéo de Jacques Antonin

Aujourd’hui, je souhaite partager avec vous une vidéo magnifique, riche, globale, lumineuse, dans laquelle Jacques Antonin  du site  http://www.etre-souverain.com/ aborde une vastitude de sujets :

  • la composition de l’air (78% d’azote, c’est un chiffre que vous n’oublierez plus après avoir vu la vidéo),
  • les bactéries et micro-organismes,
  • les rayonnements solaires et rayonnements artificiels,
  • les chakras, les graines germées, en tant que nourriture pour ré-harmoniser certains plans vibratoires,
  • la biodiversité,
  • et aussi les microzymas et Antoine Béchamp,
  • Pasteur et la vision pasteurienne du monde,
  • Viktor Schauberger, Rupert Sheldrake, Emile Pinel…

Je pourrais  continuer longtemps tellement cette vidéo englobe de choses.

Cependant, Jacques Antonin aborde tout cela avec une grande cohérence. Ça a l’air de partir dans tous les sens, mais il nous montre comment tout est lié.

Comme ce qu’il dit est vraiment passionnant et dense, j’ai voulu en retranscrire ici les grandes lignes afin que chacun puisse s’en imprégner et y réfléchir posément et, puisqu’il n’y a pas de sous-titre, permettre aussi aux malentendants de bénéficier de son message.

L’alimentation vivante

Les travaux de Edmond Bordeaux-Szekely, notamment avec « L’Evangile essénien de la paix », sur l’alimentation vivante sont à la base de la réflexion de Jacques Antonin. Au démarrage de la vie végétale, il y a les graines, les bourgeons. J. Antonin a tenté de faire le lien entre les spécificités des graines et les différents plans vibratoires, c’est-à-dire les différents chakras qui sont des portes d’entrée, des vortex, à ces différents plans.

Il classe l’alimentation selon sa puissance au niveau lumière, c’est-à-dire au niveau de l’apport en biophotons:

  • alimentation biogénique : graines germées
  • alimentation bioactive : monde végétal vivant, cru, en cours d’expansion
  • alimentation biostatique : monde végétal cuit, qui bloque les forces de vie, sauf cuit à basse température
  • alimentation biocide : encrassant, parce qu’empêchant la lumière de circuler en nous. Ce sont, par exemple, la viande grillée, les ragoûts, même s’ils nourrissent quand même notre âme par le plaisir qu’ils procurent.

Il explique que ce qui nourrit vraiment notre corps physique, c’est une résonance vibratoire lumineuse. Et le moment où cette résonance vibratoire est la plus forte, c’est au début de la germination, quand se produit une explosion de lumière, capable de communiquer avec notre ADN. Le tournesol germé, par exemple, va aller stimuler notre plexus solaire et restructurer la glande endocrine associée à ce chakra, le pancréas.

Le fonctionnement du système endocrinien est en lien avec les différents plans vibratoires, ou chakras vibratoires, qui alimentent une glande qui, elle, alimente un organe. Par exemple, le vortex du plexus solaire capte l’énergie du soleil qui énergétise le pancréas qui va, à son tour, stimuler l’ensemble du système digestif dont l’organe majeur est l’estomac. Le pancréas gère l’ensemble du système digestif et la régulation du développement du système cellulaire par l’intermédiaire de la pancréatine. La pancréatine est transmise par la maman au moment de la fabrication du placenta et régule le développement cellulaire. Le pancréas est le siège de toutes nos émotions, celles qu’on peut avoir dans cette vie ou bien les mémoires émotionnelles résultant des vies passées.

Le processus de l’incarnation

Le pancréas fait le lien entre ce monde d’incarnation visible sur terre et un monde invisible cosmique d’où l’on vient et vers lequel on retourne, dans la mesure où l’on a compris le sens de l’incarnation pour l’élaboration d’une âme de plus en plus légère et pure.

Pour comprendre comment on vient sur terre, dit-il, il faut comprendre le fonctionnement de la cellule. Il en réfère aux différents travaux d’Emile Pinel, Jacqueline Bousquet, Etienne Guillé, Rupert Sheldrake en expliquant que:

  • l’âme fait partie d’un champ d’énergie manifesté sur terre, appelé par Emile Pinel le champ H3 ou champ de forme, l’âme,
  • par rapport au champ H2 ou champ de mémoire, mémoires cellulaires des lignées, l’esprit,
  • et au champ H1 ou champ physique, le corps

Champs H1 H2 H3

L’âme traverse le plan astral pour venir s’incarner. Elle est une entité spirituelle venant chercher les informations qui lui manquent pour son évolution, pour être remplie totalement. Ces informations, elle va les trouver dans ses relations affectives avec son environnement, avec les différents règnes, minéral, végétal, animal, humain, et les ambiances générées par ces différents plans vibratoires, notamment la nourriture. Le mal-être est toujours synonyme de l’ignorance de notre âme. Qu’est-ce qui nourrit l’âme, mon âme? Qu’est-ce que j’ai besoin pour vivre? Si la nourriture de l’âme est harmonieuse et comble ses besoins, à ce moment-là le corps physique est en bon état de fluidité.

Le pancréas est une glande qui subit les effets du choix d’incarnation. L’âme qui s’installe dans le corps physique a un effet dès le début. Il est important de comprendre le rôle du pancréas et de l’aider à vivre la digestion des émotions dans la conscience avec le plus de fluidité possible. Par exemple, quand on choisit des parents qui ne sont pas toujours le père idéal ou la mère idéale : arrivé à un certain âge, il est important de faire un bilan afin de pouvoir remercier ses parents, car ils font partie de notre choix d’incarnation.

