Le SCAP, selon Jacques La Maya

Extrait de La Médecine de l’Habitat, pp.242-247

« LE SYMBOLE COMPENSATEUR

Dans la revue M.I.R, M. André Philippe (chercheur infatigable et homme de bien) a parlé du symbole compensateur qu’il avait trouvé et que, comme tant d’autres, nous avons fait connaître à de nombreuses personnes en difficultés. Pour simplifier, nous l’avons appelé le S.C.A.P. puisqu’il a beaucoup fait parler de lui en des sens très divers, sinon divergents…

Principe : étudiant les nombres bénéfiques, le pouvoir des chiffres et de leurs symboles (une fois traduits en configuration graphiques), A. Philippe en est arrivé au nombre 2,33 (7 divisé par 3). Il est facile à rendre sous forme graphique. Ce S.C.A.P. avait une puissance considérable de compensation, disait-il, et, dès lors, on peut l’utiliser de différentes façons comme moyen de protection personnelle, ménagère et pour une habitation. Cela demande explication car ce n’est pas évident à première vue.

Protections personnelle ? Oui, et surtout pour ceux qui sont exposés à des rayonnements puissants (centrales électriques, stations radio et tv, personnel des sous-marins atomiques, etc). On est saturé, en ces lieux, de V-e et N-e. Le S.C.A.P. est tracé sur une carte blanche qui est portée sur soi, d’où une zone de protection réelle. On peut en faire des bijoux, des médailles, pendentifs, plaques pectorales.

Protection ménagère ? Oui : l’eau du robinet est chargée en V-e car il y a des câbles électriques dans le sol (ils sont parallèles à ceux des conduites d’eau potable !), d’où aliments chargés de V-e. Pour l’eau des chaudières, idem, les radiateurs émettent aussi ce V-e et le N-e dans toute la maison…

Un rectangle de bois (7 sur 20) sur lequel on grave le S.C.A.P. au stylo feutre est placé sur un seul radiateur. Il fait disparaître les radiations nocives. Cela joue également pour l’eau et, qui plus est, pour tout l’immeuble. On procède de la même façon pour le réfrigérateur, le congélateur et la moulinette (qui tourne dans le mauvais sens – le sens anti-horaire – et qui émet donc son V-e à plein gaz…).

Habitation ? Oui : de nombreux tests à distance sur plan, puis sur place, ont été faits avec succès quant au pouvoir de compensation, y compris pour les cas d’humidité massive due à la présence d’un rayonnement « rouge électrique ». En cours d’essai dans un habitat particulièrement malsain, A. Philippe a pu constater que le S.C.A.P. placé dans le symbole solaire était encore plus efficace et ce quasi instantanément !

Autres utilisations diverses : on s’en est servi avec succès pour machines agricoles (ou autres) tournant antihoraire (donc V-e), ordinateurs en tout genre, locomotives électriques, tous appareils électroménagers tournant dans le sens anti-horaire, armoires à pharmacie familiale, véhicules de toutes catégories, chauffages électriques, etc. Cette liste n’est pas limitative ; on peut aussi charger l’eau et les aliments. Si le S.C.A.P. est bénéfique, il n’y a pas de raison d’en limiter l’usage et on s’en est rendu compte expérimentalement. Peu à peu, le graphisme a évolué pour le rendre toujours plus performant (voir les variantes successives). A. Philippe a mis en garde ses lecteurs contre tout projet de recherche et d’essai comportant sur les nombres, car on peut tomber, dit-il, sur des nombres qui empoisonneraient l’ambiance et pourraient même attaquer le sujet expérimentateur, nuire à sa santé et mettre sa vie en danger. A première vue il peut sembler étrange que quelques traits rectilignes sur une simple feuille de papier aient un tel pouvoir (bénéfique ou maléfique selon les cas). Mais il nous a été donné d’entendre certaines confidences d’utilisateurs du S.C.A.P. (en variantes diverses) et nous devons en résumer sommairement l’essentiel car il y a eu controverse sur certains points. Tout à fait indépendamment de celle-ci, et on a eu aussi des preuves de la puissance opérative des symboles, même si le symbole agit dans un sens non désirable…

