Nourrir son âme

La richissime vidéo de Jacques Antonin

Aujourd’hui, je souhaite partager avec vous une vidéo magnifique, riche, globale, lumineuse, dans laquelle Jacques Antonin  du site  http://www.etre-souverain.com/ aborde une vastitude de sujets :

  • la composition de l’air (78% d’azote, c’est un chiffre que vous n’oublierez plus après avoir vu la vidéo),
  • les bactéries et micro-organismes,
  • les rayonnements solaires et rayonnements artificiels,
  • les chakras, les graines germées, en tant que nourriture pour ré-harmoniser certains plans vibratoires,
  • la biodiversité,
  • et aussi les microzymas et Antoine Béchamp,
  • Pasteur et la vision pasteurienne du monde,
  • Viktor Schauberger, Rupert Sheldrake, Emile Pinel…

Je pourrais  continuer longtemps tellement cette vidéo englobe de choses.

Cependant, Jacques Antonin aborde tout cela avec une grande cohérence. Ça a l’air de partir dans tous les sens, mais il nous montre comment tout est lié.

Comme ce qu’il dit est vraiment passionnant et dense, j’ai voulu en retranscrire ici les grandes lignes afin que chacun puisse s’en imprégner et y réfléchir posément et, puisqu’il n’y a pas de sous-titre, permettre aussi aux malentendants de bénéficier de son message.

L’alimentation vivante

Les travaux de Edmond Bordeaux-Szekely, notamment avec « L’Evangile essénien de la paix », sur l’alimentation vivante sont à la base de la réflexion de Jacques Antonin. Au démarrage de la vie végétale, il y a les graines, les bourgeons. J. Antonin a tenté de faire le lien entre les spécificités des graines et les différents plans vibratoires, c’est-à-dire les différents chakras qui sont des portes d’entrée, des vortex, à ces différents plans.

Il classe l’alimentation selon sa puissance au niveau lumière, c’est-à-dire au niveau de l’apport en biophotons:

  • alimentation biogénique : graines germées
  • alimentation bioactive : monde végétal vivant, cru, en cours d’expansion
  • alimentation biostatique : monde végétal cuit, qui bloque les forces de vie, sauf cuit à basse température
  • alimentation biocide : encrassant, parce qu’empêchant la lumière de circuler en nous. Ce sont, par exemple, la viande grillée, les ragoûts, même s’ils nourrissent quand même notre âme par le plaisir qu’ils procurent.

Il explique que ce qui nourrit vraiment notre corps physique, c’est une résonance vibratoire lumineuse. Et le moment où cette résonance vibratoire est la plus forte, c’est au début de la germination, quand se produit une explosion de lumière, capable de communiquer avec notre ADN. Le tournesol germé, par exemple, va aller stimuler notre plexus solaire et restructurer la glande endocrine associée à ce chakra, le pancréas.

Le fonctionnement du système endocrinien est en lien avec les différents plans vibratoires, ou chakras vibratoires, qui alimentent une glande qui, elle, alimente un organe. Par exemple, le vortex du plexus solaire capte l’énergie du soleil qui énergétise le pancréas qui va, à son tour, stimuler l’ensemble du système digestif dont l’organe majeur est l’estomac. Le pancréas gère l’ensemble du système digestif et la régulation du développement du système cellulaire par l’intermédiaire de la pancréatine. La pancréatine est transmise par la maman au moment de la fabrication du placenta et régule le développement cellulaire. Le pancréas est le siège de toutes nos émotions, celles qu’on peut avoir dans cette vie ou bien les mémoires émotionnelles résultant des vies passées.

Le processus de l’incarnation

Le pancréas fait le lien entre ce monde d’incarnation visible sur terre et un monde invisible cosmique d’où l’on vient et vers lequel on retourne, dans la mesure où l’on a compris le sens de l’incarnation pour l’élaboration d’une âme de plus en plus légère et pure.

Pour comprendre comment on vient sur terre, dit-il, il faut comprendre le fonctionnement de la cellule. Il en réfère aux différents travaux d’Emile Pinel, Jacqueline Bousquet, Etienne Guillé, Rupert Sheldrake en expliquant que:

  • l’âme fait partie d’un champ d’énergie manifesté sur terre, appelé par Emile Pinel le champ H3 ou champ de forme, l’âme,
  • par rapport au champ H2 ou champ de mémoire, mémoires cellulaires des lignées, l’esprit,
  • et au champ H1 ou champ physique, le corps

Champs H1 H2 H3

L’âme traverse le plan astral pour venir s’incarner. Elle est une entité spirituelle venant chercher les informations qui lui manquent pour son évolution, pour être remplie totalement. Ces informations, elle va les trouver dans ses relations affectives avec son environnement, avec les différents règnes, minéral, végétal, animal, humain, et les ambiances générées par ces différents plans vibratoires, notamment la nourriture. Le mal-être est toujours synonyme de l’ignorance de notre âme. Qu’est-ce qui nourrit l’âme, mon âme? Qu’est-ce que j’ai besoin pour vivre? Si la nourriture de l’âme est harmonieuse et comble ses besoins, à ce moment-là le corps physique est en bon état de fluidité.