L’alimentation est uniquement de l’information qui remplit, nourrit notre âme, au même titre que les relations avec notre entourage. L’information est guidée par notre esprit (champ H2) qui l’envoie à notre âme (Champ H3), qui la transmet à notre corps physique qui matérialise cette information dans notre corps physique. Si, pour une raison x ou y, il y a une coupure entre les différents champs, par exemple si l’on refuse d’entendre ou de conscientiser l’existence d’un monde spirituel à l’origine de la matière, la suite va être quelque peu compliquée et on risque de se retrouver dans un contexte où l’on va perdre sa vie à la gagner. Pour gagner sa vie matérielle, on s’engage parfois dans des histoires lourdes dans la matière, et le corps physique qui n’a plus cette étincelle de conscience qui alimente l’âme, subit de manière consécutive des informations par le biais de la maladie. Ce sont des indications, des orientations qui, si l’on ne les prend pas en considération, risquent de le détériorer gravement jusqu’à la mort, c’est-à-dire l’arrêt de la transmission des messages entre H1, H2 et H3. Un corps physique qui meurt, c’est un corps physique qui ne transmet plus de messages lumineux, qui ne communique plus.

L’espace astral, continue J. Antonin, se situe entre la ionosphère et la lithosphère, dans l’atmosphère, c’est-à-dire dans la sphère atmique (atmos-sphère, la sphère de l’âme). Quand l’âme traverse l’espace astral, elle traverse les différentes couches de l’atmosphère, chargée de lumière et d’informations lumineuses extraordinaires (le champ de tous les possibles) dont la composition est de 78% d’azote. Juste avant et pendant la Révolution Française, on a mis en place les bases de la chimie moderne, ce sont les travaux de Lavoisier, et l’on a enlevé l’essen-tiel, c’est-à-dire l’essence du ciel, tout ce qui est à l’origine de la manifestation de la vie et qui explique  le principe de la fusion froide et, notamment, la capacité de transformer un élément en un autre, grâce à un gaz extraordinaire qui a été taxé de neutre et qui s’appelle l’azote : a-zot, qui est sans vie. Les 4 bases azotés de notre ADN constituent la structure même du fonctionnement de l’être humain. L’azote est donc un élément prépondérant de la manifestation de vie sur Terre. Protéine, proto- veut dire « premier élément » : la protéine est le premier élément qui apparait grâce à l’azote de l’air. Toutes les protéines sont d’origine azotée.

Le rôle fondamental de l’azote

On croit que l’humain n’a pas la capacité de synthétiser l’azote de l’air en protéine. Mais c’est parce qu’on est dans la pensée pasteurienne, qui est dans le droit fil conducteur de la pensée de Lavoisier, où l’on a enlevé tout ce qui nous dérangeait, parce qu’on ne le comprenait pas. Pasteur a fait la même chose avec son microscope quand, voyant les petits points qui rebondissaient sur la plaque du microscope, il a diminué la capacité de grossissement du microscope, comme ça, il ne voyait plus les petits points. Cela a été à l’origine du conflit entre Pasteur et Béchamp. C’est comme ça que la vie, la vraie manifestation de la vie, a été mise à l’écart. Ces petits points mystérieux, c’était les fameuses bactéries qui sont capables de transformer l’azote de l’air en protéines. Or, l’humain est constitué de 60 à 80 milliards de cellules et d’au moins 1000 milliards de bactéries. La bactérie, premier organisme à être apparu sur Terre, a permis de synthétiser le monde aérien en monde matériel vivant. La bactérie est l’interface entre un monde aérien lumineux et l’apparition de la vie. On peut dire qu’il n’y a pas de mauvaise bactérie. Or, la pensée pasteurienne a commencé par une forme de lutte, de combat, contre les microbes, les bactéries, les virus qui représenteraient un danger.

Un virus est une bactérie qui a muté parce qu’elle n’a pas d’autre solution pour envoyer un message de réharmonisation dans un organisme vivant. Avec une vision holistique de l’organisme, il est possible que, pour des raisons de prise de conscience, une bactérie mute en virus pour inciter l’ensemble de l’organisme à se mobiliser, non pas pour tuer les bactéries, mais pour créer un contexte dans lequel la bactérie n’a plus de raison de venir, n’a plus de raison d’être. Croire qu’une bactérie meurt, c’est être dans la vision pasteurienne. Les bactéries ne meurent jamais. Les bactéries apparaissent ou disparaissent. Elles ne naissent pas, elles ne meurent pas, elles passent d’un monde invisible à un monde visible. Leur mission est de maintenir un équilibre, d’harmoniser l’espace dans lequel elles évoluent. La cellule cancéreuse, par exemple, veut recréer une structure lumineuse qui n’est pas dans le monde visible, qui est de l’autre côté. Elle ne veut pas tuer l’organe. Elle recrée la structure énergétique disparue et, quand cette structure a été recréée, les cellules n’ont plus besoin de se multiplier indéfiniment.

L’ignorance de l’importance de l’azote dans la composition de l’air et le remplacement du mot « air  » par le mot « oxygène » sont à l’origine de beaucoup de problèmes aussi bien au niveau de la santé que de la manière de vivre et, surtout, de pratiquer l’agriculture sur la planète. L’ignorance de l’importance de l’azote et l’apparition des engrais azotés sont à l’origine de la pollution et de la destruction de la qualité des aliments. En effet, à la fin de la 1ère et 2ème guerres mondiales, la pénurie de main d’œuvre dans les campagnes nous ont fait accepter une aide et un piège en provenance des États-Unis : les engrais azotés. Les vieux le savaient bien pourtant : la terre en hiver s’enrichit en azote grâce à la neige qui la recouvre. Au début, les engrais azotés sur des terres riches ont fait merveille : on avait de meilleurs rendements, on utilisait moins de fumier. Mais très vite, les plantes se sont retrouvées avec une déficience en force de vie et l’on a assisté à l’apparition des premières maladies cryptogamiques. Sont alors apparus les premiers pesticides, fongicides et insecticides qui, s’infiltrant dans le sol, en ont perturbé la vie microbienne, empêchant ainsi les bactéries de jouer leur rôle de protéines dans le sol. Et là, ont commencé les carences et les diminutions de rendement, entraînant une augmentation du taux d’engrais, des risques de maladies de la plante et du taux de pesticides pour en arriver à aujourd’hui où les nappes phréatiques sont saturées par des polluants d’origine agricole.

