L’après-vie, de Serge Fitz

après-vie, serge fitzJe viens de terminer un  livre passionnant et déroutant : « L’après-vie : Nouvelles perspectives pour les disparus », de Serge Fitz, paru en 2011.

Serge Fitz nous apprend comment rechercher par radiesthésie les personnes, animaux ou objets disparus, jusque-là tout ce qu’il y a de plus classique dans ce domaine. Puis le livre glisse doucement vers un sujet beaucoup plus vaste, celui de la mort, de la réincarnation et de la résurrection qui, d’après l’auteur et les enseignements de G.P. Grabovoï dont il se fait le porte-parole, sont à la portée de chacun d’entre nous (à condition d’avoir l’esprit un tantinet ouvert) pour finir sur des considérations concernant l’essence de la vie et de l’âme.

Voici ce que dit la jaquette du livre

En remontant le temps, le radiesthésiste permet aux vivants de comprendre les disparitions qui les frappent et apporte les informations pour un deuil vivifiant.

En faisant la lecture radiesthésique du stress et des niveaux énergétiques des moments vécus par le disparu à partir de l’instant où le voile tombe, nous pouvons enfin comprendre l’indicible. Un deuil réussi est aussi bénéfique à ceux qui restent qu’à celui parti pour une autre vie.

Si cette lecture débusque désormais les mensonges de l’histoire, elle permet aussi le contact avec les entités ainsi que, lorsque c’est le cas, la localisation de leur réincarnation.

Abordant le sujet de la résurrection, l’auteur nous introduit auprès de Grigori Petrovitch Grabovoï, l’académicien russe extra lucide qui nous fait entrer dans un continuum où la mort n’a plus sa place.

Serge Fitz est l’auteur de plusieurs livres sur la géo-biothérapie et le langage des maladies. Il anime des séminaires en tant que radiesthésiste, conseiller et praticien dans les domaines des énergies corporelles et du décryptage des causes de la maladie.

Pour en savoir plus sur ces sujets passionnants, allez faire un tour sur l’un des sites de l’auteur

http://www.sante-info-russie.com/materialisation.htm

http://www.lequadrant.com/

Mauvaises ondes : documentaire sur France 3

Tous à vos télés le 18 mai 2011 à 20h35 sur France 3

Inodores et invisibles, les ondes électromagnétiques sont pourtant partout. Mais sont-elles dangereuses ?…

Réalisé par Sophie Le Gall
Une production : Ligne de Mire Production, avec la participation de France Télévisions

Le 18 mai prochain, France 3 propose lors de sa soirée documentaire Hors Série présentée par Samuel Etienne, un document inédit Mauvaises ondes, sur l’utilisation des ondes électromagnétiques que ce soit celle du wifi comme celle du téléphone portable et bien d’autres. A cette occasion la réalisatrice Sophie Le Gall a répondu aux questions de Première.fr.

Après avoir réalisé le documentaire Du poison dans l’eau du robinet, diffusé lui aussi sur France 3, vous proposez aujourd’hui Mauvaises ondes traitant des ondes des portables et autres instruments électroniques. C’est une volonté de votre part de s’attacher à des sujets du quotidien ?

En réalité on avait proposé il y a plus d’un an plusieurs thématiques de santé publique qui s’inscrivent dans le quotidien des français. On a vendu ces projets à France Télévisions qui a d’abord diffusé le documentaire portant sur l’eau du robinet et les différents poisons contenus dans cette eau. Le documentaire avait réalisé une bonne audience donc on a proposé cette année Mauvaises ondes, une enquête sur le danger des ondes émises par les téléphones portables, le wifi et d’autres appareils électroniques.

Pourquoi avoir réalisé un documentaire sur ce thème ?