Le pancréas est une glande qui subit les effets du choix d’incarnation. L’âme qui s’installe dans le corps physique a un effet dès le début. Il est important de comprendre le rôle du pancréas et de l’aider à vivre la digestion des émotions dans la conscience avec le plus de fluidité possible. Par exemple, quand on choisit des parents qui ne sont pas toujours le père idéal ou la mère idéale : arrivé à un certain âge, il est important de faire un bilan afin de pouvoir remercier ses parents, car ils font partie de notre choix d’incarnation.

L’alimentation est uniquement de l’information qui remplit, nourrit notre âme, au même titre que les relations avec notre entourage. L’information est guidée par notre esprit (champ H2) qui l’envoie à notre âme (Champ H3), qui la transmet à notre corps physique qui matérialise cette information dans notre corps physique. Si, pour une raison x ou y, il y a une coupure entre les différents champs, par exemple si l’on refuse d’entendre ou de conscientiser l’existence d’un monde spirituel à l’origine de la matière, la suite va être quelque peu compliquée et on risque de se retrouver dans un contexte où l’on va perdre sa vie à la gagner. Pour gagner sa vie matérielle, on s’engage parfois dans des histoires lourdes dans la matière, et le corps physique qui n’a plus cette étincelle de conscience qui alimente l’âme, subit de manière consécutive des informations par le biais de la maladie. Ce sont des indications, des orientations qui, si l’on ne les prend pas en considération, risquent de le détériorer gravement jusqu’à la mort, c’est-à-dire l’arrêt de la transmission des messages entre H1, H2 et H3. Un corps physique qui meurt, c’est un corps physique qui ne transmet plus de messages lumineux, qui ne communique plus.

L’espace astral, continue J. Antonin, se situe entre la ionosphère et la lithosphère, dans l’atmosphère, c’est-à-dire dans la sphère atmique (atmos-sphère, la sphère de l’âme). Quand l’âme traverse l’espace astral, elle traverse les différentes couches de l’atmosphère, chargée de lumière et d’informations lumineuses extraordinaires (le champ de tous les possibles) dont la composition est de 78% d’azote. Juste avant et pendant la Révolution Française, on a mis en place les bases de la chimie moderne, ce sont les travaux de Lavoisier, et l’on a enlevé l’essen-tiel, c’est-à-dire l’essence du ciel, tout ce qui est à l’origine de la manifestation de la vie et qui explique  le principe de la fusion froide et, notamment, la capacité de transformer un élément en un autre, grâce à un gaz extraordinaire qui a été taxé de neutre et qui s’appelle l’azote : a-zot, qui est sans vie. Les 4 bases azotés de notre ADN constituent la structure même du fonctionnement de l’être humain. L’azote est donc un élément prépondérant de la manifestation de vie sur Terre. Protéine, proto- veut dire « premier élément » : la protéine est le premier élément qui apparait grâce à l’azote de l’air. Toutes les protéines sont d’origine azotée.

Le rôle fondamental de l’azote

On croit que l’humain n’a pas la capacité de synthétiser l’azote de l’air en protéine. Mais c’est parce qu’on est dans la pensée pasteurienne, qui est dans le droit fil conducteur de la pensée de Lavoisier, où l’on a enlevé tout ce qui nous dérangeait, parce qu’on ne le comprenait pas. Pasteur a fait la même chose avec son microscope quand, voyant les petits points qui rebondissaient sur la plaque du microscope, il a diminué la capacité de grossissement du microscope, comme ça, il ne voyait plus les petits points. Cela a été à l’origine du conflit entre Pasteur et Béchamp. C’est comme ça que la vie, la vraie manifestation de la vie, a été mise à l’écart. Ces petits points mystérieux, c’était les fameuses bactéries qui sont capables de transformer l’azote de l’air en protéines. Or, l’humain est constitué de 60 à 80 milliards de cellules et d’au moins 1000 milliards de bactéries. La bactérie, premier organisme à être apparu sur Terre, a permis de synthétiser le monde aérien en monde matériel vivant. La bactérie est l’interface entre un monde aérien lumineux et l’apparition de la vie. On peut dire qu’il n’y a pas de mauvaise bactérie. Or, la pensée pasteurienne a commencé par une forme de lutte, de combat, contre les microbes, les bactéries, les virus qui représenteraient un danger.

Un virus est une bactérie qui a muté parce qu’elle n’a pas d’autre solution pour envoyer un message de réharmonisation dans un organisme vivant. Avec une vision holistique de l’organisme, il est possible que, pour des raisons de prise de conscience, une bactérie mute en virus pour inciter l’ensemble de l’organisme à se mobiliser, non pas pour tuer les bactéries, mais pour créer un contexte dans lequel la bactérie n’a plus de raison de venir, n’a plus de raison d’être. Croire qu’une bactérie meurt, c’est être dans la vision pasteurienne. Les bactéries ne meurent jamais. Les bactéries apparaissent ou disparaissent. Elles ne naissent pas, elles ne meurent pas, elles passent d’un monde invisible à un monde visible. Leur mission est de maintenir un équilibre, d’harmoniser l’espace dans lequel elles évoluent. La cellule cancéreuse, par exemple, veut recréer une structure lumineuse qui n’est pas dans le monde visible, qui est de l’autre côté. Elle ne veut pas tuer l’organe. Elle recrée la structure énergétique disparue et, quand cette structure a été recréée, les cellules n’ont plus besoin de se multiplier indéfiniment.