La pensée humaine a le pouvoir de perturbation et le pouvoir d’harmonisation. La pensée doit venir du cœur et non du mental. Le cœur décide et le mental exécute. On a intérêt à prendre conscience de nos pensées si l’on veut harmoniser l’espace dans lequel on se trouve. Depuis un siècle et demi, on a transformé l’humain avec un état de souverain de soi en humain avec le moi-groupe, c’est-à-dire qu’on a ramené l’humain au règne animal, on lui a enlevé sa capacité d’être souverain, de penser par lui-même et pour lui-même avec une vision globale des choses. Il y a eu un amalgame entre individualité et individualisme. Et les humains qui n’ont pas la capacité à être eux-mêmes ont tendance en réaction à être individualistes.

Malgré la situation chaotique dans laquelle nous nous trouvons, il faut tout de même rester positif et optimiste, car il y a énormément de ressources dans la nature et dans les guides de la Nature qui se manifestent à travers le règne végétal et aussi les animaux dignes de ce nom, c’est-à-dire ceux qu’on a pas exploités et mis dans un contexte de culture hors-sol industriel.

Les 4 céréales de base pour réharmoniser les 4 premiers plans vibratoires

On a ce pouvoir de recréer des liens avec la nature, notamment grâce à l’aide des céréales, en début de germination, les céréales germées, qui peuvent agir sur les 4 plans vibratoires ou chakras de base:

  • 1e chakra, chakra racine, le règne minéral, en résonance avec le seigle

669-deux_epis_de_seigle_immatureLe seigle a un système racinaire extrêmement long, il est très lent dans sa production, sorte de force tranquille, enracinement, lien entre les forces telluriques et l’environnement immédiat. Il stimule les glandes surrénales, qui sont en lien avec l’énergie de la Terre Mère. Les surrénales sont actuellement les plus affectées par la résonance vibratoire des ondes électromagnétiques artificielles qui nous déconnectent des forces de vie naturelle de la terre, de la force d’amour, énergie magnétique.

On peut aussi utiliser la betterave rouge.

L’animal qui est en lien avec la résonance vibratoire du chakra racine, avec le seigle, c’est le porc. Ancré dans la terre avec ses 4 sabots, c’est un laboureur. Il nous montre comment on peut intervenir sur la terre, sur le travail de la terre, sans la perturber : à la fin de l’automne, au début du printemps. On en a fait des élevages industriels horribles où les porcs se mangent entre eux. Le gras de porc est de la voie lactée solidifiée, cristallisée.

  • L’orge pour le 2e chakra, chakra sacré, en lien avec le monde de l’eau, le pouvoir de transmettre la vie

orgeUn des problèmes majeurs sur la planète, c’est la qualité de l’eau, la circulation de l’eau à travers les courants marins perturbés, les pollutions de toutes sortes dont les mémoires. D’où l’importance de boire une eau de qualité qui va réhabiliter le 2e plan vibratoire. L’orge a le pouvoir d’aider les ovaires et les testicules des humains à retrouver leur fonction originelle de transmettre la vie. L’orge est en lien avec la vache, animal sacré, mais cet aspect n’est pas pris en considération en Occident. La vache ne peut exprimer sa spécificité que si elle garde ses cornes. On peut bénéficier de ces informations véhiculées par l’animal, sans le manger, simplement en étant à son contact ou en s’occupant de l’animal. La vache nous montre à quel point on doit rester patient pour digérer les informations transmises par le règne végétal. La vache a 4 estomacs. La vache fait du lait, c’est de la voie lactée liquide et est en lien avec le monde des étoiles.

  • Le blé pour le 3e chakra, plexus solaire, en lien avec le feu, le monde de la digestion

epi_ble80La céréale restructurante pour ce plan est le blé. Or le blé est, à l’heure actuelle, porteur de chaos, à cause de la manière dont il est cultivé et transformé. On ne doit pas mettre d’engrais azoté au printemps sur le blé. Le blé est une céréale solaire qui fait un épis grâce à l’énergie solaire. Quand on met un engrais azoté sur le blé, même un compost bio, une fois qu’il est semé, on crée un conflit à l’intérieur de l’amidon, et les protéines du blé, le gluten, deviennent allergènes, car elles ne sont plus adaptés à notre pancréas. La différence entre le blé et le petit épeautre qui contient aussi de la gliadine, c’est que si l’on met un engrais azoté sur le petit épeautre, on n’obtiendra pas de grains. La problématique de l’intolérance au gluten lié au blé provient de l’utilisation d’engrais azotés. La qualité du blé est très importante : sur le marché, la valeur monétaire du blé est fonction de son taux de protéines. Il est donc naturel que tous les agriculteurs, bio ou non, aient tendance à faire en sorte qu’il y ait un maximum de protéines dans le grain.

  • L’avoine pour le 4e chakra, le cœur, en lien avec l’air

produit_108-1520-2L’avoine est une plante libre, sa graine est très volatile (fol avoine). L’avoine a la capacité de capter l’énergie de l’air lumineux et de la synthétiser dans sa graine, en forme de double vortex inversé. L’avoine se met en mouvement au moindre souffle d’air et s’immobilise dès que le vent s’arrête : elle a liberté de mouvement . Et cette liberté correspond à la notion de discernement que doit avoir l’humain, c’est-à-dire qu’il bénéficie de toutes les informations mais il garde sa ligne de conduite, son « je », sa capacité à être qui il est. Elle permet donc de réhabiliter cette structure énergétique qu’est le thymus, la glande qui énergétise le cœur sur laquelle s’appuie le système immunitaire et l’identité de la personne.

