Fukushima-grippe H1N1 : même logique médiatique

J’ai reçu ce matin ce courriel de Jean-Jacques Crèvecoeur (http://www.jean-jacques-crevecoeur.com/) qui date du 20 juin 2011 :

Courriel du 20 juin 2011

Madame, Monsieur,
Chers amis,

Non, ne comptez pas sur moi.
Ne comptez pas sur moi comme vous l’avez fait en automne 2009, lorsque je me battais contre les projets de vaccination massive obligatoire contre la grippe H1N1.
Ne comptez pas sur moi pour mener un nouveau combat contre le nucléaire, suite aux événements catastrophiques qui ont lieu à Fukushima Daiishi.

Pourquoi ? Parce que ce combat que j’ai mené il y a près de deux ans m’a coûté très cher. Très cher en temps, très cher en énergie, très cher en argent, très cher en réputation, très cher psychologiquement, très cher émotionnellement, très cher spirituellement. Je savais intellectuellement que lorsqu’on lutte CONTRE ce qui nous semble le mal, on devient semblable à ce mal qu’on combat. Je le savais intellectuellement, mais je ne l’avais pas ressenti dans ma chair.

Avec le recul de ces dix-huit derniers mois, j’ai compris qu’une facette de mon action avait été très utile à des centaines de milliers de personnes qui ont reçu l’information dont elles avaient besoin pour prendre la décision de ne pas se faire vacciner avec ce vaccin dangereux et parfois mortel. Mon action (et celle des autres militants) a été utile pour faire reculer les gouvernements dans le projet de vaccination obligatoire (j’avais reçu la confirmation confidentielle de la part de militaires qu’ils attendaient les ordres pour encadrer par la force les opérations de vaccination – heureusement, ces ordres n’ont jamais été donnés, finalement, par crainte d’une guerre civile dans nos pays).

Par contre, une autre facette de mon action (celle où mes émotions ont pris les commandes de mes messages) a alimenté ce que je voulais combattre. Et ça, je ne suis pas près d’oublier la dure leçon de vie qui fut la mienne…

Néanmoins.

Je suis frappé de constater qu’une fois de plus, les industries et les gouvernements confirment leur sainte alliance avec les grands médias pour protéger leurs intérêts, en se moquant totalement de nos vies, de notre santé et de notre intégrité physique.

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Je le répète. Je n’ai vraiment plus l’intention de partir en guerre contre qui que ce soit. Et je n’ai pas l’intention d’y passer des heures. Il me suffit de poser quelques questions, de vous transmettre quelques références informatives (pour vérifier le contenu de mes questions) et de vous laisser tirer vos propres conclusions. Voici les questions que je me (vous) pose :

  • Pourquoi les médias ont cessé de nous informer dix jours après la catastrophe nucléaire de Fukushima, alors que la situation là-bas ne cesse de s’aggraver ?
  • Pourquoi une des premières décisions prises par les autorités de santé publique a été de relever le niveau des doses acceptables qu’une population peut encaisser ? Comme si l’imminence de la catastrophe avait tout à coup rendu nos organismes plus résistants à la radioactivité…
  • Pourquoi les autorités de santé publique et les gouvernements ont-ils donné l’ordre de ne plus publier les mesures de radioactivité depuis fin mars ?
  • Pourquoi ces mêmes autorités ont-elles donné l’ordre d’arrêter de mesurer le taux de radioactivité dans l’hémisphère Nord, alors que nous payons avec nos impôts, les stations de mesure ?
  • Pourquoi nous a-t-on caché pendant deux mois et demi que les coeurs des réacteurs 1, 2 et 3 avaient fondu dans les heures et les jours qui ont suivi le 11 mars dernier, alors que plusieurs experts indépendants l’annonçaient dans les jours qui ont suivi la catastrophe ?
  • Pourquoi aucun conseil de protection ne nous est donné de la part des autorités de santé publique, à nous qui sommes concernés par la contamination de l’air, du sol et de l’eau ?
  • Pourquoi ne nous dit-on pas que, chaque fois qu’il pleut, nous devrions éviter de sortir, ou alors, utiliser un large parapluie pour ne pas ramener chez nous, de l’eau et des particules contaminées ?
  • Pourquoi presque aucun média n’a révélé que, dès la fin du mois de mars, le lait de plusieurs états américains avait un taux de radioactivité anormalement élevé (depuis lors, les mêmes constats ont été faits en France) ? En nous expliquant que la pluie avait contaminé l’herbe des prés broutée par les vaches…
  • Pourquoi ne nous révèle-t-on pas que la mortalité des bébés a brusquement augmenté ces deux derniers mois, dans les états de l’Ouest américain ? À Philadelphie, par exemple, la mortalité a augmenté de 48 % en un mois, à cause du lait contaminé et de l’eau contaminée du robinet… (référence)
  • Pourquoi ne nous dit-on pas que les centaines de milliers de tonnes d’eau déversées sur les réacteurs sont sur le point de déborder des sous-sols des centrales, et donc de contaminer encore davantage la région, les nappes phréatiques et l’océan ? Et que les Japonais n’ont aucune solution pour régler ce problème…
  • Pourquoi nous fait-on croire que la situation est sous contrôle, alors que les déversements d’eau n’ont fait que retarder le moment où une explosion majeure surviendrait ?
  • Pourquoi ne nous dit-on pas que le bâtiment numéro quatre est sur le point de s’effondrer, avec les risques de relâcher dans l’environnement, d’énormes quantités de plutonium capables de rayer le Japon de la carte pour 100.000 ans (référence) ?
  • Pourquoi toutes les vidéos d’un ressortissant français vivant au Japon ont-elles été supprimées de son compte Youtube depuis ce lundi 20 juin ? Il faut préciser qu’Alex mettait une vidéo quasi-quotidienne sur Youtube pour informer de la situation vécue depuis le Japon. Jusqu’à présent, ses vidéos étaient vues par deux à quatre mille personnes. Sa vidéo de ce week-end, dans laquelle il exprimait sa colère et son désespoir avait déjà reçu 67.000 visiteurs en 48 heures, au moment où son compte a été fermé ! Liberté de l’information, vous dites ? Heureusement, des internautes malins avaient eu la bonne idée de copier sa vidéo et de la remettre en ligne.

Une petite dernière, juste pour la route !

  • Pourquoi l’administration Obama vient-elle de donner l’ordre d’interdire le survol de la centrale de Fort Calhoun (Nébraska) par les avions de tourisme et les hélicoptères, empêchant les journalistes d’informer la population par la situation très préoccupante qui s’y déroule suite aux inondations provoquées par le débordement du Missouri ?
  • Pourquoi cette même administration a-t-elle ordonné qu’aucune information sur la situation périlleuse de la centrale ne soit divulguée (voir photo ci-dessous) ?