L’ignorance de l’importance de l’azote dans la composition de l’air et le remplacement du mot « air  » par le mot « oxygène » sont à l’origine de beaucoup de problèmes aussi bien au niveau de la santé que de la manière de vivre et, surtout, de pratiquer l’agriculture sur la planète. L’ignorance de l’importance de l’azote et l’apparition des engrais azotés sont à l’origine de la pollution et de la destruction de la qualité des aliments. En effet, à la fin de la 1ère et 2ème guerres mondiales, la pénurie de main d’œuvre dans les campagnes nous ont fait accepter une aide et un piège en provenance des États-Unis : les engrais azotés. Les vieux le savaient bien pourtant : la terre en hiver s’enrichit en azote grâce à la neige qui la recouvre. Au début, les engrais azotés sur des terres riches ont fait merveille : on avait de meilleurs rendements, on utilisait moins de fumier. Mais très vite, les plantes se sont retrouvées avec une déficience en force de vie et l’on a assisté à l’apparition des premières maladies cryptogamiques. Sont alors apparus les premiers pesticides, fongicides et insecticides qui, s’infiltrant dans le sol, en ont perturbé la vie microbienne, empêchant ainsi les bactéries de jouer leur rôle de protéines dans le sol. Et là, ont commencé les carences et les diminutions de rendement, entraînant une augmentation du taux d’engrais, des risques de maladies de la plante et du taux de pesticides pour en arriver à aujourd’hui où les nappes phréatiques sont saturées par des polluants d’origine agricole.

La pensée humaine a le pouvoir de perturbation et le pouvoir d’harmonisation. La pensée doit venir du cœur et non du mental. Le cœur décide et le mental exécute. On a intérêt à prendre conscience de nos pensées si l’on veut harmoniser l’espace dans lequel on se trouve. Depuis un siècle et demi, on a transformé l’humain avec un état de souverain de soi en humain avec le moi-groupe, c’est-à-dire qu’on a ramené l’humain au règne animal, on lui a enlevé sa capacité d’être souverain, de penser par lui-même et pour lui-même avec une vision globale des choses. Il y a eu un amalgame entre individualité et individualisme. Et les humains qui n’ont pas la capacité à être eux-mêmes ont tendance en réaction à être individualistes.

Malgré la situation chaotique dans laquelle nous nous trouvons, il faut tout de même rester positif et optimiste, car il y a énormément de ressources dans la nature et dans les guides de la Nature qui se manifestent à travers le règne végétal et aussi les animaux dignes de ce nom, c’est-à-dire ceux qu’on a pas exploités et mis dans un contexte de culture hors-sol industriel.

Les 4 céréales de base pour réharmoniser les 4 premiers plans vibratoires

On a ce pouvoir de recréer des liens avec la nature, notamment grâce à l’aide des céréales, en début de germination, les céréales germées, qui peuvent agir sur les 4 plans vibratoires ou chakras de base:

  • 1e chakra, chakra racine, le règne minéral, en résonance avec le seigle

669-deux_epis_de_seigle_immatureLe seigle a un système racinaire extrêmement long, il est très lent dans sa production, sorte de force tranquille, enracinement, lien entre les forces telluriques et l’environnement immédiat. Il stimule les glandes surrénales, qui sont en lien avec l’énergie de la Terre Mère. Les surrénales sont actuellement les plus affectées par la résonance vibratoire des ondes électromagnétiques artificielles qui nous déconnectent des forces de vie naturelle de la terre, de la force d’amour, énergie magnétique.

On peut aussi utiliser la betterave rouge.

L’animal qui est en lien avec la résonance vibratoire du chakra racine, avec le seigle, c’est le porc. Ancré dans la terre avec ses 4 sabots, c’est un laboureur. Il nous montre comment on peut intervenir sur la terre, sur le travail de la terre, sans la perturber : à la fin de l’automne, au début du printemps. On en a fait des élevages industriels horribles où les porcs se mangent entre eux. Le gras de porc est de la voie lactée solidifiée, cristallisée.

  • L’orge pour le 2e chakra, chakra sacré, en lien avec le monde de l’eau, le pouvoir de transmettre la vie

orgeUn des problèmes majeurs sur la planète, c’est la qualité de l’eau, la circulation de l’eau à travers les courants marins perturbés, les pollutions de toutes sortes dont les mémoires. D’où l’importance de boire une eau de qualité qui va réhabiliter le 2e plan vibratoire. L’orge a le pouvoir d’aider les ovaires et les testicules des humains à retrouver leur fonction originelle de transmettre la vie. L’orge est en lien avec la vache, animal sacré, mais cet aspect n’est pas pris en considération en Occident. La vache ne peut exprimer sa spécificité que si elle garde ses cornes. On peut bénéficier de ces informations véhiculées par l’animal, sans le manger, simplement en étant à son contact ou en s’occupant de l’animal. La vache nous montre à quel point on doit rester patient pour digérer les informations transmises par le règne végétal. La vache a 4 estomacs. La vache fait du lait, c’est de la voie lactée liquide et est en lien avec le monde des étoiles.