L’avoine, tel qu’il est cultivé actuellement, ne peut pas être consommé en graine germée, à cause de son enveloppe. Il faut la décortiquer. Et une fois décortiquée, elle ne germe plus car le germe est détruit. Il faudrait re-cultiver un type d’avoine germable qui s’appelle l’avoine nu. A défaut, on peut utiliser le lait d’avoine et le jus d’avoine obtenu grâce à l’herbe d’avoine. Cela aura un impact sur le thymus qui va réparer capacités de conscience de soi.

Recette du lait d’avoine : http://www.cfaitmaison.com/bio/avoine.html

Les animaux en lien avec ce plan vibratoire sont la chèvre et la brebis:

  • la brebis pour la capacité à mettre le cœur en paix
  • la chèvre pour la dynamisation, la légèreté et la capacité d’évoluer librement

On peut utiliser le lait de chèvre pour dynamiser un enfant amorphe, par exemple, et le lait de brebis pour calmer un enfant trop « insupportable ».

Et le sarrasin?

pdzby3rlfr40kow48gss80s0-source-9733425Il y a une autre céréale au pouvoir fabuleux en lien avec les quatre premiers plans vibratoires. C’est le sarrasin. C’est une graine magique en forme de pyramide à base de 3 côtés. Riche en minéraux, en silicium dans son enveloppe. Elle est à consommer en début de germination, car ses effets sont plus puissants pour l’harmonisation des 4 chakras de base.. Lorsqu’on la fait pousser dans la terre, on peut observer que la pointe de la graine germée est d’abord pourpre, aux couleur du 1er chakra, puis elle devient orange (2e chakra), puis jaune (3e chakra, plexus solaire), puis deux petits cotylédons verts émeraude s’ouvrent (4e chakra).

Le sarrasin fait le lien entre les quatre premiers plans vibratoires.

Le fonctionnement énergétique du corps humain

Au vu du fonctionnement énergétique du corps humain et dans la mesure où l’âme est venue chercher des informations, on peut se demander où va-t-elle trouver ces informations? Qu’est-ce qui nourrit mon âme? C’est le rire d’un bébé, un lever de soleil, le parfum d’une rose, des gouttes de rosée, mais c’est aussi des aliments matériels qui transportent des informations. Et ce sont ces informations qui nourrissent notre âme. Pourrait-on se nourrir directement à la source sans passer par la matière? Pour comprendre ce phénomène de l’alimentation pranique dont parle le film Lumière, il faut prendre en compte le pouvoir de la bactérie de transformer l’azote de l’air en protéine et d’être à même de faire l’alchimie dans notre système intestinal de toutes les informations qu’elle reçoit, au niveau éléments, par le biais de la respiration, en éléments nourrissants qui correspondent au besoin de l’âme, en fonction de l’histoire de chacun.

Quand on explique le phénomène par la présence des bactéries et surtout par la respiration -l’azote étan l’élément prépondérant à l’apparition de la matière sur terre-, on peut comprendre l’alimentation pranique, l’alimentation naturelle de l’humain sans la matière. L’alimentation naturelle, c’est être dans la nature, c’est-à-dire être en lien avec les forces de vie de la nature. C’est cela qui nous nourrit vraiment, qui stimule notre champ morphogénétique et lui envoie des informations. Ce sont les couleurs, les fleurs de chicorée bleues, les fleurs jaunes de laitue sauvage, ce sont ces informations vivantes qui sont la base de la nourriture de notre âme.

Mais qu’en est-il des minéraux dans notre corps physique? Là, on se retrouve dans une impasse si on ne prend pas en compte le rôle de l’azote et la composition de l’air. L’air est composé de deux gaz prépondérants: l’azote d’un côté, et de l’autre, essentiel, la vapeur d’eau qui est à l’origine du maintien du climat adapté à l’humain sur terre. C’est la présence de la vapeur d’eau dans l’atmosphère terrestre qui permet, sous les effets des rayonnements électromagnétiques solaires de maintenir l’équilibre de la température sur terre. Actuellement, cette ambiance est un peu perturbée: depuis 50 à 60 ans, des milliards d’ondes radio artificielles viennent cumuler les rayonnements électromagnétiques solaires naturels et amplifier ce phénomène vibratoire de la molécule d’eau et ainsi perturber la manifestation de la vie sur terre. La vapeur d’eau a un rôle capital dans l’apparition de la matière sur terre. Et si on l’associe à l’azote, censé être un gaz neutre, et aux photons de la lumière, que l’on crée un mouvement -mouvement qu’on retrouve en permanence dans la nature-, ces vortex, tourbillons vont permettre l’apparition du silicium . En bref : Azote + vapeur d’eau + photons = silicium. Le silicium est la base de tous les éléments qui vont déterminer les autres matières  sur terre.

Cet air qu’on respire, riche en vapeur d’eau, azote et silicium sous forme colloïdale, invisible, non décelable, combiné à notre température de 37°C provoque une alchimie qui se manifeste à l’intérieur des poumons et des bronchioles et qui aboutit à la création du fer dans notre sang. Les globules rouges du sang s’enrichissent en fer -transmutation de l’air lumineux, azote, vapeur d’eau, etc.-et deviennent porteurs des éléments qui permettent, en passant par les glandes surrénales, de capter l’énergie magnétique de la terre et de la distribuer dans tous les organes afin qu’ils soient en résonance vibratoire avec la terre et puissent bénéficier de l’énergie qui permet au corps physique de fonctionner.