On a voulu faire un documentaire faisant le bilan de ce qui existe. En France aujourd’hui il y a plus de 64,4 millions de portables pour une population de 64 millions de personnes. Le portable s’est imposé massivement en 15 ans, il fait partie du quotidien de tous sans qu’on se soit réellement posé la question de ses effets sur le quotidien des français. Ce qui a nous a poussé à faire ce sujet c’est l’étude européenne Interphone sur les dangers des ondes des portables. Les résultats de cette étude ont mis des années à sortir et  les chercheurs entre eux n’arrivaient pas aux mêmes conclusions. Finalement le lecteur en lisant cette étude n’était pas plus informé.

Mais la vraie question pour nous c’était « est ce que réellement l’étude n’a rien pu prouver ou les chercheurs ont-ils trouvé des résultats mais qui ont été passés sous silence ? » C’est à partir de cette question-là qu’on a décidé de réaliser ce documentaire. Pourquoi certains chercheurs trouvent des résultats alors que d’autres n’ont toujours rien après des années de recherche ? On voit dans le documentaire que des chercheurs ont trouvé des résultats mais certains ont vu leur budget ne pas être renouvelé, d’autres ont subi de fortes intimidations… Le problème qui se pose c’est l’indépendance de la recherche. Certaines équipes ne trouvant rien sont financées par des opérateurs de téléphonie…

On s’est aussi intéressé dans ce documentaire aux normes régissant ces ondes. Comment sont-elles adoptées, qu’en pensent les chercheurs, quel est le rôle des lobbys ? Il faut savoir que certaines industries ont joué un rôle dans l’adoption et la création de ces normes.

Quand vous avez commencé à travailler sur ce sujet, est-ce qu’il vous semblait possible de réaliser ce documentaire compte tenu des enjeux économiques qui sont liés ?

L’avantage de faire ce documentaire pour France Télévisions c’est qu’il n’y a pas de problème d’étanchéité, pas comme certains groupes qui ont des intérêts communs avec des opérateurs de téléphonie. On était plus serein de travailler avec France Télévisions. Et on était certains que ce thème les intéresserait puisqu’il s’agit d’un vrai problème de santé publique.

Quelles difficultés avez-vous rencontrées pour réaliser ce document ?

Nous n’avons pas eu de difficultés avec la communauté des chercheurs. On a pu rencontrer tous les gens avec lesquels on souhaitait s’entretenir. Le problème s’est plus posé avec les opérateurs de téléphonie mobile. On s’intéressait à des cas précis donc on souhaitait poser des questions très précises. Mais les services de presse des opérateurs nous renvoyaient vers la Fédération française des télécoms, qui regroupent les trois grands opérateurs français. Elle pouvait répondre à des questions globales mais pas à des cas précis.Il était donc difficile d’avoir des réponses. Après c’est la limité du journalisme, si ils ne souhaitent pas répondre on ne peut rien faire.

Avez-vous subi des pressions venant du monde politique ou industriel ?

Nous n’avons subi aucune pression ni venant des politiques ni des opérateurs. La seule difficulté rencontrée était d’entrer en contact avec les industriels.

Quel impact pensez-vous que ce documentaire aura sur le public?

Sur le public je ne sais pas trop. Mais je vais répondre par rapport aux réactions que j’ai pu voir lors de la diffusion du film à des journalistes. Certains étaient très surpris, surtout par la première séquence du documentaire pour laquelle on a travaillé avec un laboratoire indépendant dans un appartement témoin. Un ingénieur est venu mesurer les différentes ondes émises par les appareils de la maison. Il faut savoir que le babyphone ou encore le téléphone fixe sans fil produisent eux aussi des ondes électromagnétiques mais moins forte que celles du téléphone portable. Cette séquence provoque, d’après les premières réactions qu’on a pu voir, une vraie prise de conscience de l’environnement dans lequel on vit au sein même de nos foyers.