  • Le blé pour le 3e chakra, plexus solaire, en lien avec le feu, le monde de la digestion

epi_ble80La céréale restructurante pour ce plan est le blé. Or le blé est, à l’heure actuelle, porteur de chaos, à cause de la manière dont il est cultivé et transformé. On ne doit pas mettre d’engrais azoté au printemps sur le blé. Le blé est une céréale solaire qui fait un épis grâce à l’énergie solaire. Quand on met un engrais azoté sur le blé, même un compost bio, une fois qu’il est semé, on crée un conflit à l’intérieur de l’amidon, et les protéines du blé, le gluten, deviennent allergènes, car elles ne sont plus adaptés à notre pancréas. La différence entre le blé et le petit épeautre qui contient aussi de la gliadine, c’est que si l’on met un engrais azoté sur le petit épeautre, on n’obtiendra pas de grains. La problématique de l’intolérance au gluten lié au blé provient de l’utilisation d’engrais azotés. La qualité du blé est très importante : sur le marché, la valeur monétaire du blé est fonction de son taux de protéines. Il est donc naturel que tous les agriculteurs, bio ou non, aient tendance à faire en sorte qu’il y ait un maximum de protéines dans le grain.

  • L’avoine pour le 4e chakra, le cœur, en lien avec l’air

produit_108-1520-2L’avoine est une plante libre, sa graine est très volatile (fol avoine). L’avoine a la capacité de capter l’énergie de l’air lumineux et de la synthétiser dans sa graine, en forme de double vortex inversé. L’avoine se met en mouvement au moindre souffle d’air et s’immobilise dès que le vent s’arrête : elle a liberté de mouvement . Et cette liberté correspond à la notion de discernement que doit avoir l’humain, c’est-à-dire qu’il bénéficie de toutes les informations mais il garde sa ligne de conduite, son « je », sa capacité à être qui il est. Elle permet donc de réhabiliter cette structure énergétique qu’est le thymus, la glande qui énergétise le cœur sur laquelle s’appuie le système immunitaire et l’identité de la personne.

L’avoine, tel qu’il est cultivé actuellement, ne peut pas être consommé en graine germée, à cause de son enveloppe. Il faut la décortiquer. Et une fois décortiquée, elle ne germe plus car le germe est détruit. Il faudrait re-cultiver un type d’avoine germable qui s’appelle l’avoine nu. A défaut, on peut utiliser le lait d’avoine et le jus d’avoine obtenu grâce à l’herbe d’avoine. Cela aura un impact sur le thymus qui va réparer capacités de conscience de soi.

Recette du lait d’avoine : http://www.cfaitmaison.com/bio/avoine.html

Les animaux en lien avec ce plan vibratoire sont la chèvre et la brebis:

  • la brebis pour la capacité à mettre le cœur en paix
  • la chèvre pour la dynamisation, la légèreté et la capacité d’évoluer librement

On peut utiliser le lait de chèvre pour dynamiser un enfant amorphe, par exemple, et le lait de brebis pour calmer un enfant trop « insupportable ».

Et le sarrasin?

pdzby3rlfr40kow48gss80s0-source-9733425Il y a une autre céréale au pouvoir fabuleux en lien avec les quatre premiers plans vibratoires. C’est le sarrasin. C’est une graine magique en forme de pyramide à base de 3 côtés. Riche en minéraux, en silicium dans son enveloppe. Elle est à consommer en début de germination, car ses effets sont plus puissants pour l’harmonisation des 4 chakras de base.. Lorsqu’on la fait pousser dans la terre, on peut observer que la pointe de la graine germée est d’abord pourpre, aux couleur du 1er chakra, puis elle devient orange (2e chakra), puis jaune (3e chakra, plexus solaire), puis deux petits cotylédons verts émeraude s’ouvrent (4e chakra).

Le sarrasin fait le lien entre les quatre premiers plans vibratoires.

Le fonctionnement énergétique du corps humain

Au vu du fonctionnement énergétique du corps humain et dans la mesure où l’âme est venue chercher des informations, on peut se demander où va-t-elle trouver ces informations? Qu’est-ce qui nourrit mon âme? C’est le rire d’un bébé, un lever de soleil, le parfum d’une rose, des gouttes de rosée, mais c’est aussi des aliments matériels qui transportent des informations. Et ce sont ces informations qui nourrissent notre âme. Pourrait-on se nourrir directement à la source sans passer par la matière? Pour comprendre ce phénomène de l’alimentation pranique dont parle le film Lumière, il faut prendre en compte le pouvoir de la bactérie de transformer l’azote de l’air en protéine et d’être à même de faire l’alchimie dans notre système intestinal de toutes les informations qu’elle reçoit, au niveau éléments, par le biais de la respiration, en éléments nourrissants qui correspondent au besoin de l’âme, en fonction de l’histoire de chacun.

Quand on explique le phénomène par la présence des bactéries et surtout par la respiration -l’azote étan l’élément prépondérant à l’apparition de la matière sur terre-, on peut comprendre l’alimentation pranique, l’alimentation naturelle de l’humain sans la matière. L’alimentation naturelle, c’est être dans la nature, c’est-à-dire être en lien avec les forces de vie de la nature. C’est cela qui nous nourrit vraiment, qui stimule notre champ morphogénétique et lui envoie des informations. Ce sont les couleurs, les fleurs de chicorée bleues, les fleurs jaunes de laitue sauvage, ce sont ces informations vivantes qui sont la base de la nourriture de notre âme.