Nous ne sommes donc peut-être pas obligés de manger de la matière lorsqu’on a pris conscience que la respiration, la lumière, le bien-être par l’ambiance du milieu où on évolue, et la conscience peuvent nous nourrir.

D’où l’intérêt qu’il faut porter à l’alimentation de l’enfant. Quand l’enfant vient au monde, il n’a qu’un besoin essentiel : être aimé. L’enfant vient chercher de l’amour. Cette âme qui pénètre le corps physique de l’enfant envoie des informations qui sont le reflet de l’ambiance qu’elle aura captée avant la pénétration : notamment de l’ambiance du moment -d’où l’importance du signe et du thème astral- et de l’ambiance du lieu (impulsion tellurique) et de l’entourage immédiat (la maman, le papa, la sage-femme). Tout cela informe les cellules du petit être nouveau et détermine les premières informations qui vont mettre en route le système endocrinien, avec une  base de données et des repères dans la mise en place du système immunitaire pour le restant des jours de l’enfant.

Et grâce à la résonance vibratoire du prénom qui a déjà été introduite, si la maman a été à l’écoute de l’enfant, le simple fait de prononcer son prénom va donner à l’enfant une identité qui correspond à la résonance vibratoire qu’il a choisi dans le cadre de cette incarnation. Et peut-être qu’on a déjà là un terrain où la nourriture dont a besoin cet enfant est beaucoup plus simple à trouver. Un enfant qui vit dans ce processus et a la chance de bénéficier de ce cadre a peut-être moins de difficultés à trouver une nourriture qui correspond aux besoins de son âme. Nul besoin de se conformer à des régimes obligatoires car ce que l’enfant veut, c’est manger quelque chose qu’il aime. Si ces parents ne sont pas capables de lui donner ce qui lui convient, tant nourriture affective que matérielle, il va aller chercher des compensations dans une nourriture qui n’est pas idéale, mais qui le satisfait.

Il faut comprendre que forcer un enfant à manger quelque chose qu’il n’aime pas, c’est empoisonner l’enfant, c’est le mettre dans un contexte de déséquilibre par rapport à ses repères. Et là, on entre dans un processus pervers : je mange cela car j’aime mes parents, mais je n’aime pas cela du tout. Ce processus peut aboutir à des perturbations, surtout avec les chronologies d’âge : 7 ans, 14 ans, 21 ans. Alors que les glandes surrénales ne se terminent qu’à 21 ans. Toute cette mémoire initiatique de la naissance à 21 ans est enregistrée dans le mode de fonctionnement relationnel avec la maman, le lieu , etc. Attention donc : l’alimentation d’un enfant, c’est sacré! Il s’agit de sentir ce qui nourrit vraiment l’âme de l’enfant.

Là, c’est la capacité de la maman qui est en jeu : surtout la maman dans les 7 premières années, sa présence, sa conscience, son ressenti de l’enfant, la capacité de l’enfant de s’exprimer librement. Évitez de gaver les enfants de produits dont ils n’ont pas besoin mais qui compensent un vide affectif ou une ignorance du vrai besoin de l’enfant. L’alimentation matérielle devient presque secondaire : une poignée graines et quelques feuilles de salade ou de végétaux que l’on aime est largement suffisant à remplir les besoins de notre âme. Lorsqu’on est sur le chemin qui lui correspond, notre âme aura besoin de moins d’informations pour être remplie.

La biodiversité est la glande thyroïde de la planète Terre

Pas d’inquiétude à avoir par rapport à la psychose entretenue par nos hommes politiques et nos grands penseurs qui disent que nous sommes trop nombreux sur terre et que nous allons manquer de nourriture. Au contraire, plus nous serons nombreux et plus la terre pourra changer de taux vibratoire grâce à la biodiversité de l’humain. La problématique de la biodiversité est en résonance avec le chakra laryngé, c’est-à-dire la thyroïde. On peut dire que l’ensemble des humains ainsi que les règnes minéral, végétal et animal sont le chakra laryngé de la terre : la glande thyroïde. Plus la biodiversité sera mise en valeur et respectée, la thyroïde étant le chef d’orchestre homéostasique, plus le changement d’état dans lequel on se trouve pourra se faire de façon facile et harmonieuse. Bien qu’il puisse y avoir parfois un certain remue-ménage nécessaire pour changer de taux vibratoire. Nécessaire à cette évolution des humains et de leur environnement. Sauf que la pensée pasteurienne fait partie de la destruction de la biodiversité. Donc il faut faire très attention à cette biodiversité et ne plus avoir dans nos pensées des réflexes d’écraser la mouche ou l’araignée.

Le système tel qu’il est conçu ne peut fonctionner qu’avec un maximum de biodiversité. On perd environ 50 espèces végétales par jour. Et la vaccination tue la biodiversité humaine. Selon un rapport de l’Unesco, les dialectes utilisés par les peuples premiers et les ethnies qui disparaissent à vitesse grand V sont en lien avec la biodiversité et surtout la flore locale. Les végétaux sont en résonance vibratoire avec les sons. Dés que les sons, les langages, les dialectes ne sont plus en usage, les peuples disparaissent et la flore aussi. Toute cette ambiance osmotique entre les sons et les formes (toutes les formes sont d’origine sonore selon les travaux de Viktor Schauberger, cela rappelle « au commencement était le Verbe »), les couleurs, les mouvements.

Il y a 35 ans, on a constaté que le taux vibratoire de la terre augmentait :  la fréquence de Schumann, fréquence de manifestation des forces de vie présente entre la lithosphère et la ionosphère, est passée de 8 Hz en 1987 à 13Hz en 2012. Elle a quasiment doublé. Pour accompagner l’élévation de cette fréquence qui change énormément de choses dans notre mode de fonctionnement interne (selon certains, on n’a plus que 16 heures en une journée de 24 heures, d’où l’impression que l’on a d’être toujours pressé et de n’avoir jamais le temps de faire ce que l’on a prévu),  il faut un maximum de biodiversité.