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Voici quelques références à partir desquelles vous pourrez faire vos propres lectures. J’ai mis ces références sur mon site Internet, dans un dossier nucléaire. Chaque fois que je verrai passer un article de synthèse, je l’ajouterai sur mon propre site.

J’y ai passé une petite centaine d’heures, pour me faire une opinion personnelle, en vérifiant à chaque fois quel était l’intérêt de la personne qui parlait. C’est intéressant de remarquer que tous les experts indépendants, sans exception, sont critiques et inquiets de ce qui se passe et des conséquences pour l’environnement, la santé des populations et l’avenir de la planète. Par contre, aucun expert travaillant pour l’industrie du nucléaire, aucun gouvernement impliqué fortement dans le nucléaire (comme la France et les USA) n’est inquiet de ce qui se passe. Au contraire, ils réaffirment, haut et fort, que le nucléaire est irremplaçable, sûr et même bon pour lutter contre le réchauffement climatique… Alors, de quoi nous plaignons-nous ?

À vous de réfléchir à ce qui se passe dans notre monde.
À vous, à présent, d’oser sortir de votre naïveté à propos de la manière dont le monde fonctionne et est dirigé.
Croyez-vous franchement que les médias ont pour mission de nous informés ? Le croyez-vous vraiment ?
Croyez-vous franchement que les industries se préoccupent de notre bien-être, de notre santé, de notre vie ? Le croyez-vous vraiment ?
Croyez-vous franchement que les gouvernements sont là pour défendre les faibles que nous sommes contre les puissants de ce monde ? Le croyez-vous vraiment ?

C’est plus fort que moi. Mais je ne peux pas m’empêcher de faire un parallèle très simple avec l’affaire de la grippe H1N1.
Pour la grippe, il n’y avait aucun danger de pandémie. Des experts, comme le professeur Debré l’ont dit et répété dès juillet 2009. On voyait bien que dans l’hémisphère Sud (en plein hiver entre juin et septembre 2009), il y avait moins de morts que les autres années, malgré le fait qu’ils ne disposaient pas du vaccin salvateur… Malgré l’absence de danger, les médias ont entretenu un climat de peur quotidiennement depuis le 25 avril 2009 jusqu’au 15 décembre 2009 ! Quotidiennement. Avec quoi comme résultat ? 17.000 morts de la grippe en un an (contre 250.000 à 500.000 morts annuels dus à la grippe saisonnière), c’est-à-dire rien du tout !

  • Pour Fukushima et Fort Calhoun, il y a un vrai danger. Des milliers de kilomètres carrés sont déjà perdus pour des centaines d’années au Japon. Les bébés meurent aux USA, les produits laitiers sont contaminés, des centaines de millions de litres d’eau sont contaminées dans les sous-sols des centrales et dans l’océan. Des particules radioactives sont rejetées dans l’atmosphère en continu depuis trois mois. Que font les médias ? Rien. Ils ne disent rien.

Mon commentaire : pour la grippe H1N1, il fallait que les médias amplifient la peur face à un danger inexistant pour servir les intérêts d’une industrie en perte de vitesse (les compagnies pharmaceutiques). Pour Fukushima et Fort Calhoun, il faut que les médias se taisent face à un danger bien réel pour servir les intérêts d’une industrie en perte de crédibilité et de contrôle (le nucléaire).

Vous voulez un autre parallèle ?

  • Pour la grippe, l’OMS a abaissé ses critères de seuil de pandémie le 29 avril 2009 (quatre jours après la première alerte). Ce qui lui a permis de déclarer que la pandémie avait atteint le niveau 6 (le plus élevé) le 11 juin 2009, déclenchant automatiquement l’exécution des contrats qui avaient été signés quatre ans auparavant entre les gouvernements et les compagnies pharmaceutiques. Dans ces contrats, il était spécifié que si l’OMS éclarait une pandémie de niveau 6, les gouvernements s’engageaient automatiquement à commander les vaccins pour lutter contre cette pandémie.
  • Pour Fukushima, l’OMS et les autorités sanitaires ont relevé les seuils acceptables d’irradiation des populations et des travailleurs du nucléaire. Ce qui permet de ne pas être obligé d’ordonner des évacuations massives des populations, puisque ces nouveaux seuils ne sont pas atteints !

Mon commentaire : les notions de seuil biologique et les critères d’acceptabilité ne sont pas déterminés sur base médicale ou biologique, mais bien sur des bases politiques, économiques et financières.

Un dernier parallèle ?

  • Pour la grippe, les experts qui se sont prononcés en faveur de la vaccination et qui ont défendu la réalité de la pandémie étaient tous payés par les compagnies pharmaceutiques qui fabriquaient les vaccins. Ceux qui se sont prononcés contre la vaccination et qui ont dénoncé la manipulation des chiffres, des faits et de l’information n’avaient rien à gagner, au contraire (je suis bien placé pour en témoigner). Mais ce sont ces derniers qui se sont faits traités de menteurs, de conspirationnistes, de théoriciens du complot, de gourous de sectes, et j’en passe. Jusqu’à ce que quelques équipes de journalistes viennent confirmer ce qu’ils disaient, mais avec six à neuf mois de retard… Quand les caisses des compagnies pharmaceutiques étaient bien remplies et lorsque des milliers de personnes souffraient des effets secondaires du vaccin (décès, paralysies, neurodégénérescences, narcolepsies, malformations cardiaques chez les nouveaux-nés, etc.).
  • Pour Fukushima, les experts qui prennent la parole pour nous rassurer sur la sécurité du nucléaire, sur l’inocuité des rejets de Fukushima et sur la maîtrise de la situation sont, comme par hasard, tous payés par l’industrie du nucléaire. Ceux qui dépensent leur énergie sans compter pour relayer les quelques informations disponibles dans le monde n’ont rien à gagner, de nouveau. Pourtant, il suffit de se balader quelques minutes sur les forums pour voir comment ils se font agresser par ceux qui refusent de voir. Pendant ce temps-là, les bébés commencent à mourir dans l’Ouest des États-Unis…

Mon commentaire : tout est dit, c’est bien l’argent qui mène le monde.