Mais qu’en est-il des minéraux dans notre corps physique? Là, on se retrouve dans une impasse si on ne prend pas en compte le rôle de l’azote et la composition de l’air. L’air est composé de deux gaz prépondérants: l’azote d’un côté, et de l’autre, essentiel, la vapeur d’eau qui est à l’origine du maintien du climat adapté à l’humain sur terre. C’est la présence de la vapeur d’eau dans l’atmosphère terrestre qui permet, sous les effets des rayonnements électromagnétiques solaires de maintenir l’équilibre de la température sur terre. Actuellement, cette ambiance est un peu perturbée: depuis 50 à 60 ans, des milliards d’ondes radio artificielles viennent cumuler les rayonnements électromagnétiques solaires naturels et amplifier ce phénomène vibratoire de la molécule d’eau et ainsi perturber la manifestation de la vie sur terre. La vapeur d’eau a un rôle capital dans l’apparition de la matière sur terre. Et si on l’associe à l’azote, censé être un gaz neutre, et aux photons de la lumière, que l’on crée un mouvement -mouvement qu’on retrouve en permanence dans la nature-, ces vortex, tourbillons vont permettre l’apparition du silicium . En bref : Azote + vapeur d’eau + photons = silicium. Le silicium est la base de tous les éléments qui vont déterminer les autres matières  sur terre.

Cet air qu’on respire, riche en vapeur d’eau, azote et silicium sous forme colloïdale, invisible, non décelable, combiné à notre température de 37°C provoque une alchimie qui se manifeste à l’intérieur des poumons et des bronchioles et qui aboutit à la création du fer dans notre sang. Les globules rouges du sang s’enrichissent en fer -transmutation de l’air lumineux, azote, vapeur d’eau, etc.-et deviennent porteurs des éléments qui permettent, en passant par les glandes surrénales, de capter l’énergie magnétique de la terre et de la distribuer dans tous les organes afin qu’ils soient en résonance vibratoire avec la terre et puissent bénéficier de l’énergie qui permet au corps physique de fonctionner.

Nous ne sommes donc peut-être pas obligés de manger de la matière lorsqu’on a pris conscience que la respiration, la lumière, le bien-être par l’ambiance du milieu où on évolue, et la conscience peuvent nous nourrir.

D’où l’intérêt qu’il faut porter à l’alimentation de l’enfant. Quand l’enfant vient au monde, il n’a qu’un besoin essentiel : être aimé. L’enfant vient chercher de l’amour. Cette âme qui pénètre le corps physique de l’enfant envoie des informations qui sont le reflet de l’ambiance qu’elle aura captée avant la pénétration : notamment de l’ambiance du moment -d’où l’importance du signe et du thème astral- et de l’ambiance du lieu (impulsion tellurique) et de l’entourage immédiat (la maman, le papa, la sage-femme). Tout cela informe les cellules du petit être nouveau et détermine les premières informations qui vont mettre en route le système endocrinien, avec une  base de données et des repères dans la mise en place du système immunitaire pour le restant des jours de l’enfant.

Et grâce à la résonance vibratoire du prénom qui a déjà été introduite, si la maman a été à l’écoute de l’enfant, le simple fait de prononcer son prénom va donner à l’enfant une identité qui correspond à la résonance vibratoire qu’il a choisi dans le cadre de cette incarnation. Et peut-être qu’on a déjà là un terrain où la nourriture dont a besoin cet enfant est beaucoup plus simple à trouver. Un enfant qui vit dans ce processus et a la chance de bénéficier de ce cadre a peut-être moins de difficultés à trouver une nourriture qui correspond aux besoins de son âme. Nul besoin de se conformer à des régimes obligatoires car ce que l’enfant veut, c’est manger quelque chose qu’il aime. Si ces parents ne sont pas capables de lui donner ce qui lui convient, tant nourriture affective que matérielle, il va aller chercher des compensations dans une nourriture qui n’est pas idéale, mais qui le satisfait.

Il faut comprendre que forcer un enfant à manger quelque chose qu’il n’aime pas, c’est empoisonner l’enfant, c’est le mettre dans un contexte de déséquilibre par rapport à ses repères. Et là, on entre dans un processus pervers : je mange cela car j’aime mes parents, mais je n’aime pas cela du tout. Ce processus peut aboutir à des perturbations, surtout avec les chronologies d’âge : 7 ans, 14 ans, 21 ans. Alors que les glandes surrénales ne se terminent qu’à 21 ans. Toute cette mémoire initiatique de la naissance à 21 ans est enregistrée dans le mode de fonctionnement relationnel avec la maman, le lieu , etc. Attention donc : l’alimentation d’un enfant, c’est sacré! Il s’agit de sentir ce qui nourrit vraiment l’âme de l’enfant.