Rythme d’élevage de l’enfant, rythme de 7 ans

La vie de l’enfant est ponctué surtout dans les 7 premières années de la vie, de maladies infantiles, dites initiatiques selon Rudolph Steiner. Quand on a des enfants non vaccinés, une coqueluche ou une rougeole, c’est très impressionnant, c’est une poussée d’énergie brutale qui vient s’exprimer, qui vient libérer l’enfant et le fait grandir. Et du matin au soir ou du soir au matin, l’enfant a changé, il n’est plus le même.

Pendant ces 7 premières années, c’est surtout la maman qui va guider l’enfant et accompagner l’ouverture de ses centres énergétiques, de façon à ce que la communication puisse se faire avec confiance et sécurité dans l’expression de soi, avec toute la richesse nécessaire pour que l’enfant puisse avoir une connaissance, une conscience qui lui permettent de devenir lui-même progressivement. A partir de 7 ans avec « l’âge de raison », les 7 plans vibratoires étant ouverts, le papa devient le guide qui va structurer l’enfant. Il ne s’agit pas de le dresser avec la rigidité qui empêche l’ouverture et la souplesse nécessaire à l’adaptation. Le papa devient le guide et la maman n’est pas occultée, au contraire : de 7 à 14 ans, le papa donne la structure et la maman remplit de son affection la structure donnée par le papa. De 7 à 14 ans, le papa est devant et la maman est derrière. De la naissance à 7 ans, la maman est devant et le papa est derrière: il donne confiance à la maman, la maman sait qu’elle peut s’appuyer sur le papa.

A partir de 14 ans, c’est la puberté. Chez la femme, le cycle ovarien est en place, la femme devient femme. Mais le système endocrinien de la femme ne fonctionnera en totalité qu’avec la grossesse, lorsque toutes les hormones possibles se seront exprimées pour qu’elle devienne maman. Le système hormonal de l’homme en passe de devenir papa est lui aussi sollicité. Mettre au monde un enfant, la gestation, ce geste qui aboutit à quelque chose, est très important : l’union de deux énergies mâle et femelle permet la fusion et l’apparition d’un être nouveau avec la confiance et la conscience des deux.

De 14 à 21 ans, âge stratégique dans le développement, on retrouve la nécessité chez l’enfant d’avoir comme modèle la communication entre les parents -homme, femme, papa, maman- qui correspond à cette fusion pendant la grossesse, une confiance, un bourgeon qui s’ouvre. L’enfant, à l’adolescence, est dans un processus d’ouverture où il devient lui-même. Il finit de grandir au niveau de sa structure osseuse et de son corps physique à 21 ans, si le système endocrinien fonctionne bien. C’est à ce moment-là que les glandes surrénales sont finies. Un être humain est fini à 21 ans, pas avant. On peut alors lui donner des responsabilités avec la notion de discernement, d’évaluation d’une situation où son identité, si elle a été respectée, est capable d’assumer ses choix.

A chaque fois qu’on fait une vaccination, et surtout les rappels, on perturbe et on casse cette identité. Et là, on est dans des situations où les enfants ne peuvent pas quitter la maison : ils deviennent des boulets, car ils n’ont pas vécu les maladies initiatiques comme la coqueluche (on tousse comme un coq), la rougeole (on est rouge comme une crête de coq), le coq et la couleur rouge font penser au 1e chakra en lien avec la Terre. D’ailleurs, à l’heure actuelle, même dans les villages, le coq est interdit : il y a un gros problème dans notre société, une perte de re-pères, perte du père, ou perte d’heureux pères? On est dans un contexte où on a perdu le bon sens. Mais on a quand même de l’espoir. A 21 ans, on se retrouve avec un être fini, quelque soit son état, en tout cas un être sensé fini, même si son comportement n’est pas celui qu’on aurait aimé qu’il ait.

De 21 à 28 ans, c’est l’âge de l’expérimentation. Il faut rester un peu vigilant. Si le jeune adulte est parti avec suffisamment de connaissances, de bases et de confiance en lui, on peut le laisser faire ses expériences sans trop d’inquiétude. Mais il faut garder le lien. De 21 à 28 ans, on est  sous l’impulsion du chiffre 4 (4e cycle de 7 ans) en lien avec la terre (coccyx, 4 vertèbres en 1), et le chiffre 7 en lien avec le cosmos (7 vertèbres cervicales) ; et à 28 ans, on a fait cette révolution de l’ensemble de nos 7 plans vibratoires en fonction de la connexion cosmique et de l’énergie de la terre, tellurique. Notre 3e oeil, par où pénètre la lumière, l’hypophyse, est associé à une membrane appelée la dure mère qui enveloppe la moelle épinière et descend jusqu’au sacrum. C’est cette morphologie de l’humain qui permet de connecter le haut et le bas, le ciel et la terre.