Si j’en avais le temps, je recommencerais une même analyse approfondie à propos d’autres événements que nous vivons ou que nous avons vécus. Je vous inviterais à réfléchir, par exemple, à ce qui se cache derrière la bactérie E-Coli qui, soi-disant, provoque une hécatombe en Allemagne. Comme pour le virus de la grippe A H1N1, cette bactérie est jugée par les microbiologistes comme une impossibilité naturelle. Pour eux, il est impossible qu’une même bactérie soit résistante aux huit classes principales d’antibiotiques connus. Mais qui pointe-t-on du doigt comme responsable présumé de cette hécatombe (vous m’excuserez, mais 39 morts, ça n’a rien d’une hécatombe) ? Une vilaine exploitation fermière de produits biologiques en Allemagne… OUH les vilains qui cultivent encore à l’ancienne ! Mais ne vous en faites pas, les scientifiques ont déjà la solution : il suffira d’irradier systématiquement tous les aliments (comme beaucoup le sont déjà dans l’industrie agroalimentaire traditionnelle). Ainsi donc : adieu le bio, adieu les aliments vivants. Bienvenue dans le monde du tout chimique, du tout irradié, du tout aseptisé.

Cette fois donc, les médias ont intérêt à amplifier la peur pour servir les intérêts des industries agroalimentaires industrielles, promotrices des OGM et de la phytopharmacie.

Conclusion provisoire

Comme je vous le disais en commençant, ne comptez pas sur moi pour repartir dans un autre combat.
Car ce combat, comme tous les autres (gaz de schiste, hold-up des pays et des populations par les banques privées, chemtrails, terrorisme d’état, pseudo-réchauffement climatique, etc.), est inutile.

Pourquoi ?

Parce que toutes ces choses que nous vivons actuellement sont le symptôme de l’ancien monde qui s’effondre.
La logique du nucléaire est en train de s’effondrer et ne se relèvera pas.
La logique pharmaceutique est en train de s’effonder et ne se relèvera pas.
La logique agroalimentaire est à bout de souffle et ne se relèvera pas non plus.
La logique de concentration financière vit ses dernières heures avant une faillite globale et systémique.
Toutes les logiques fondées sur la préservation des intérêts d’un petit nombre au détriment de l’immense majorité des êtres vivants sur cette planète ont fait du monde un monde pourri.

Le piège dans lequel je me suis pris moi-même fut de croire que ce monde était mon monde. Je croyais que je faisais partie de ce monde, alors qu’il n’en est rien. Je ne partage aucune des valeurs de ce monde-là ; un monde fondé sur l’individualisme, sur la cupidité, sur l’indifférence, sur le cynisme, sur la méchanceté, sur le mensonge, sur la violence, sur l’inconscience. Je ne partage aucune de ces valeurs. Pourtant, je reconnais qu’il y a en moi des zones d’individualisme, de cupidité, de cynisme, de méchanceté, de mensonge, de violence et d’inconscience. Et c’est pour cela qu’un monde pareil peut encore tenir debout, malgré son extrême fragilité.

Depuis que je suis sorti du combat, en janvier 2010, je ne me pose qu’une seule question : COMMENT CRÉER ENSEMBLE UNE MEILLEURE VIE ?
Autrement dit, et si nous laissions ce vieux monde s’effondrer tranquillement, en souhaitant même que les choses s’accélèrent ? Et si nous investissions réellement nos énergies à créer un autre monde. NOTRE monde, celui qui correspond à ce à quoi nous aspirons de tout coeur… Un monde où nous mettrions la conscience au coeur de nos vies, un monde où nous pourrions reconnaître les parts de lumière comme les parts d’ombre qui se trouvent en chacun de nous. Un monde où le respect de la vie, de la nature, de la conscience serait la préoccupation centrale.

En écrivant cela, je suis bien conscient que je n’ai pas de solution concrète à vous partager. Mais sachez que je chemine dans cette voie. J’ai juste l’intuition que ce meilleur monde, c’est ensemble que nous en tracerons les contours et que nous en inventerons les lois. C’est la raison pour laquelle je redouble mes efforts pour incarner dans mon quotidien la voie alchimique, loin de cette dualité BIEN – MAL. J’espère que, vous aussi, vous trouverez la voie qui vous convient pour ne pas vous attacher à ce vieux navire en train de couler et pour sauter, tant qu’il est encore temps.

La seule chose dont je suis certain, c’est que plus nous lâcherons le matérialisme, moins nous subirons les chocs qui nous attendent ces prochains mois. C’est ce à quoi je travaille depuis dix ans maintenant. Je gagne cinq fois moins qu’il y a dix ans, je ne suis plus propriétaire de rien (ni maison, ni voiture), sauf de ma société et de mes ordinateurs, je n’ai plus aucun engagement financier auprès d’aucune institution (j’ai contracté jusqu’à 500.000 euros d’emprunt !). Je me sens prêt et plus léger pour accueillir la vague du changement. Et vous, êtes-vous prêt(e) ?

Restons debout, conscient et sans peur !

Jean-Jacques Crèvecœur
Montréal (Québec)

PS : Je vous autorise à reproduire, à diffuser, à traduire, à publier sur vos sites et vos blogs le présent courriel. Merci, simplement, de le publier intégralement et d’en citer la source.

Consultez l’article sur le site de JJ Crèvecoeur

Stage d’initiation radiesthésie et géobiologie 25/06/2011

Stage d’initiation à la géobiologie et à la radiesthésie du 25/06/2011

 Objectif du stage

Ce stage s’adresse à toutes et à tous. Chacun a la possibilité de faire du pendule. Il n’y a pas de don particulier à avoir.

Le but de ce stage, c’est d’apprendre à :

• manier un pendule et faire confiance à son ressenti

• se servir des baguettes en L pour détecter cours d’eau souterrain, réseaux, canalisations, et plein d’autres choses

• se servir de quelques planches de radiesthésie

• détecter, repérer les ondes nocives (cours d’eau souterrain, failles, réseaux éthériques verticaux… et perturbations électromagnétiques) pour s’en protéger

• se sensibiliser aux ondes bénéfiques

• se familiariser avec les notions de champ de torsion, les vibrations-couleurs du spectre de Chaumery et Bélizal

 Quand?

Samedi 25/06/2011 de 10h00 à 17h00

Pause de 13h00 à 14h00 pour pique-niquer

 Où?

9, rue Lucien Nadaire

94200 Ivry-sur-Seine

Accès?

Métro Mairie d’Ivry

RER C Arrêt Vitry-sur-Seine

Nombre de places limitées

12 personnes

Tarif

60,00 € (matériel fourni : 1 pendule Luzy en bois, 1 paire de baguettes en L, quelques planches de radiesthésie)

Merci de réserver votre place par mail : geobiologie-sante@live.fr ou téléphone 06 08 74 49 34

Inscription au stage d’initiation à la géobiologie et à la radiesthésie du 25/06/2011, veuillez régler sur cette page.