Controverses : certains utilisateurs ont trouvé que le S.C.A.P. bloquait les radiations nocives comme on s’y attendait, mais qu’il pouvait également les stocker et les réémettre ensuite en masse, ce qui est fâcheux bien sûr, et crée un doute assez alarmant. Voir, en fin de la présente étude, les conditions à remplir par le compensateur idéal (symbole ou autre principe de travail anti-O.N.). Les avis sont partagés car, en dehors de tout point de vue technique, le S.C.A.P. dérange puisqu’il est gratuit et fabriqué (ou reproduit) avec la plus grande facilité. Nous n’entrerons pas en lice pour ou contre qui ou quoi que ce soit à ce sujet et nous renouvelons l’expression de notre vive estime à A. Philippe, expérimentateur hors pair, homme désintéressé et sincèrement dévoué face à toute personne en détresse qui lui lance un appel au secours.

Une chose est absolument certaine : le S.C.A.P. possède une puissance étonnante qui peut se manifester sous mille formes. En voici un exemple des plus probants. Après un exposé sur des sujets d’ordre spirituel, la question du S.C.A.P. fut évoquée par quelqu’un et donna lieu aux très surprenantes affirmations suivantes :

– M.X… nous dit : « J’ai mis un S.C.A.P. dans mon téléviseur ; il tomba en panne et fut donné au dépanneur. Un ami nous prêta sa télévision où l’on mit un S.C.A.P. et elle tomba en panne également. On en resta là, surpris, et même inquiets… »

– M. Y… nous dit à son tour : « Ma télévision n’est pas tombée en panne, mais lors de certaines émissions, on aperçoit sur l’écran d’étranges dessins en noir qui n’ont aucun lien direct avec les images que nous devions voir se dérouler normalement. C’est très troublant ; on ne sait quoi penser de tout cela« .

– Mme D… haussa les épaules et ajouta : « La maison et le poste sont bourrés de S.C.A.P. Il ne se passe rien ni en bien ni en mal. C’est tout. Je me demande pourquoi ces personnes, elles, sont témoins de tout cela. C’est comique ! »

– Mlle R…. : « Depuis que nous avons tout neutralisé avec des S.C.A.P. la maison est vraiment transformée. Tout glisse, tout coule, tout est comme lubrifié. Et finis les troubles d’avant : insomnies, maux de tête, agressivité, pipi au lit et le reste… Quelle merveille que ces petits cartons à dessins noir sur blanc ; c’est à n’y rien comprendre, mais le fait est là… »

– Mlle C. B… : « L’informatique nous claque, surtout dans les bureaux avec tout le confort moderne à O.N. J’ai mis un S.C.A.P. sur moi et mes collègues. Nous étions beaucoup moins agressées par les ordinateurs. Quelqu’un crut bon d’en mettre dans les carters en plastique de ces derniers. Il arriva que certains ordinateurs cessèrent de fonctionner normalement. C’est plus fort qu’avec Uri Geller. Le chef de service est furieux en raison des pannes d’ordinateurs que le spécialiste ne comprend pas ; il est surtout agacé par le fait que ce petit bout de carton mette la machine au défi. Finalement, on salue le S.C.A.P. et on tourne en rond. Avec le S.C.A.P., c’est notre outil de travail (à O.N. !) qui est malade ; sans le S.C.A.P., on est mal dans sa peau ; c’est lui ou nous. Cruel dilemme digne d’un roman de science-fiction… »

– Mlle P… (organiste) : « Un orgue avait des articulations rouillées. On a mis un S.C.A.P. trois jours avant le récital à l’église Notre Dame-de-Lourdes. Le jour venu, tout a bien marché. Pourtant, un S.C.A.P. n’est pas un liquide qui huile les pivots mécaniques d’un vieil orgue ; alors ? »

PAutre chose encore, et de taille ! Un ami, très connaisseur, quelque peu cartésien (de la veine « deux et deux font quatre »), nous affirme ce qui suit : il a placé des S.C.A.P. autour d’un lit et iil s’est formé comme un mur psychique entre les deux époux dont la vie conjugale était normale. Ils ont fini par devoir se séparer. Leur karma n’était pas si mauvais puisqu’ils ont rencontré, par la suite, chacun de leur côté, un conjoint qui a fait l’affaire. Mais le fait est là : il leur a fallu se séparer ; incroyable, mais vrai…

Deuxième anecdote significative : on met des S.C.A.P. sur du bois humide pour chasser cette humidité (c’est une de ses propriétés). On met les bûches dans la cheminée. Le bois brûle bien comme on s’y attendait, mais y mit une telle ardeur que tout brûla aussi. Tout ? Oui, la suie, les murs en brique, etc. Appelés, les pompiers n’y comprenaient absolument rien car plus on jetait de l’eau, plus ça brûlait. Il y eut de grands dégâts de type paranormal. Quelle puissance cachée dans ce S.C.A.P., mais que d’effets non contrôlables aussi !