Là, c’est la capacité de la maman qui est en jeu : surtout la maman dans les 7 premières années, sa présence, sa conscience, son ressenti de l’enfant, la capacité de l’enfant de s’exprimer librement. Évitez de gaver les enfants de produits dont ils n’ont pas besoin mais qui compensent un vide affectif ou une ignorance du vrai besoin de l’enfant. L’alimentation matérielle devient presque secondaire : une poignée graines et quelques feuilles de salade ou de végétaux que l’on aime est largement suffisant à remplir les besoins de notre âme. Lorsqu’on est sur le chemin qui lui correspond, notre âme aura besoin de moins d’informations pour être remplie.

La biodiversité est la glande thyroïde de la planète Terre

Pas d’inquiétude à avoir par rapport à la psychose entretenue par nos hommes politiques et nos grands penseurs qui disent que nous sommes trop nombreux sur terre et que nous allons manquer de nourriture. Au contraire, plus nous serons nombreux et plus la terre pourra changer de taux vibratoire grâce à la biodiversité de l’humain. La problématique de la biodiversité est en résonance avec le chakra laryngé, c’est-à-dire la thyroïde. On peut dire que l’ensemble des humains ainsi que les règnes minéral, végétal et animal sont le chakra laryngé de la terre : la glande thyroïde. Plus la biodiversité sera mise en valeur et respectée, la thyroïde étant le chef d’orchestre homéostasique, plus le changement d’état dans lequel on se trouve pourra se faire de façon facile et harmonieuse. Bien qu’il puisse y avoir parfois un certain remue-ménage nécessaire pour changer de taux vibratoire. Nécessaire à cette évolution des humains et de leur environnement. Sauf que la pensée pasteurienne fait partie de la destruction de la biodiversité. Donc il faut faire très attention à cette biodiversité et ne plus avoir dans nos pensées des réflexes d’écraser la mouche ou l’araignée.

Le système tel qu’il est conçu ne peut fonctionner qu’avec un maximum de biodiversité. On perd environ 50 espèces végétales par jour. Et la vaccination tue la biodiversité humaine. Selon un rapport de l’Unesco, les dialectes utilisés par les peuples premiers et les ethnies qui disparaissent à vitesse grand V sont en lien avec la biodiversité et surtout la flore locale. Les végétaux sont en résonance vibratoire avec les sons. Dés que les sons, les langages, les dialectes ne sont plus en usage, les peuples disparaissent et la flore aussi. Toute cette ambiance osmotique entre les sons et les formes (toutes les formes sont d’origine sonore selon les travaux de Viktor Schauberger, cela rappelle « au commencement était le Verbe »), les couleurs, les mouvements.

Il y a 35 ans, on a constaté que le taux vibratoire de la terre augmentait :  la fréquence de Schumann, fréquence de manifestation des forces de vie présente entre la lithosphère et la ionosphère, est passée de 8 Hz en 1987 à 13Hz en 2012. Elle a quasiment doublé. Pour accompagner l’élévation de cette fréquence qui change énormément de choses dans notre mode de fonctionnement interne (selon certains, on n’a plus que 16 heures en une journée de 24 heures, d’où l’impression que l’on a d’être toujours pressé et de n’avoir jamais le temps de faire ce que l’on a prévu),  il faut un maximum de biodiversité.

Rythme d’élevage de l’enfant, rythme de 7 ans

La vie de l’enfant est ponctué surtout dans les 7 premières années de la vie, de maladies infantiles, dites initiatiques selon Rudolph Steiner. Quand on a des enfants non vaccinés, une coqueluche ou une rougeole, c’est très impressionnant, c’est une poussée d’énergie brutale qui vient s’exprimer, qui vient libérer l’enfant et le fait grandir. Et du matin au soir ou du soir au matin, l’enfant a changé, il n’est plus le même.

Pendant ces 7 premières années, c’est surtout la maman qui va guider l’enfant et accompagner l’ouverture de ses centres énergétiques, de façon à ce que la communication puisse se faire avec confiance et sécurité dans l’expression de soi, avec toute la richesse nécessaire pour que l’enfant puisse avoir une connaissance, une conscience qui lui permettent de devenir lui-même progressivement. A partir de 7 ans avec « l’âge de raison », les 7 plans vibratoires étant ouverts, le papa devient le guide qui va structurer l’enfant. Il ne s’agit pas de le dresser avec la rigidité qui empêche l’ouverture et la souplesse nécessaire à l’adaptation. Le papa devient le guide et la maman n’est pas occultée, au contraire : de 7 à 14 ans, le papa donne la structure et la maman remplit de son affection la structure donnée par le papa. De 7 à 14 ans, le papa est devant et la maman est derrière. De la naissance à 7 ans, la maman est devant et le papa est derrière: il donne confiance à la maman, la maman sait qu’elle peut s’appuyer sur le papa.

A partir de 14 ans, c’est la puberté. Chez la femme, le cycle ovarien est en place, la femme devient femme. Mais le système endocrinien de la femme ne fonctionnera en totalité qu’avec la grossesse, lorsque toutes les hormones possibles se seront exprimées pour qu’elle devienne maman. Le système hormonal de l’homme en passe de devenir papa est lui aussi sollicité. Mettre au monde un enfant, la gestation, ce geste qui aboutit à quelque chose, est très important : l’union de deux énergies mâle et femelle permet la fusion et l’apparition d’un être nouveau avec la confiance et la conscience des deux.