Après 28 ans, on passe dans l’énergie du chiffre 5. Il se passe un phénomène très intéressant : la période de 28 à 33 ans, qui sont les 5 premières années de cette tranche de 7 ans, (33 vertèbres, 3 x 11, structure sacrée du temple de l’humain), 5e chakra, Verbe créateur, le plan causal en lien avec la thyroïde : pourquoi est-on venu sur cette planète? Si l’on a pas la compréhension de ce choix d’incarnation qui se concrétise souvent par la venue d’un enfant (35 ans étant l’âge idéal pour pouvoir gérer la venue d’un enfant), on met la thyroïde dans un état de stress.  Comprendre son choix d’incarnation, c’est mettre la thyroïde dans un état paisible. La thyroïde est la chef d’orchestre du système homéostasique, elle permet de s’adapter à un état x ou y, en envoyant des messages dans le système endocrinien qui va stimuler les glandes surrénales pour mettre en œuvre le mouvement et l’adaptation à ce changement d’état. Bien souvent, des gens se font traiter ou enlever la thyroïde dans ces âges-là, car ils n’ont pas compris le sens de leur incarnation. Si on a conservé notre thyroïde, si malgré tout, on n’a pas d’enfant, parce qu’on hésite, on a des doutes, on ne se sent pas capable, il y a un travail de conscientisation à faire avec beaucoup de bienveillance envers soi-même car…

De 35 à 42 ans,  6 x 7 = 42, en lien avec le 2e chakra sacré (transmission de la vie) et le 6e chakra, hypophyse (chemin de vie), c’est une période d’introspection nécessaire pour comprendre son chemin de vie : on ne sait plus où on est en, on a tellement de pressions qu’on ne comprend pas, qu’on rentre dans un processus de dépression, nécessaire et salutaire . Il est important de comprendre cette étape du début de la quarantaine et en profiter pour faire un check-up qui permettra d’entamer la construction de quelque chose de notre vie qui corresponde à ce que l’on est vraiment venu faire sur Terre.

La période de 42 à 49 ans reflète la période d’introspection précédente. Si cette période n’a pas été bien comprise, on rentrera alors dans une période encore plus difficile d’interrogation par rapport à soi. 7 x 7 = 49, c’est-à-dire qu’on a peut-être vécu pendant 49 ans quelque chose qui n’est pas la réalisation de soi, mais de quelqu’un qui nous a été  imposé pour pleins de raisons : parents, boulot, système… Là, il faut être attentif, car de nombreuses maladies apparaissent à ce moment-là. La maladie, heureusement, fait partie des anges-gardiens et nous envoie des messages qui, si on ne les comprend pas, peuvent nous entraîner dans des situations du corps physique difficiles, voire irréparables. 49 ans, c’est un âge stratégique, il se passe des événements qui nous font prendre conscience qu’on est sur le chemin qui nous correspond ou qui nous font modifier notre vie, ou alors on chemine encore 7 ans.

De 49 à 56 ans, 7 x 8 = 56, on rentre dans le monde subtil, où les maîtres, les guides nous ramènent des informations. Si on ne les écoute pas, on met notre corps physique en danger. Là c’est clair. Des aides extérieures viennent nous guider et nous entraîner dans des chemins qu’il nous faut comprendre, car ces chemins sont en relation avec notre choix d’incarnation, mais on n’a pas réussi à les trouver jusqu’à maintenant.

Entre 56 et 63 ans, on termine un cycle très important qui correspond au développement de notre corps physique sur terre au niveau expériences initiatiques. La synthèse de ces 63 années va nous permettre d’exprimer à partir de 63 ans un acquis, une expérience. C’est l’âge auquel on peut se donner le droit de transmettre cet acquis : on peut devenir instructeur, conseiller, guider nos petits-enfants.

De 63 à 70 ans, c’est vraiment un âge extraordinaire où, si l’on a vraiment réussi à comprendre son choix d’incarnation, l’on devient un transmetteur d’informations utiles pour notre environnement immédiat et aussi pour la communauté d’âmes humaines, la conscience collective.

On a intérêt à prendre en considération tous ces paramètres et vivre sa vie avec une conscience de construction et de réalisation en lien avec le choix karmique et la nourriture de notre âme. La conséquence du vécu sur le corps physique, grâce à l’âme qui remplit sa mission d’incarnation, peut devenir un réservoir d’informations qu’on transmet à notre entourage avec toute la sagesse qui convient pour que cet enseignement puisse bénéficier à notre entourage. Après 70 ans, il faut transmettre le relais, il faut éveiller et guider quelqu’un qui puisse prendre le relais. Ce n’est plus à nous de le faire.

A 77 ans, on peut dire que l’être humain est accompli. Il peut passer au stade de l’immortalité. Si on veut vraiment vivre libre avec toute la magie de cette vie, il y a des données de base qu’il faut mettre en place dès le début : la mort n’existe pas. La conscience de la mort a été inventée par des humains pour nous faire peur et nous imposer des limites dans nos capacités. Une bactérie ne meurt pas. Le corps physique qui s’éteint n’est pas une mort, c’est un changement d’état de l’âme et du champ d’énergie spirituelle retournant vers un espace qui permet d’aller encore plus loin dans le processus d’incarnation. Mais une âme qui a fini de s’incarner est peut être capable d’emporter le corps physique sous forme vibratoire et de lumière afin qu’il ne s’éteigne plus : là on parle d’immortalité.

Mot de la fin : anges, enjeux, en-je pour comprendre le chemin vers lequel on doit aller. La joie est la nourriture de la terre : à chaque fois que l’on ressent un phénomène de joie, on va nourrir la terre et l’ensemble de notre environnement terrien. Et si la conscience de la joie se répandait sur terre à la place de la conscience de la guerre, générée par la pensée pasteurienne, peut-être que le climat en serait très rapidement modifier? On a énormément de possibilités de transmettre la joie. Amour, joie et gratitude : remercier la terre en permanence, c’est grâce à elle qu’on existe, c’est grâce à elle que nos enfants grandiront librement, ce n’est pas grâce aux lois humaines, c’est grâce aux lois de la nature.

 

Vous en reprendrez bien une tranche?

Un petit poste vite fait pour vous parler de ce très bon documentaire qui nous concerne tous, au sujet du pain et de la manière dont il est fabriqué en France. Il s’agit de « Notre pain est-il dans le pétrin? », diffusé sur la  le 19/02/2017.

Il est encore en replay, mais plus pour longtemps : jusqu’au 26/02/2017.