On espère que ce documentaire aidera le public à être mieux informé. Aujourd’hui il y a un vrai manque d’informations sur ces ondes. Même si ils existent des normes françaises obligeant les industriels à afficher certaines informations, ils n’ont pas de réelle volonté de communiquer là-dessus. Un exemple : le DAS ( Débit d’Absorption Spécifique ndlr)  des portables. Le DAS c’est le chiffre mesurant le rayonnement des appareils (il indique la quantité d’énergie absorbée par l’organisme. Une valeur faible au DAS traduit une exposition plus faible aux ondes électromagnétiques ndlr). Ce chiffre doit être affiché en magasin pour les téléphones portables. Mais il est souvent noté en tout petit et peu de personnes savent ce qu’il signifie, beaucoup même ne connaissent pas l’existence de cette information.

Quel conseil donneriez-vous aux français à propos des ondes ?

Beaucoup de scientifiques déconseillent l’usage du téléphone très tôt chez les enfants. Les ondes des portables ont le même impact sur leurs cerveaux que sur ceux des adultes à une différence près c’est qu’ils absorbent plus d’ondes. Si l’usage du téléphone portable est indispensable, les médecins conseillent de ne pas faire de longues communications.

Les autorités sanitaires conseillent aussi de ne pas coller sa box internet et téléphone près de soi. Il faut la mettre dans un lieu isolé et éviter si possible de la placer dans un lieu de vie comme la chambre à coucher ou sur le bureau où on travaille.

Texte de Pauline Hohoadji sur Première.fr

DEBAT EN DIRECT

Présenté par Samuel Etienne

Débat avec des auteurs, réalisateurs, témoins ou experts.

Date : 18/05/2011
Horaire : 20H36 – 21H55
Durée : 78 mn

Rediffusion le samedi 21 mai à 02h25

Revoir le documentaire maintenant : http://www.pluzz.fr/mauvaises-ondes-2011-05-18-20h35.html

Des abeilles à Ivry-sur-Seine

Des abeilles à Ivry, des abeilles en ville… Face à la pollution des campagnes par les produits chimiques répandus dans les champs, la ville offre désormais un refuge pour les abeilles.

Aberrant, mais génial!  Depuis quelques jours, la ville d’Ivry en partenariat avec l‘U.N.A.F. (Union Nationale de l’Apiculture Française) a installée six ruches sur une très jolie prairie fleurie, située au rond point Jaroslaw Dombrowski, juste au-dessus des jardins ouvriers, près du fort. Cette démarche s’intègre dans un programme national appelé « L’abeille, sentinelle de l’environnement ».

L’inauguration aura lieu le 21 mai 2011 en présence du député-maire Pierre Gosnat et de l’apiculteur référent de l’U.N.A.F. Yves Baudron. Et une récolte de miel devrait avoir lieu en juin. Affaire à suivre…

Si vous voulez en savoir plus :

Article Biodiversité : des ruches au fort, dans Ivry-ma-ville n° 421 mai 2011

A la ville, les abeilles échappent à la pollution chimique rurale. Résisteront-elles à la pollution invisible des antennes-relais de la téléphonie mobile? En effet, certains scientifiques allemands formulent une théorie selon laquelle les radiations provoquées notamment par l’utilisation de téléphones portables perturberaient le système de navigation des abeilles, les empêchant ainsi de retrouver leur chemin jusqu’à la ruche. On assiste ainsi à une véritable épidémie de « Colony Collapse Disorder » (CCD), un trouble qui vide littéralement les ruches de leurs abeilles ouvrières, ne laissant que la reine, les oeufs et les abeilles immatures.

Et voici quelques photos prises ce matin avec l’aimable autorisation des jardiniers Christian et Patrice. Ce lieu en pleine ville est vraiment magique : il vous projette complètement à la campagne. N’hésitez pas à aller en profiter lors de l’inauguration du 21/05/2011.

[slideshow]

Des légumes dans les bouchons

L’année dernière, des légumes se sont mis à pousser sur le terre-plein du boulevard Henri Sellier à Suresnes, dans le 92, au beau milieu d’une circulation intense.

Les initiatives vertes sont de plus en plus nombreuses en milieu urbain. Il serait bon que cette vague bio soit répercutée au niveau national. En effet, fin 2009, 16 446 exploitations agricoles étaient engagées dans la production biologique avec 677 513 ha, soit 2,46% de la surface agricole utilisée (SAU) nationale.