Amis lecteurs, nous en restons là, à vous de juger, si un jugement est possible devant de tels faits. Nous aurions des dizaines d’histoires vraies de ce genre : effets miraculeux, imprévus, déconcertants dans le sens d’un mieux ou d’un pis, variations dans le temps et l’espace. Qui nous dira quelles lois entrent en jeu dans les aventures des usagers d’un symbole opératif ? Qui ?

En janvier 1987, nous avons eu le dernier S.C.A.P. qui comporte 3 triangles équilatéraux circonscrits et 3 croix magnifiant les 3 sommets du grand triangle. Il est donné comme absolument polyvalent, y compris contre les actions magiques. On le met à l’essai avec prudence et doigté un peu partout. Peut-être manie-t-on, avec lui, une dynamique silencieuse mais singulièrement active. Une fois encore, qui sait quoi ?

Certains chercheurs, qui ont été satisfaits du S.C.A.P. chez eux, ont suggéré que là où il y avait des désagréments (des bavures !), c’était peut-être en raison du fait que l’habitat était déjà sous magie et que le S.C.A.P. n’a fait qu’actualiser des phénomènes latents. La maison était peut-être sous transfert, ou sous l’action cryptique d’un K.Sh.Ph. avec shin inversé. De quoi y perdre son latin ou son hébreu…

Voilà un beau sujet d’étude pour le C.N.R.S. n’est-ce pas? »

Extrait du livre « La médecine de l’Habitat », de Jacques La Maya aux éditions Dangles, 2005.

Les SCAP, symboles compensateurs d’André Philippe

C’est quoi les SCAP?

Les symboles compensateurs d’André Philippe, plus connus sous le nom de S.C.A.P. sont des dessins qui émettent une onde de forme permettant d’annuler certaines perturbations d’ordre géobiologique ou électrique ou d’un autre ordre, c’est-à-dire abstrait.

Les S.C.A.P. sont des symboles en diffusion libre, c’est-à-dire gratuits, mais j’ai quand même trouvé sur la toile des sites, espagnols ou portugais, où ils étaient en vente. Incroyable!

Cliquez ici pour savoir ce qu’en dit M. Jacques La Maya dans son livre (excellent, une vraie Bible, mais je l’ai déjà dit ailleurs) « La médecine de l’habitat », ses conseils et ses mises en garde.

André Philippe a conçu plusieurs S.C.A.P. :  il les a fait évoluer au fil du temps, au fil des expériences, positives et négatives aussi, d’ailleurs. Dans quel but? De les améliorer sans cesse. Lorsqu’on a pour tâche d’harmoniser une onde nocive ou un lieu et que l’on envisage de recourir à un S.C.A.P., je ne crois pas qu’il s’agisse d’opter systématiquement pour le plus récent. Il faut tester par recherche radiesthésique. C’est du cas par cas. Et il faut toujours suivre l’évolution des choses après la mise en place d’un S.C.A.P. Comme dirait M. La Maya, on ne sait jamais… Il peut y avoir des surprises.

Le 1e modèle

Devenu un classique, c’est le suivant :

Le 2e modèle

C’est le S.C.A.P. 3C 3T (avec 3 croix et 3 triangles) date de janvier 1987 : il est donné comme absolument universel dans ses effets, c’est-à-dire anti-ondes nocives concrètes (ONC)  et abstraites (ONA).

 Le 3e modèle

C’est le « S.C.A.P. 3T. 3 C. Héb. » : il a été mise en service à partir de mai 1987. C’est une amélioration du précédent. Il comporte en plus 3 lettres en hébreu carré qui représentent les 3 éléments de la Sainte-Trinité (Père, Fils et Saint-Esprit). Il est donné comme très efficace sur tous les plans (y  compris magie et affaires d’ordre spirituel).