C’est par ici :

http://pluzz.francetv.fr/videos/notre_pain_est_il_dans_le_petrin_,153656535.html

Documentaire | 50’| Plus que 2 jours en replay | Tous publics |

De E. Joseph

L’émission : En France, toutes les occasions sont bonnes pour manger du pain. Consommé en tartine, en sandwich, pour saucer ou encore accompagner un morceau de fromage, cet aliment est partout et se vend sous toutes les formes en boulangerie. Pourtant, le pain a perdu une grande partie de ses valeurs nutritives. Farine, eau, sel, levure ou levain : la recette originelle est simple. Mais améliorants, correcteurs, additifs et autres enzymes ont rejoint la liste. Que contiennent aujourd’hui les baguettes et autres miches ? Certains boulangers tirent la sonnette d’alarme et préconisent un retour aux méthodes de fabrication plus traditionnelles.

Cholestérol, le grand bluff

Chères lectrices, chers lecteurs,

Bon cholestérolMerci de prendre le temps de regarder ce documentaire sur le dogme du cholestérol, le dogme du danger des graisses, sur toutes les manipulations de la part des « scientifiques », de l’industrie pharmaceutique et agro-alimentaire, qui ont été faites depuis plus de 50 ans pour nous faire avaler différentes pilules : statines, margarines hydrogénées, dans le seul but de faire tourner leur business. Car le temps de toutes ces balivernes sur le bon et le mauvais cholestérol est désormais fini, même si certains d’entre nous, d’entre vous, ont été tellement endoctrinés qu’ils auront du mal pour encore quelque temps à imaginer que la réalité puisse être différente.

Merci aussi d’encourager le plus grand nombre de personnes autour de vous à le visionner.

Bon cholestérol à tou-te-s!

Vous pouvez regarder ce documentaire à cette adresse jusqu’au 25 octobre 2016! Ne le ratez pas!

http://future.arte.tv/fr/cholesterol

Cholestérol, le grand bluff, un documentaire d’Anne Georget (France, 2016, 83 min.), diffusé le 18.10.2016 à 20h50

Le cholestérol, que tout un chacun se représente comme un excès de mauvaise graisse dans l’organisme, est désigné à la vindicte médicale et populaire depuis les années 1950 comme responsable des maladies cardio-vasculaires qui terrassent jeunes et vieux avant l’heure. Or, un nombre croissant de chercheurs en médecine dénoncent ce qu’ils considèrent comme un vaste mensonge, façonné à la fois par une série d’approximations scientifiques et par de puissants intérêts économiques, de l’industrie agroalimentaire d’abord, des laboratoires pharmaceutiques ensuite. Les facteurs avérés de risque, affirment ces recherches convergentes, sont en réalité le tabac, l’hypertension, l’obésité et le manque d’exercice. Mais depuis la mise sur le marché, en 1993, de nouveaux traitements anticholestérol, les statines, une écrasante majorité de médecins mise sur leur prescription avant toute autre mesure préventive. Consommées par 220 millions de patients à travers le monde, les statines sont devenues en quelques années le médicament le plus vendu dans l’histoire de la médecine. Or, les fabricants eux-mêmes commencent à reconnaître qu’elles peuvent entraîner des effets secondaires graves, tels que des douleurs musculaires, des problèmes hormonaux, des pertes de mémoire, des dépressions et aussi, selon des études récentes, le déclenchement d’un diabète. Une reconnaissance tardive qui, étrangement, intervient alors que les derniers brevets en la matière tombent dans le domaine public et qu’une nouvelle molécule anticholestérol s’annonce.

Pour démonter ce qui a constitué pendant plus d’un demi-siècle un dogme inattaquable, Anne Georget donne la parole à une quinzaine de spécialistes – chercheurs en médecine, cardiologues, journalistes médicaux, nutritionnistes… – qui expliquent à la fois ce que l’on sait du cholestérol et réfutent, études à l’appui, ce qu’ils estiment être des conclusions scientifiques biaisées. Ainsi le physiologiste américain Ancel Keys, qui, le premier, avait attribué à la surconsommation de graisses saturées la stupéfiante épidémie d’accidents cardio-vasculaires survenue dans les années 1950 dans certains pays occidentaux, a-t-il délibérément passé sous silence les contre-exemples statistiques. Tandis que les études cliniques des statines ont été financées à 80 % par les laboratoires qui avaient le plus intérêt à ce qu’elles s’avèrent positives.

Pain sans gluten

P1040064Chères lectrices, chers lecteurs,
Comme beaucoup d’entre vous, peut-être, je vis sans gluten depuis quelques années. Parfois, un bon pain bien moelleux me manque.

Cet été, au Val de Consolation dans le Doubs, j’ai rencontré Jean-Pierre Aveyroux, petit bonhomme génial, boulanger hors norme et danseur de biodanza. Il m’a fait part de sa recette de pain sans gluten, très simple à réaliser, délicieuse et qui donne un pain qui se conserve une semaine environ.

Je vous la livre donc pour le plaisir de vos papilles,  un peu lasses, peut-être, du pain des fleurs quotidien et autres galettes de riz…

La recette du pain sans gluten

pain sans gluten

La recette ci-dessus est une base pour 500 g de farine.

On peut bien sûr faire un 80% sarrasin (au lieu de 40% sarrasin et 40% riz), 15% souchet et 5% châtaigne, et dans les 80%, on peut expérimenter d’autres farines (quinoa, par exemple).

Si l’on veut préparer plus de pâte, 1kg de farine ou plus, il faudra appliquer les mêmes proportions, le sel passera à 20 g et la levure aussi, l’eau à 1,2 litre, et la cuisson augmentera à 1h, 1h15.

Un conseil, pensez à bien huiler et fariner votre moule avant d’y verser la pâte, car sinon votre pain risquerait d’être indécollable…

Bonnes expérimentations et bonne dégustation!

Et encore un grand merci à Jean-Pierre du Val…