Pétrole, huile et gaz de schiste : projection débat le 27/06/2011 à Paris

Projection débat sur le thème « Pétrole, huile et gaz de schiste : comment empêcher l’exploitation irresponsable de ces hydrocarbures »

Il s’agit de la projection de deux films documentaires réalisés par Eriberto Gualingua, indien Kichwa de Sarayaku, en présence d’un
représentant du peuple Kichwa de Sarayaku (Amazonie équatorienne) :

Sachata Kishpichik Mani (Je suis le défenseur de la forêt) – 2003, 18′

Ou comment le peuple Kichwa de Sarayaku a résisté pacifiquement et victorieusement à l’intrusion de militaires et d’ouvriers de compagnies pétrolières dans son territoire, en 2002.

Sisa Nampi (frontière de vie, chemin de fleurs) – 2009, 20′

A la découverte du projet emblématique que ces Indiens ont mis en œuvre, depuis 2006, pour protéger la forêt amazonienne et engager l’humanité toute entière sur le chemin du « bien vivre ».

La projection sera suivie d’un débat animé par la journaliste Françoise Nowak. Elle sera  entourée, entre autres, par José Bové et le dessinateur humoriste Eric Grelet.

Quand?

Lundi 27/06/2011  à 19 h,

Où?

A l’auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris,
5, rue Lobau
75001 Paris

Métro Hôtel de ville

Inscriptions

Attention, toutes les inscriptions doivent se faire au plus tard le 25 juin, par le biais du seul courriel : asso.jne@free.fr
Cliquez ici pour accéder à l‘affiche.
Merci de diffuser cette information sans modération.

Je viens de trouver cette page d’info très intéressante sur l’aspect politique du gaz de schiste. Jetez-y un œil, ça vaut le détour : http://gazdeschistesprovence.wordpress.com/page/21/

La fin du nucléaire

On n’a fait parvenir cette petite vidéo sur l’énergie nucléaire.

Il s’agit d’une interview où l’américain Jeremy Rifkin, président de la Fondation pour les tendances économiques à Washington (le FOET), nous démontre en 5 arguments factuels que l’ère du nucléaire arrive à son terme.

« Je préside un groupe de 120 des plus grandes entreprises du monde dans le domaine de l’informatique, des transports, de la logistique, de l’énergie, de la distribution d’électricité, de la construction […], ces sociétés savent que le nucléaire est mort », dit Jeremy Rifkin. Bon, lorsqu’il parle des journaux français et de Fukushima, il se plante un peu, mais sinon son point de vue est intéressant.

[youtube=http://youtu.be/j_EbrOjIGkQ]

Et si vous voulez en savoir plus sur la consommation d’eau des centrales nucléaires et de la production électrique en général, vous pouvez jeter un œil sur cet article :

« Les centrales nucléaires françaises utilisent plus de 19 milliards de mètres cubes d’eau douce par an » en provenance de www.electron-economy.org

Marcelle, si j’avais des ailes…

En hommage à ma grand-mère, qui a rendu son dernier souffle le jour de l’Ascension 2011 à 19h00 à l’âge de bientôt 91 ans, à 30 mètres d’une antenne-relais. Je remercie le Progrès d’avoir contribué à abréger ses souffrances.

Voici Marcelle et un des ses derniers clins d’œil souriant à la vie, à moi, sa petite-fille.

Je vous raconte son marathon final, son envol pour l’après-vie : ma grand-mère a chuté en septembre 2010. Elle n’a rien dit et a supporté sa douleur jusqu’au jour où elle fut condamnée à l’immobilité : grosse arthrose dans les genoux et au niveau du bassin, et plusieurs fractures vertébrales dues à sa chute et à une ostéoporose galopante.

Hôpital Saint-Antoine

Après moult péripéties avec le corps médical (dont je vous passerai ici les détails), une place à l’hôpital Saint-Antoine de Paris 12e se libère pour l’accueillir au service Rhumato. Elle se remet doucement mais sûrement. Elle est bien soignée, entourée par une équipe efficace et dévouée. Saint-Antoine assurant uniquement un service d’urgence, elle doit partir au bout de deux mois pour l’hôpital Charles Richet à Villiers-le-Bel pour faire de la rééducation dans le pôle Soins de longue durée. C’est à ce moment-là qu’ont commencé mes visites touristiques de quelques hôpitaux d’Ile-de-France.

Hôpital Charles Richet

Ah, Villiers-le-Bel! Son hôpital est construit juste sous des lignes et des pylônes à haute tension. L’ambiance y est électrique. Le top du top pour la convalescence au long cours. L’équipe médicale peut être excellente, elle est impuissante face aux atteintes subtiles et invisibles des champs électromagnétiques. C’est une honte! Sans parler de la ré-éducation qui, au bout de trois semaines, n’avait toujours pas commencé. Ma grand-mère tuait le temps allongée dans son lit,  entourée par deux autres patientes (car il en faut de la patience), deux femmes à moitié folles, tellement seules, abandonnées. Ma grand-mère n’avait qu’une hâte : fuir cet endroit, se remettre sur pied, retrouver sa maison. Et, mon Dieu, comme elle s’est battue ! Elle s’est remise à marcher. Elle n’y croyait pas. Ça lui a demandé tellement d’efforts. Je lui disais, si tu as envie de guérir, cela va arriver, il n’y a aucun doute.

De retour dans son home sweet home

Fin janvier, elle est rentrée chez elle, entourée par sa famille et avec un suivi médical pluriquotidien. Deux semaines se passent. Nous sommes en février 2011. Dures semaines. Ma grand-mère est ambivalente : elle se rend compte qu’elle ne peut plus vivre chez elle comme avant, comme au temps où elle était valide et vaillante. Elle en regrette presque l’hôpital. Le jour arrive où sa famille doit la laisser pour deux jours, avec toujours une assistance médicale plusieurs fois par jour et des repas apportés par la mairie. Son beau-frère la quitte un mardi à 14h00. A 16h30, une infirmière qui venait faire sa visite la retrouve allongée dans la salle de bains, inconsciente. Accident vasculaire cérébral dans l’hémisphère droit.

Hôpital Pitié-Salpêtrière

Elle est transportée d’urgence à l’hôpital de la Salpêtrière, au Pavillon Marguerite Bottard, spécialisé dans les troubles neurologiques.La Salpêtrière est un hôpital entièrement ceint. Gigantesque. Une ville dans la ville. L’ambiance y est très calme, totalement différente des rues parisiennes et bruyantes alentour. Malgré les 2 lignes de métro aérien qui bordent ses façades Ouest et Sud-Est, je n’y ai pas ressenti de pollution électrique particulière.