Et une variation de ce modèle (intégré dans le symbole solaire) :

Et avant le 4e modèle, il y a probablement eu celui-ci : sans le shin et sans les trois cercles. Celui-ci est en vente (hallucinant!) sur certaines sites.

Le 4e modèle

Ci-dessous : il date de mars 1990 et remplace tous ceux qui l’ont précédé pour ce genre de symbole à effets multiples.

Et le 5e modèle paru en 2003

Mais , c’est pas fini. En voici d’autres encore… Si quelqu’un a des pistes concernant la chronologie de l’évolution des S.C.A.P., n’hésitez pas à partager ces infos avec nous.

Utilisation des symboles compensateurs

En consultant divers sites sur internet abordant les S.C.A.P., on trouve beaucoup de gens qui les connaissent mais peu qui les utilisent.

Pour ma part, j’ai commencé à les utiliser il y a quelques mois, et je dois dire que les résultats sont assez époustouflants. Comme il y a plusieurs modèles (je vous en ai présenté 9 au total, mais peut-être y en a-t-il d’autres?), il faut déterminer au pendule celui qui convient le mieux au problème auquel on doit faire face. Pour cela, une fois que vous avez détecté l’origine du problème ou l’endroit où la perturbation est la plus forte (avec une planche « géodynamètre », par exemple), vous déterminez au pendule toujours, donc par le ressenti, celui qui apportera le plus de bénéfices et le moins d’effets secondaires. Après la pose, vous vérifiez le taux vibratoire : vous l’aviez bien sûr vérifié au préalable! Vous refaites un test au géodynamètre. Tout doit avoir progressé significativement. Si vous n’êtes pas satisfait du résultat, sélectionnez un autre S.C.A.P. et refaites les tests.

Deux exemples

Monsieur Jean

Jean, un monsieur de 84 ans habitant à Chartres est de plus en plus fatigué et a de plus en plus de mal à marcher. Il se plaint de très mal dormir, puisqu’il est réveillé 6 à 7 fois par nuit par des crampes extrêmement douloureuses. Il va plusieurs fois par semaine chez son médecin qui le gave de médicaments mais aucune amélioration en vue. J’interviens chez lui… Je teste la chambre  : elle va bien. Je teste son lit : il va très mal avec un taux vibratoire à 2000 Angströms et le géodynamètre qui ne veut pas monter au-delà de -40. Je regarde sous son lit  et là,  je découvre un enchevêtrement de fils électriques et de multiprises : l’horreur. Mais le pauvre homme, victime du confort moderne, a investi dans un lit électrique qui permet de surélever le haut ou le bas du matelas. Le problème de ce genre de lits est que le moteur se situe à l’aplomb du tronc où se rassemblent tous les organes vitaux et que le corps endormi est particulièrement sensible à cette pollution invisible électrique. J’enlève donc toutes les multiprises et tous les fils qui trainent sous le lit, je déconnecte les prises alimentant les deux moteurs du lit (évidemment , ce ne sont pas des prises de terre, ça aurait été trop beau) et je les rebranche dans le bon sens (sens où le champ de torsion est positif). Vous pouvez vous reporter en ce qui concerne le champ de torsion et les prises à mon article « La fée électricité et ses attaques sournoises » et au paragraphe « Brancher une prise mâle dans la prise femelle ». Je choisis au pendule le S.C.A.P. qui sera le plus bénéfique pour neutraliser la pollution en provenance des moteurs. Je place un S.C.A.P. sur chaque moteur. Et le tour est joué. Dès la première nuit, Monsieur Jean a senti la différence. Il ne s’est réveillé qu’une seule fois avec une toute petite crampe. Voilà bientôt deux mois que j’ai placé ce dispositif et il se sent de mieux en mieux : il dort vraiment mieux et a même retrouvé de l’appétit.