De 14 à 21 ans, âge stratégique dans le développement, on retrouve la nécessité chez l’enfant d’avoir comme modèle la communication entre les parents -homme, femme, papa, maman- qui correspond à cette fusion pendant la grossesse, une confiance, un bourgeon qui s’ouvre. L’enfant, à l’adolescence, est dans un processus d’ouverture où il devient lui-même. Il finit de grandir au niveau de sa structure osseuse et de son corps physique à 21 ans, si le système endocrinien fonctionne bien. C’est à ce moment-là que les glandes surrénales sont finies. Un être humain est fini à 21 ans, pas avant. On peut alors lui donner des responsabilités avec la notion de discernement, d’évaluation d’une situation où son identité, si elle a été respectée, est capable d’assumer ses choix.

A chaque fois qu’on fait une vaccination, et surtout les rappels, on perturbe et on casse cette identité. Et là, on est dans des situations où les enfants ne peuvent pas quitter la maison : ils deviennent des boulets, car ils n’ont pas vécu les maladies initiatiques comme la coqueluche (on tousse comme un coq), la rougeole (on est rouge comme une crête de coq), le coq et la couleur rouge font penser au 1e chakra en lien avec la Terre. D’ailleurs, à l’heure actuelle, même dans les villages, le coq est interdit : il y a un gros problème dans notre société, une perte de re-pères, perte du père, ou perte d’heureux pères? On est dans un contexte où on a perdu le bon sens. Mais on a quand même de l’espoir. A 21 ans, on se retrouve avec un être fini, quelque soit son état, en tout cas un être sensé fini, même si son comportement n’est pas celui qu’on aurait aimé qu’il ait.

De 21 à 28 ans, c’est l’âge de l’expérimentation. Il faut rester un peu vigilant. Si le jeune adulte est parti avec suffisamment de connaissances, de bases et de confiance en lui, on peut le laisser faire ses expériences sans trop d’inquiétude. Mais il faut garder le lien. De 21 à 28 ans, on est  sous l’impulsion du chiffre 4 (4e cycle de 7 ans) en lien avec la terre (coccyx, 4 vertèbres en 1), et le chiffre 7 en lien avec le cosmos (7 vertèbres cervicales) ; et à 28 ans, on a fait cette révolution de l’ensemble de nos 7 plans vibratoires en fonction de la connexion cosmique et de l’énergie de la terre, tellurique. Notre 3e oeil, par où pénètre la lumière, l’hypophyse, est associé à une membrane appelée la dure mère qui enveloppe la moelle épinière et descend jusqu’au sacrum. C’est cette morphologie de l’humain qui permet de connecter le haut et le bas, le ciel et la terre.

Après 28 ans, on passe dans l’énergie du chiffre 5. Il se passe un phénomène très intéressant : la période de 28 à 33 ans, qui sont les 5 premières années de cette tranche de 7 ans, (33 vertèbres, 3 x 11, structure sacrée du temple de l’humain), 5e chakra, Verbe créateur, le plan causal en lien avec la thyroïde : pourquoi est-on venu sur cette planète? Si l’on a pas la compréhension de ce choix d’incarnation qui se concrétise souvent par la venue d’un enfant (35 ans étant l’âge idéal pour pouvoir gérer la venue d’un enfant), on met la thyroïde dans un état de stress.  Comprendre son choix d’incarnation, c’est mettre la thyroïde dans un état paisible. La thyroïde est la chef d’orchestre du système homéostasique, elle permet de s’adapter à un état x ou y, en envoyant des messages dans le système endocrinien qui va stimuler les glandes surrénales pour mettre en œuvre le mouvement et l’adaptation à ce changement d’état. Bien souvent, des gens se font traiter ou enlever la thyroïde dans ces âges-là, car ils n’ont pas compris le sens de leur incarnation. Si on a conservé notre thyroïde, si malgré tout, on n’a pas d’enfant, parce qu’on hésite, on a des doutes, on ne se sent pas capable, il y a un travail de conscientisation à faire avec beaucoup de bienveillance envers soi-même car…

De 35 à 42 ans,  6 x 7 = 42, en lien avec le 2e chakra sacré (transmission de la vie) et le 6e chakra, hypophyse (chemin de vie), c’est une période d’introspection nécessaire pour comprendre son chemin de vie : on ne sait plus où on est en, on a tellement de pressions qu’on ne comprend pas, qu’on rentre dans un processus de dépression, nécessaire et salutaire . Il est important de comprendre cette étape du début de la quarantaine et en profiter pour faire un check-up qui permettra d’entamer la construction de quelque chose de notre vie qui corresponde à ce que l’on est vraiment venu faire sur Terre.

La période de 42 à 49 ans reflète la période d’introspection précédente. Si cette période n’a pas été bien comprise, on rentrera alors dans une période encore plus difficile d’interrogation par rapport à soi. 7 x 7 = 49, c’est-à-dire qu’on a peut-être vécu pendant 49 ans quelque chose qui n’est pas la réalisation de soi, mais de quelqu’un qui nous a été  imposé pour pleins de raisons : parents, boulot, système… Là, il faut être attentif, car de nombreuses maladies apparaissent à ce moment-là. La maladie, heureusement, fait partie des anges-gardiens et nous envoie des messages qui, si on ne les comprend pas, peuvent nous entraîner dans des situations du corps physique difficiles, voire irréparables. 49 ans, c’est un âge stratégique, il se passe des événements qui nous font prendre conscience qu’on est sur le chemin qui nous correspond ou qui nous font modifier notre vie, ou alors on chemine encore 7 ans.