Elle va être entourée par une équipe fabuleuse, profondément professionnelle, très à l’écoute des patients et de leur famille. Je les salue tous ici au passage et les remercie. Hémiplégique à gauche, sa tête est tournée atrocement vers la droite. Son changement d’état me fait un choc la première fois que je la vois. Puis, elle se remet doucement, très doucement. . Les médecins ne veulent pas prendre le risque de l’opérer afin de dégager tout l’afflux de sang dans le cerveau, car elle est trop fragile et son cœur, trop faible. Au fil des semaines, elle parle de mieux en mieux, elle a toujours le sens de l’humour, malgré tout, même si elle se voit alitée 24 heures sur 24 et comprend peu à peu que cet immobilisme, ce non-usage de son corps sera désormais son lot quotidien. Elle comprend qu’elle est en train de quitter son corps, qu’elle doit partir, mais elle n’est pas encore prête.

Hôpital Broca

6e étage Ouest

La Salpêtrière étant un service d’urgence, ma grand-mère doit à nouveau migrer vers un autre lieu : l’hôpital Broca, rue Pascal dans le 13e arrondissement. L’équipe de suite de soins d’A.V.C. est constituée de vrais professionnels. Rien à redire.

Malheureusement, les antennes-relais ont fleuri comme des mauvaises herbes aux quatre coins cardinaux de l’hôpital. A tel point que sur sa façade Est, les convalescents sont à moins de 30 mètres d’une antenne-relais. Je vous livre ici quelques photos prises à travers les fenêtres de l’hôpital, pour que vous vous rendiez compte de la situation. Quand on sait la portée et les ravages de ces émetteurs d’ondes de mort… autant dire que les pauvres convalescents grillent sur place et qu’ils n’ont que peu de chance de survie. Et l’équipe médicale ne peut absolument rien contre ça, malgré toutes les performances et les prouesses techniques et technologiques.

Mais qui va aller porter plainte : les convalescents? les familles qui ne se rendent pas compte du danger? Une des antennes, celle de la façade Est, a été judicieusement installée, juste en face de l’entrée de l’hôpital, sur les toits de la Résidence Pascal où, j’imagine, les séjours sont de courte durée. Qui va se plaindre? L’hôpital n’a pas été consulté lors de la décision de l’implantation de l’antenne. Un beau jour, l’antenne et puis d’autres étaient là. Qui va aller dénoncer ce crime contre l’humanité? Notre chère ministre de l’environnement peut-être, Mme Nathalie Kosciusko-Morizet? La sécurité Sociale?

Mais revenons à ma grand-mère. Installée au début dans l’aile Ouest, au 6e étage, sa chambre se trouve à une centaine de mètres de l’antenne. Son lit est un lit anti-escares avec un moteur situé à ses pieds et relié à la prise murale par un câble laissé au sol et traversant toute la longueur du lit jusqu’à la tête. Lorsque le câble était à gauche sous le lit, ma grand-mère avait terriblement mal à gauche et sa faiblesse cardiaque s’accentuait, lorsque le câble était à droite, je vous le donne en mille, c’était son côté droit qui la faisait souffrir. Remarquant sa sensibilité à la pollution électrique, je demandai  au docteur Joffredo en charge du service l’autorisation de brancher la prise du moteur du lit de façon à ce qu’il ne soit pas dans son champ vital, ou en tout cas, qu’il en soit éloigné le plus possible. Dans un premier temps, le docteur m’a répondu qu’il y avait peut-être des problèmes plus graves à régler. Il a fallu que je lui tienne tête. Elle a osé dire qu’aucun champ électromagnétique n’émanait d’un câble électrique. Je lui ai rétorqué que, malheureusement, le cursus universitaire des médecins n’intégrait pas ce genre de connaissances basiques qu’un simple ouvrier électricien maîtrise. Mais que bientôt les choses allaient changé. La vérité éclairerait bientôt la médecine. Elle est déjà en train de le faire. Comme elle a vu que j’étais vraiment déterminée, c’est-à-dire qu’elle m’a prise pour une folle, autant le dire clairement, j’ai eu sa bénédiction (et je l’en remercie du fond du cœur). Et toute l’équipe a veillé à ce que le fil reste comme je l’avais indiqué, malgré la gêne occasionnée pour les soignants.

2e étage Est

L’état de ma grand-mère s’est peu à peu stabilisé. Et, le 6e étage de l’hôpital Broca étant un service de courts séjours, ma grand-mère doit à nouveau migrer fin avril vers le 2e étage, spécialisé dans les longs séjours. On lui attribue la chambre 239-240 de l’aile Est. Elle se rapproche dangereusement de l’antenne rue Pascal. En fait, elle n’est plus qu’à une trentaine de mètres. Elle est transférée un mercredi. Je vais la voir le jour même, histoire de la soutenir un peu et de veiller à la qualité vibratoire de sa chambre. Qui est très faible, très perturbée. Je vérifie le lit. Une ligne Curry le perturbe. J’accroche sa médaille de Saint-Benoît au-dessus de la tête de lit sur le mur. Je place un S.C.A.P. sous le lit pour tenter de rendre ce lieu un peu plus viable, vivable. Je vérifie, ça va mieux. C’est tolérable. Mais deux jours plus tard, le vendredi, je lui rends une nouvelle visite. Et là c’est le choc, j’ai du mal à la reconnaître, j’ai l’impression qu’elle a vieillie de dix ans. Ce changement est impressionnant, je ne suis pas la seule à le remarquer. Je comprends qu’il va me falloir l’accompagner vers la mort.

Cela a pris un mois à peu près. Un mois pendant lequel ses forces l’ont peu à peu quitté. Alors qu’elle avait retrouvé l’usage de la parole (son seul moyen désormais d’échanger avec le monde), l’exposition aux ondes de l’antenne-relais lui ont rapidement fait perdre le peu de possibilités qui lui restaient. A chaque visite, comme elle avait bien rempli sa vie dans cette dimension, je l’encourageai à partir de l’autre côté, là où il n’y a plus de douleur et où les possibilités sont infinies, là où l’attendaient de nombreux proches disparus bien avant elle. J’avais décidé de la visiter moins souvent : je ne voulais pas la retenir ici-bas. La dernière fois que je suis allée la voir, c’était vendredi dernier, le 27 mai.  Je l’ai massée comme d’habitude et je lui ai dit à nouveau qu’il fallait qu’elle lâche prise et qu’elle fasse le grand saut. Chaque fois que je sortais de l’hôpital j’étais bouleversée. Hier, c’était l’Ascension, et je devais lui rendre visite. Mais j’ai été retenue par différentes affaires à régler. Faute de temps, j’ai voulu lui faire un soin à distance en travaillant sur sa photo que j’avais toujours avec moi. Mais impossible de la retrouver. Je l’ai cherché partout, j’ai retourné toute la maison, mais rien, sa photo a disparu. A 20h00, j’apprenais son décès.