Sylvie

Sylvie habite à Créteil dans un joli appartement assez lumineux, assez agréable de prime abord. Seul inconvénient : les garages abritant toutes les voitures de l’immeuble sont situés juste en-dessous de chez elle. Donc elle vit et dort au-dessus d’un empilement de voitures. Lorsque j’arrive chez elle, la pollution électrique en provenance du sous-sol se retrouve partout. Sous son lit passe un nœud du réseau Hartmann  : la pollution électrique du sous-sol amplifie sa nocivité. Pour harmoniser le lieu, je place un S.C.A.P. choisi au pendule sur le nœud du réseau H. sous son lit. Je refais des tests et vérifie que la pollution électrique n’est plus là. Il y a aussi un pan de mur dans un placard contenant des vêtements qui présente des traces d’humidité et de moisissures. Chaque fois  que Sylvie rentrait chez elle, l’odeur de renfermé l’agressait. Je place un autre S.C.A.P. sur le mur humide et lui demande de le nettoyer pour que l’on puisse constater ou non l’arrêt de la prolifération des champignons. Résultats : Sylvie retrouve un bon sommeil réparateur, le mur humide a séché et l’odeur de moisi a disparu pendant deux mois, mais est en train de revenir. Le S.C.A.P. du mur s’est peut-être saturé, et il faudra le remplacer par un autre.


L’après-vie, de Serge Fitz

après-vie, serge fitzJe viens de terminer un  livre passionnant et déroutant : « L’après-vie : Nouvelles perspectives pour les disparus », de Serge Fitz, paru en 2011.

Serge Fitz nous apprend comment rechercher par radiesthésie les personnes, animaux ou objets disparus, jusque-là tout ce qu’il y a de plus classique dans ce domaine. Puis le livre glisse doucement vers un sujet beaucoup plus vaste, celui de la mort, de la réincarnation et de la résurrection qui, d’après l’auteur et les enseignements de G.P. Grabovoï dont il se fait le porte-parole, sont à la portée de chacun d’entre nous (à condition d’avoir l’esprit un tantinet ouvert) pour finir sur des considérations concernant l’essence de la vie et de l’âme.

Voici ce que dit la jaquette du livre

En remontant le temps, le radiesthésiste permet aux vivants de comprendre les disparitions qui les frappent et apporte les informations pour un deuil vivifiant.

En faisant la lecture radiesthésique du stress et des niveaux énergétiques des moments vécus par le disparu à partir de l’instant où le voile tombe, nous pouvons enfin comprendre l’indicible. Un deuil réussi est aussi bénéfique à ceux qui restent qu’à celui parti pour une autre vie.

Si cette lecture débusque désormais les mensonges de l’histoire, elle permet aussi le contact avec les entités ainsi que, lorsque c’est le cas, la localisation de leur réincarnation.

Abordant le sujet de la résurrection, l’auteur nous introduit auprès de Grigori Petrovitch Grabovoï, l’académicien russe extra lucide qui nous fait entrer dans un continuum où la mort n’a plus sa place.

Serge Fitz est l’auteur de plusieurs livres sur la géo-biothérapie et le langage des maladies. Il anime des séminaires en tant que radiesthésiste, conseiller et praticien dans les domaines des énergies corporelles et du décryptage des causes de la maladie.

Pour en savoir plus sur ces sujets passionnants, allez faire un tour sur l’un des sites de l’auteur

http://www.sante-info-russie.com/materialisation.htm

http://www.lequadrant.com/

Mauvaises ondes : documentaire sur France 3

Tous à vos télés le 18 mai 2011 à 20h35 sur France 3

Inodores et invisibles, les ondes électromagnétiques sont pourtant partout. Mais sont-elles dangereuses ?…

Réalisé par Sophie Le Gall
Une production : Ligne de Mire Production, avec la participation de France Télévisions

Le 18 mai prochain, France 3 propose lors de sa soirée documentaire Hors Série présentée par Samuel Etienne, un document inédit Mauvaises ondes, sur l’utilisation des ondes électromagnétiques que ce soit celle du wifi comme celle du téléphone portable et bien d’autres. A cette occasion la réalisatrice Sophie Le Gall a répondu aux questions de Première.fr.

Après avoir réalisé le documentaire Du poison dans l’eau du robinet, diffusé lui aussi sur France 3, vous proposez aujourd’hui Mauvaises ondes traitant des ondes des portables et autres instruments électroniques. C’est une volonté de votre part de s’attacher à des sujets du quotidien ?

En réalité on avait proposé il y a plus d’un an plusieurs thématiques de santé publique qui s’inscrivent dans le quotidien des français. On a vendu ces projets à France Télévisions qui a d’abord diffusé le documentaire portant sur l’eau du robinet et les différents poisons contenus dans cette eau. Le documentaire avait réalisé une bonne audience donc on a proposé cette année Mauvaises ondes, une enquête sur le danger des ondes émises par les téléphones portables, le wifi et d’autres appareils électroniques.