De 49 à 56 ans, 7 x 8 = 56, on rentre dans le monde subtil, où les maîtres, les guides nous ramènent des informations. Si on ne les écoute pas, on met notre corps physique en danger. Là c’est clair. Des aides extérieures viennent nous guider et nous entraîner dans des chemins qu’il nous faut comprendre, car ces chemins sont en relation avec notre choix d’incarnation, mais on n’a pas réussi à les trouver jusqu’à maintenant.

Entre 56 et 63 ans, on termine un cycle très important qui correspond au développement de notre corps physique sur terre au niveau expériences initiatiques. La synthèse de ces 63 années va nous permettre d’exprimer à partir de 63 ans un acquis, une expérience. C’est l’âge auquel on peut se donner le droit de transmettre cet acquis : on peut devenir instructeur, conseiller, guider nos petits-enfants.

De 63 à 70 ans, c’est vraiment un âge extraordinaire où, si l’on a vraiment réussi à comprendre son choix d’incarnation, l’on devient un transmetteur d’informations utiles pour notre environnement immédiat et aussi pour la communauté d’âmes humaines, la conscience collective.

On a intérêt à prendre en considération tous ces paramètres et vivre sa vie avec une conscience de construction et de réalisation en lien avec le choix karmique et la nourriture de notre âme. La conséquence du vécu sur le corps physique, grâce à l’âme qui remplit sa mission d’incarnation, peut devenir un réservoir d’informations qu’on transmet à notre entourage avec toute la sagesse qui convient pour que cet enseignement puisse bénéficier à notre entourage. Après 70 ans, il faut transmettre le relais, il faut éveiller et guider quelqu’un qui puisse prendre le relais. Ce n’est plus à nous de le faire.

A 77 ans, on peut dire que l’être humain est accompli. Il peut passer au stade de l’immortalité. Si on veut vraiment vivre libre avec toute la magie de cette vie, il y a des données de base qu’il faut mettre en place dès le début : la mort n’existe pas. La conscience de la mort a été inventée par des humains pour nous faire peur et nous imposer des limites dans nos capacités. Une bactérie ne meurt pas. Le corps physique qui s’éteint n’est pas une mort, c’est un changement d’état de l’âme et du champ d’énergie spirituelle retournant vers un espace qui permet d’aller encore plus loin dans le processus d’incarnation. Mais une âme qui a fini de s’incarner est peut être capable d’emporter le corps physique sous forme vibratoire et de lumière afin qu’il ne s’éteigne plus : là on parle d’immortalité.

Mot de la fin : anges, enjeux, en-je pour comprendre le chemin vers lequel on doit aller. La joie est la nourriture de la terre : à chaque fois que l’on ressent un phénomène de joie, on va nourrir la terre et l’ensemble de notre environnement terrien. Et si la conscience de la joie se répandait sur terre à la place de la conscience de la guerre, générée par la pensée pasteurienne, peut-être que le climat en serait très rapidement modifier? On a énormément de possibilités de transmettre la joie. Amour, joie et gratitude : remercier la terre en permanence, c’est grâce à elle qu’on existe, c’est grâce à elle que nos enfants grandiront librement, ce n’est pas grâce aux lois humaines, c’est grâce aux lois de la nature.

 

4 réflexions sur « Nourrir son âme »

  1. Ravie d’être entrée en contact avec vous. C’est le premier article que je reçois, et c’est une mine d’or. J’ai regardé aussi certains articles listés à gauche et vais essayer la pommade au curculma. On m’a diagnostiqué hier un eczéma liquénifié avec ordonnance chimique et corticoïdes. Je n’ai rien acheté, et allais chercher des remèdes naturels. Je vais donc utiliser mon curcuma avec l’huile d’olive pour guérir mes boutons, alors que l’on soupçonnait une maladie de Lyme, ayant été piquée par cette tique il y a un an, et que mes boutons datent de cette période là. Un grand merci.

    1. Merci pour votre commentaire Marie-José.
      Je vous conseille de faire tout de même des analyses pour vérifier la présence ou non d’une borréliose : test Elisa et Western Blot.
      Et insistez pour avoir le Western Blot!
      Bon courage!
      Cordialement,
      Agnès B.

      1. Merci pour votre réponse rapide.
        J’ai fait 3 tests Elisa, rien. J’ai eu ce matin le résultat du test Blot (qui, contrairement à ce que j’avais lu est remboursé par la sécu) résultat négatif.
        C’est ma dermato vue il y a 3 jours qui m’a diagnostiqué un eczéma, et je ne veux pas prendre son traitement pour le moment. Je vais essayer cette crème au curcuma.
        Une amie vient de me parler sa dermato qui soigne avec des produits naturels tant que c’est possible. Plantes, huile de ricin que j’utilise déjà beaucoup, ainsi que gingembre curcuma tous les jours dans mes jus.
        Belle et heureuse soirée.
        Marie-José

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