J’ai écrit ce texte pour ma grand-mère que j’aimais profondément. C’était une femme douce, indépendante et têtue, tellement sensible… Mais j’ai aussi écrit ce texte pour les usagers des hôpitaux, les soignants comme les malades, exposés aux dangers inodores, invisibles de la modernité. Peut-être qu’un jour viendra où tous les hôpitaux seront à nouveau des lieux faits pour guérir.


Essai de radiesthésie vibratoire par L. Chaumery et A. de Bélizal

Vous êtes peut-être comme moi : vous auriez bien aimé lire cet ouvrage épuisé de MM. L. Chaumery et A. de Bélizal « Essai de radiesthésie vibratoire » que l’on trouve parfois en vente à un prix exorbitant. La première édition date de 1956 (Editions Dangles).

Je revisite cet article en 2023 et le livre a été réédité depuis. Fantastique!

Cliquez sur l’image et vous accéderez à l’édition de 1976.

Si vous n’aimez pas cette édition, vous pouvez aussi le lire chez google en cliquant ici. Mais le téléchargement est payant.

A force de chercher, je l’ai aussi trouvé sur un site super sympa  : www.labirintoermetico.com. Il fourmille de documents. C’est sur ce site que j’ai téléchargé la version que je vous propose.

Cliquez sur l’image du livre. Bonne lecture!

Le SCAP, selon Jacques La Maya

Extrait de La Médecine de l’Habitat, pp.242-247

« LE SYMBOLE COMPENSATEUR

Dans la revue M.I.R, M. André Philippe (chercheur infatigable et homme de bien) a parlé du symbole compensateur qu’il avait trouvé et que, comme tant d’autres, nous avons fait connaître à de nombreuses personnes en difficultés. Pour simplifier, nous l’avons appelé le S.C.A.P. puisqu’il a beaucoup fait parler de lui en des sens très divers, sinon divergents…

Principe : étudiant les nombres bénéfiques, le pouvoir des chiffres et de leurs symboles (une fois traduits en configuration graphiques), A. Philippe en est arrivé au nombre 2,33 (7 divisé par 3). Il est facile à rendre sous forme graphique. Ce S.C.A.P. avait une puissance considérable de compensation, disait-il, et, dès lors, on peut l’utiliser de différentes façons comme moyen de protection personnelle, ménagère et pour une habitation. Cela demande explication car ce n’est pas évident à première vue.

Protections personnelle ? Oui, et surtout pour ceux qui sont exposés à des rayonnements puissants (centrales électriques, stations radio et tv, personnel des sous-marins atomiques, etc). On est saturé, en ces lieux, de V-e et N-e. Le S.C.A.P. est tracé sur une carte blanche qui est portée sur soi, d’où une zone de protection réelle. On peut en faire des bijoux, des médailles, pendentifs, plaques pectorales.

Protection ménagère ? Oui : l’eau du robinet est chargée en V-e car il y a des câbles électriques dans le sol (ils sont parallèles à ceux des conduites d’eau potable !), d’où aliments chargés de V-e. Pour l’eau des chaudières, idem, les radiateurs émettent aussi ce V-e et le N-e dans toute la maison…

Un rectangle de bois (7 sur 20) sur lequel on grave le S.C.A.P. au stylo feutre est placé sur un seul radiateur. Il fait disparaître les radiations nocives. Cela joue également pour l’eau et, qui plus est, pour tout l’immeuble. On procède de la même façon pour le réfrigérateur, le congélateur et la moulinette (qui tourne dans le mauvais sens – le sens anti-horaire – et qui émet donc son V-e à plein gaz…).

Habitation ? Oui : de nombreux tests à distance sur plan, puis sur place, ont été faits avec succès quant au pouvoir de compensation, y compris pour les cas d’humidité massive due à la présence d’un rayonnement « rouge électrique ». En cours d’essai dans un habitat particulièrement malsain, A. Philippe a pu constater que le S.C.A.P. placé dans le symbole solaire était encore plus efficace et ce quasi instantanément !

Autres utilisations diverses : on s’en est servi avec succès pour machines agricoles (ou autres) tournant antihoraire (donc V-e), ordinateurs en tout genre, locomotives électriques, tous appareils électroménagers tournant dans le sens anti-horaire, armoires à pharmacie familiale, véhicules de toutes catégories, chauffages électriques, etc. Cette liste n’est pas limitative ; on peut aussi charger l’eau et les aliments. Si le S.C.A.P. est bénéfique, il n’y a pas de raison d’en limiter l’usage et on s’en est rendu compte expérimentalement. Peu à peu, le graphisme a évolué pour le rendre toujours plus performant (voir les variantes successives). A. Philippe a mis en garde ses lecteurs contre tout projet de recherche et d’essai comportant sur les nombres, car on peut tomber, dit-il, sur des nombres qui empoisonneraient l’ambiance et pourraient même attaquer le sujet expérimentateur, nuire à sa santé et mettre sa vie en danger. A première vue il peut sembler étrange que quelques traits rectilignes sur une simple feuille de papier aient un tel pouvoir (bénéfique ou maléfique selon les cas). Mais il nous a été donné d’entendre certaines confidences d’utilisateurs du S.C.A.P. (en variantes diverses) et nous devons en résumer sommairement l’essentiel car il y a eu controverse sur certains points. Tout à fait indépendamment de celle-ci, et on a eu aussi des preuves de la puissance opérative des symboles, même si le symbole agit dans un sens non désirable…

Controverses : certains utilisateurs ont trouvé que le S.C.A.P. bloquait les radiations nocives comme on s’y attendait, mais qu’il pouvait également les stocker et les réémettre ensuite en masse, ce qui est fâcheux bien sûr, et crée un doute assez alarmant. Voir, en fin de la présente étude, les conditions à remplir par le compensateur idéal (symbole ou autre principe de travail anti-O.N.). Les avis sont partagés car, en dehors de tout point de vue technique, le S.C.A.P. dérange puisqu’il est gratuit et fabriqué (ou reproduit) avec la plus grande facilité. Nous n’entrerons pas en lice pour ou contre qui ou quoi que ce soit à ce sujet et nous renouvelons l’expression de notre vive estime à A. Philippe, expérimentateur hors pair, homme désintéressé et sincèrement dévoué face à toute personne en détresse qui lui lance un appel au secours.