Pourquoi avoir réalisé un documentaire sur ce thème ?

On a voulu faire un documentaire faisant le bilan de ce qui existe. En France aujourd’hui il y a plus de 64,4 millions de portables pour une population de 64 millions de personnes. Le portable s’est imposé massivement en 15 ans, il fait partie du quotidien de tous sans qu’on se soit réellement posé la question de ses effets sur le quotidien des français. Ce qui a nous a poussé à faire ce sujet c’est l’étude européenne Interphone sur les dangers des ondes des portables. Les résultats de cette étude ont mis des années à sortir et  les chercheurs entre eux n’arrivaient pas aux mêmes conclusions. Finalement le lecteur en lisant cette étude n’était pas plus informé.

Mais la vraie question pour nous c’était « est ce que réellement l’étude n’a rien pu prouver ou les chercheurs ont-ils trouvé des résultats mais qui ont été passés sous silence ? » C’est à partir de cette question-là qu’on a décidé de réaliser ce documentaire. Pourquoi certains chercheurs trouvent des résultats alors que d’autres n’ont toujours rien après des années de recherche ? On voit dans le documentaire que des chercheurs ont trouvé des résultats mais certains ont vu leur budget ne pas être renouvelé, d’autres ont subi de fortes intimidations… Le problème qui se pose c’est l’indépendance de la recherche. Certaines équipes ne trouvant rien sont financées par des opérateurs de téléphonie…

On s’est aussi intéressé dans ce documentaire aux normes régissant ces ondes. Comment sont-elles adoptées, qu’en pensent les chercheurs, quel est le rôle des lobbys ? Il faut savoir que certaines industries ont joué un rôle dans l’adoption et la création de ces normes.

Quand vous avez commencé à travailler sur ce sujet, est-ce qu’il vous semblait possible de réaliser ce documentaire compte tenu des enjeux économiques qui sont liés ?

L’avantage de faire ce documentaire pour France Télévisions c’est qu’il n’y a pas de problème d’étanchéité, pas comme certains groupes qui ont des intérêts communs avec des opérateurs de téléphonie. On était plus serein de travailler avec France Télévisions. Et on était certains que ce thème les intéresserait puisqu’il s’agit d’un vrai problème de santé publique.

Quelles difficultés avez-vous rencontrées pour réaliser ce document ?

Nous n’avons pas eu de difficultés avec la communauté des chercheurs. On a pu rencontrer tous les gens avec lesquels on souhaitait s’entretenir. Le problème s’est plus posé avec les opérateurs de téléphonie mobile. On s’intéressait à des cas précis donc on souhaitait poser des questions très précises. Mais les services de presse des opérateurs nous renvoyaient vers la Fédération française des télécoms, qui regroupent les trois grands opérateurs français. Elle pouvait répondre à des questions globales mais pas à des cas précis.Il était donc difficile d’avoir des réponses. Après c’est la limité du journalisme, si ils ne souhaitent pas répondre on ne peut rien faire.

Avez-vous subi des pressions venant du monde politique ou industriel ?

Nous n’avons subi aucune pression ni venant des politiques ni des opérateurs. La seule difficulté rencontrée était d’entrer en contact avec les industriels.

Quel impact pensez-vous que ce documentaire aura sur le public?

Sur le public je ne sais pas trop. Mais je vais répondre par rapport aux réactions que j’ai pu voir lors de la diffusion du film à des journalistes. Certains étaient très surpris, surtout par la première séquence du documentaire pour laquelle on a travaillé avec un laboratoire indépendant dans un appartement témoin. Un ingénieur est venu mesurer les différentes ondes émises par les appareils de la maison. Il faut savoir que le babyphone ou encore le téléphone fixe sans fil produisent eux aussi des ondes électromagnétiques mais moins forte que celles du téléphone portable. Cette séquence provoque, d’après les premières réactions qu’on a pu voir, une vraie prise de conscience de l’environnement dans lequel on vit au sein même de nos foyers.

On espère que ce documentaire aidera le public à être mieux informé. Aujourd’hui il y a un vrai manque d’informations sur ces ondes. Même si ils existent des normes françaises obligeant les industriels à afficher certaines informations, ils n’ont pas de réelle volonté de communiquer là-dessus. Un exemple : le DAS ( Débit d’Absorption Spécifique ndlr)  des portables. Le DAS c’est le chiffre mesurant le rayonnement des appareils (il indique la quantité d’énergie absorbée par l’organisme. Une valeur faible au DAS traduit une exposition plus faible aux ondes électromagnétiques ndlr). Ce chiffre doit être affiché en magasin pour les téléphones portables. Mais il est souvent noté en tout petit et peu de personnes savent ce qu’il signifie, beaucoup même ne connaissent pas l’existence de cette information.

Quel conseil donneriez-vous aux français à propos des ondes ?

Beaucoup de scientifiques déconseillent l’usage du téléphone très tôt chez les enfants. Les ondes des portables ont le même impact sur leurs cerveaux que sur ceux des adultes à une différence près c’est qu’ils absorbent plus d’ondes. Si l’usage du téléphone portable est indispensable, les médecins conseillent de ne pas faire de longues communications.

Les autorités sanitaires conseillent aussi de ne pas coller sa box internet et téléphone près de soi. Il faut la mettre dans un lieu isolé et éviter si possible de la placer dans un lieu de vie comme la chambre à coucher ou sur le bureau où on travaille.

Texte de Pauline Hohoadji sur Première.fr

DEBAT EN DIRECT

Présenté par Samuel Etienne

Débat avec des auteurs, réalisateurs, témoins ou experts.

Date : 18/05/2011
Horaire : 20H36 – 21H55
Durée : 78 mn

Rediffusion le samedi 21 mai à 02h25

Revoir le documentaire maintenant : http://www.pluzz.fr/mauvaises-ondes-2011-05-18-20h35.html

Des abeilles à Ivry-sur-Seine

Des abeilles à Ivry, des abeilles en ville… Face à la pollution des campagnes par les produits chimiques répandus dans les champs, la ville offre désormais un refuge pour les abeilles.

Aberrant, mais génial!  Depuis quelques jours, la ville d’Ivry en partenariat avec l‘U.N.A.F. (Union Nationale de l’Apiculture Française) a installée six ruches sur une très jolie prairie fleurie, située au rond point Jaroslaw Dombrowski, juste au-dessus des jardins ouvriers, près du fort. Cette démarche s’intègre dans un programme national appelé « L’abeille, sentinelle de l’environnement ».

L’inauguration aura lieu le 21 mai 2011 en présence du député-maire Pierre Gosnat et de l’apiculteur référent de l’U.N.A.F. Yves Baudron. Et une récolte de miel devrait avoir lieu en juin. Affaire à suivre…

Si vous voulez en savoir plus :

Article Biodiversité : des ruches au fort, dans Ivry-ma-ville n° 421 mai 2011

A la ville, les abeilles échappent à la pollution chimique rurale. Résisteront-elles à la pollution invisible des antennes-relais de la téléphonie mobile? En effet, certains scientifiques allemands formulent une théorie selon laquelle les radiations provoquées notamment par l’utilisation de téléphones portables perturberaient le système de navigation des abeilles, les empêchant ainsi de retrouver leur chemin jusqu’à la ruche. On assiste ainsi à une véritable épidémie de « Colony Collapse Disorder » (CCD), un trouble qui vide littéralement les ruches de leurs abeilles ouvrières, ne laissant que la reine, les oeufs et les abeilles immatures.

Et voici quelques photos prises ce matin avec l’aimable autorisation des jardiniers Christian et Patrice. Ce lieu en pleine ville est vraiment magique : il vous projette complètement à la campagne. N’hésitez pas à aller en profiter lors de l’inauguration du 21/05/2011.

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Des légumes dans les bouchons

L’année dernière, des légumes se sont mis à pousser sur le terre-plein du boulevard Henri Sellier à Suresnes, dans le 92, au beau milieu d’une circulation intense.

Les initiatives vertes sont de plus en plus nombreuses en milieu urbain. Il serait bon que cette vague bio soit répercutée au niveau national. En effet, fin 2009, 16 446 exploitations agricoles étaient engagées dans la production biologique avec 677 513 ha, soit 2,46% de la surface agricole utilisée (SAU) nationale.

A peine 3%, un chiffre ridicule.

Comme j’ai trouvé cette idée sympa, je souhaitai la partager et j’ai fait quelques photos avec un téléphone portable. Donc, désolée pour la qualité.

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