Une chose est absolument certaine : le S.C.A.P. possède une puissance étonnante qui peut se manifester sous mille formes. En voici un exemple des plus probants. Après un exposé sur des sujets d’ordre spirituel, la question du S.C.A.P. fut évoquée par quelqu’un et donna lieu aux très surprenantes affirmations suivantes :

– M.X… nous dit : « J’ai mis un S.C.A.P. dans mon téléviseur ; il tomba en panne et fut donné au dépanneur. Un ami nous prêta sa télévision où l’on mit un S.C.A.P. et elle tomba en panne également. On en resta là, surpris, et même inquiets… »

– M. Y… nous dit à son tour : « Ma télévision n’est pas tombée en panne, mais lors de certaines émissions, on aperçoit sur l’écran d’étranges dessins en noir qui n’ont aucun lien direct avec les images que nous devions voir se dérouler normalement. C’est très troublant ; on ne sait quoi penser de tout cela« .

– Mme D… haussa les épaules et ajouta : « La maison et le poste sont bourrés de S.C.A.P. Il ne se passe rien ni en bien ni en mal. C’est tout. Je me demande pourquoi ces personnes, elles, sont témoins de tout cela. C’est comique ! »

– Mlle R…. : « Depuis que nous avons tout neutralisé avec des S.C.A.P. la maison est vraiment transformée. Tout glisse, tout coule, tout est comme lubrifié. Et finis les troubles d’avant : insomnies, maux de tête, agressivité, pipi au lit et le reste… Quelle merveille que ces petits cartons à dessins noir sur blanc ; c’est à n’y rien comprendre, mais le fait est là… »

– Mlle C. B… : « L’informatique nous claque, surtout dans les bureaux avec tout le confort moderne à O.N. J’ai mis un S.C.A.P. sur moi et mes collègues. Nous étions beaucoup moins agressées par les ordinateurs. Quelqu’un crut bon d’en mettre dans les carters en plastique de ces derniers. Il arriva que certains ordinateurs cessèrent de fonctionner normalement. C’est plus fort qu’avec Uri Geller. Le chef de service est furieux en raison des pannes d’ordinateurs que le spécialiste ne comprend pas ; il est surtout agacé par le fait que ce petit bout de carton mette la machine au défi. Finalement, on salue le S.C.A.P. et on tourne en rond. Avec le S.C.A.P., c’est notre outil de travail (à O.N. !) qui est malade ; sans le S.C.A.P., on est mal dans sa peau ; c’est lui ou nous. Cruel dilemme digne d’un roman de science-fiction… »

– Mlle P… (organiste) : « Un orgue avait des articulations rouillées. On a mis un S.C.A.P. trois jours avant le récital à l’église Notre Dame-de-Lourdes. Le jour venu, tout a bien marché. Pourtant, un S.C.A.P. n’est pas un liquide qui huile les pivots mécaniques d’un vieil orgue ; alors ? »

PAutre chose encore, et de taille ! Un ami, très connaisseur, quelque peu cartésien (de la veine « deux et deux font quatre »), nous affirme ce qui suit : il a placé des S.C.A.P. autour d’un lit et iil s’est formé comme un mur psychique entre les deux époux dont la vie conjugale était normale. Ils ont fini par devoir se séparer. Leur karma n’était pas si mauvais puisqu’ils ont rencontré, par la suite, chacun de leur côté, un conjoint qui a fait l’affaire. Mais le fait est là : il leur a fallu se séparer ; incroyable, mais vrai…

Deuxième anecdote significative : on met des S.C.A.P. sur du bois humide pour chasser cette humidité (c’est une de ses propriétés). On met les bûches dans la cheminée. Le bois brûle bien comme on s’y attendait, mais y mit une telle ardeur que tout brûla aussi. Tout ? Oui, la suie, les murs en brique, etc. Appelés, les pompiers n’y comprenaient absolument rien car plus on jetait de l’eau, plus ça brûlait. Il y eut de grands dégâts de type paranormal. Quelle puissance cachée dans ce S.C.A.P., mais que d’effets non contrôlables aussi !

Amis lecteurs, nous en restons là, à vous de juger, si un jugement est possible devant de tels faits. Nous aurions des dizaines d’histoires vraies de ce genre : effets miraculeux, imprévus, déconcertants dans le sens d’un mieux ou d’un pis, variations dans le temps et l’espace. Qui nous dira quelles lois entrent en jeu dans les aventures des usagers d’un symbole opératif ? Qui ?

En janvier 1987, nous avons eu le dernier S.C.A.P. qui comporte 3 triangles équilatéraux circonscrits et 3 croix magnifiant les 3 sommets du grand triangle. Il est donné comme absolument polyvalent, y compris contre les actions magiques. On le met à l’essai avec prudence et doigté un peu partout. Peut-être manie-t-on, avec lui, une dynamique silencieuse mais singulièrement active. Une fois encore, qui sait quoi ?

Certains chercheurs, qui ont été satisfaits du S.C.A.P. chez eux, ont suggéré que là où il y avait des désagréments (des bavures !), c’était peut-être en raison du fait que l’habitat était déjà sous magie et que le S.C.A.P. n’a fait qu’actualiser des phénomènes latents. La maison était peut-être sous transfert, ou sous l’action cryptique d’un K.Sh.Ph. avec shin inversé. De quoi y perdre son latin ou son hébreu…

Voilà un beau sujet d’étude pour le C.N.R.S. n’est-ce pas? »

Extrait du livre « La médecine de l’Habitat », de Jacques La Maya aux éditions Dangles, 2005.

Les SCAP, symboles compensateurs d’André Philippe

C’est quoi les SCAP?

Les symboles compensateurs d’André Philippe, plus connus sous le nom de S.C.A.P. sont des dessins qui émettent une onde de forme permettant d’annuler certaines perturbations d’ordre géobiologique ou électrique ou d’un autre ordre, c’est-à-dire abstrait.

Les S.C.A.P. sont des symboles en diffusion libre, c’est-à-dire gratuits, mais j’ai quand même trouvé sur la toile des sites, espagnols ou portugais, où ils étaient en vente. Incroyable!

Cliquez ici pour savoir ce qu’en dit M. Jacques La Maya dans son livre (excellent, une vraie Bible, mais je l’ai déjà dit ailleurs) « La médecine de l’habitat », ses conseils et ses mises en garde.

André Philippe a conçu plusieurs S.C.A.P. :  il les a fait évoluer au fil du temps, au fil des expériences, positives et négatives aussi, d’ailleurs. Dans quel but? De les améliorer sans cesse. Lorsqu’on a pour tâche d’harmoniser une onde nocive ou un lieu et que l’on envisage de recourir à un S.C.A.P., je ne crois pas qu’il s’agisse d’opter systématiquement pour le plus récent. Il faut tester par recherche radiesthésique. C’est du cas par cas. Et il faut toujours suivre l’évolution des choses après la mise en place d’un S.C.A.P. Comme dirait M. La Maya, on ne sait jamais… Il peut y avoir des surprises.

Le 1e modèle

Devenu un classique, c’est le suivant :

Le 2e modèle

C’est le S.C.A.P. 3C 3T (avec 3 croix et 3 triangles) date de janvier 1987 : il est donné comme absolument universel dans ses effets, c’est-à-dire anti-ondes nocives concrètes (ONC)  et abstraites (ONA).

 Le 3e modèle

C’est le « S.C.A.P. 3T. 3 C. Héb. » : il a été mise en service à partir de mai 1987. C’est une amélioration du précédent. Il comporte en plus 3 lettres en hébreu carré qui représentent les 3 éléments de la Sainte-Trinité (Père, Fils et Saint-Esprit). Il est donné comme très efficace sur tous les plans (y  compris magie et affaires d’ordre spirituel).

Et une variation de ce modèle (intégré dans le symbole solaire) :

Et avant le 4e modèle, il y a probablement eu celui-ci : sans le shin et sans les trois cercles. Celui-ci est en vente (hallucinant!) sur certaines sites.

Le 4e modèle

Ci-dessous : il date de mars 1990 et remplace tous ceux qui l’ont précédé pour ce genre de symbole à effets multiples.

Et le 5e modèle paru en 2003

Mais , c’est pas fini. En voici d’autres encore… Si quelqu’un a des pistes concernant la chronologie de l’évolution des S.C.A.P., n’hésitez pas à partager ces infos avec nous.

Utilisation des symboles compensateurs

En consultant divers sites sur internet abordant les S.C.A.P., on trouve beaucoup de gens qui les connaissent mais peu qui les utilisent.

Pour ma part, j’ai commencé à les utiliser il y a quelques mois, et je dois dire que les résultats sont assez époustouflants. Comme il y a plusieurs modèles (je vous en ai présenté 9 au total, mais peut-être y en a-t-il d’autres?), il faut déterminer au pendule celui qui convient le mieux au problème auquel on doit faire face. Pour cela, une fois que vous avez détecté l’origine du problème ou l’endroit où la perturbation est la plus forte (avec une planche « géodynamètre », par exemple), vous déterminez au pendule toujours, donc par le ressenti, celui qui apportera le plus de bénéfices et le moins d’effets secondaires. Après la pose, vous vérifiez le taux vibratoire : vous l’aviez bien sûr vérifié au préalable! Vous refaites un test au géodynamètre. Tout doit avoir progressé significativement. Si vous n’êtes pas satisfait du résultat, sélectionnez un autre S.C.A.P. et refaites les tests.

Deux exemples

Monsieur Jean

Jean, un monsieur de 84 ans habitant à Chartres est de plus en plus fatigué et a de plus en plus de mal à marcher. Il se plaint de très mal dormir, puisqu’il est réveillé 6 à 7 fois par nuit par des crampes extrêmement douloureuses. Il va plusieurs fois par semaine chez son médecin qui le gave de médicaments mais aucune amélioration en vue. J’interviens chez lui… Je teste la chambre  : elle va bien. Je teste son lit : il va très mal avec un taux vibratoire à 2000 Angströms et le géodynamètre qui ne veut pas monter au-delà de -40. Je regarde sous son lit  et là,  je découvre un enchevêtrement de fils électriques et de multiprises : l’horreur. Mais le pauvre homme, victime du confort moderne, a investi dans un lit électrique qui permet de surélever le haut ou le bas du matelas. Le problème de ce genre de lits est que le moteur se situe à l’aplomb du tronc où se rassemblent tous les organes vitaux et que le corps endormi est particulièrement sensible à cette pollution invisible électrique. J’enlève donc toutes les multiprises et tous les fils qui trainent sous le lit, je déconnecte les prises alimentant les deux moteurs du lit (évidemment , ce ne sont pas des prises de terre, ça aurait été trop beau) et je les rebranche dans le bon sens (sens où le champ de torsion est positif). Vous pouvez vous reporter en ce qui concerne le champ de torsion et les prises à mon article « La fée électricité et ses attaques sournoises » et au paragraphe « Brancher une prise mâle dans la prise femelle ». Je choisis au pendule le S.C.A.P. qui sera le plus bénéfique pour neutraliser la pollution en provenance des moteurs. Je place un S.C.A.P. sur chaque moteur. Et le tour est joué. Dès la première nuit, Monsieur Jean a senti la différence. Il ne s’est réveillé qu’une seule fois avec une toute petite crampe. Voilà bientôt deux mois que j’ai placé ce dispositif et il se sent de mieux en mieux : il dort vraiment mieux et a même retrouvé de l’appétit.

Sylvie

Sylvie habite à Créteil dans un joli appartement assez lumineux, assez agréable de prime abord. Seul inconvénient : les garages abritant toutes les voitures de l’immeuble sont situés juste en-dessous de chez elle. Donc elle vit et dort au-dessus d’un empilement de voitures. Lorsque j’arrive chez elle, la pollution électrique en provenance du sous-sol se retrouve partout. Sous son lit passe un nœud du réseau Hartmann  : la pollution électrique du sous-sol amplifie sa nocivité. Pour harmoniser le lieu, je place un S.C.A.P. choisi au pendule sur le nœud du réseau H. sous son lit. Je refais des tests et vérifie que la pollution électrique n’est plus là. Il y a aussi un pan de mur dans un placard contenant des vêtements qui présente des traces d’humidité et de moisissures. Chaque fois  que Sylvie rentrait chez elle, l’odeur de renfermé l’agressait. Je place un autre S.C.A.P. sur le mur humide et lui demande de le nettoyer pour que l’on puisse constater ou non l’arrêt de la prolifération des champignons. Résultats : Sylvie retrouve un bon sommeil réparateur, le mur humide a séché et l’odeur de moisi a disparu pendant deux mois, mais est en train de revenir. Le S.C.A.P. du mur s’est peut-être saturé, et il faudra le remplacer par un autre.