A peine 3%, un chiffre ridicule.

Comme j’ai trouvé cette idée sympa, je souhaitai la partager et j’ai fait quelques photos avec un téléphone portable. Donc, désolée pour la qualité.

[slideshow]

Prière pour barrer le feu

La prière pour barrer le feu fonctionne incroyablement bien.

Si vous avez l’esprit un tantinet ouvert, essayez-là, ça ne coûte rien. Et les résultats vous étonneront peut-être. Les plus sceptiques pourraient même pousser la porte d’un nouveau champ des possibles, qui sait…

Il y en a différentes versions. Voici celle que l’on m’a enseignée.

« Feu de Dieu perds ta chaleur

Comme Judas jadis perdit sa couleur

Quand il trahit notre Seigneur sur le Mont des Oliviers ».

« J’enlève le feu avec  la main

Que ça redevienne froid comme avant. »

A dire trois fois en soufflant sur la brûlure en signe de croix.

Certains guérisseurs conseillent de réciter ensuite 5 Pater et 5 Ave.

Le Pater

« Notre Père, qui es aux cieux,

Que ton nom soit sanctifié,

Que ton règne vienne,

Que ta volonté soit faite

Sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour

Pardonne-nous nos offenses,

Comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés

Et ne nous soumets pas à la tentation,

Mais délivre-nous du mal.

(facultatif) :

Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles.

Amen. »

L’Ave

« Je vous salue, Marie, pleine de grâce.

Le Seigneur est avec vous.

Vous êtes bénie entre toutes les femmes,

Jésus le fruit de vos entrailles est béni.

Sainte Marie, Mère de Dieu,

Priez pour nous pauvres pêcheurs, maintenant et à l’heure de notre mort.

Amen »

La fée Electricité et ses attaques sournoises

Simulateur d’aube : électro-sensibles, s’abstenir…

Attention! Sont mis sur le marché des produits qui causent bien plus de tord (invisible, inodore) qu’ils ne font de bien.

Exemple : le simulateur d’aube.

Y a-t-il une volonté de nuire délibérément à la population, c’est-à-dire vous et moi, ou bien ces marchands de bien-être , de mieux-être sont-ils simplement de simples ignorants?

Une petite anecdote : il y a quelques années, alors que j’habitais un rez-de-chaussée très faiblement éclairé en hiver, je souffrais d’un terrible manque de lumière, surtout le matin pour me réveiller. J’ai donc fait l’acquisition d’un simulateur d’aube. Que je plaçais sur ma table de nuit, c’est-à-dire non loin de ma tête. Au début,  j’étais très contente de cet objet qui me permettait de me réveiller en douceur et de bonne humeur.

D’ailleurs, lorsque l’on va sur les sites qui promeuvent cet objet on peut lire :

« Les avantages du simulateur d’aube Lumie 200 : il aide à réguler les rythmes biologiques et permet de passer de meilleures journées. L’efficacité biologique de ce simulateur d’aube Lumie est prouvée par de nombreuses études scientifiques (mais les sources ne sont jamais citées).En effet, grâce à sa lumière et à sa synchronisation, le Lumie 200 permet de retrouver tonus et vitalité au réveil.Fini la dépression saisonnière et la fatigue au réveil, cet éveil lumière Lumie permet une amélioration de la qualité de votre sommeil. »

Mais les effets positifs n’ont pas duré longtemps

Assez rapidement, en fin de nuit, j’ai commencé à avoir d’étranges sensations dans les mains, dans les doigts, comme des engourdissements, des fourmis, des pertes de sensations, une impression d’avoir les mains gelées de l’intérieur. Au début, je n’y prêtais pas trop attention. Puis j’ai déménagé, emportant avec moi mon fidèle simulateur. Je l’installai dans ma nouvelle chambre située à l’ouest et ne bénéficiant toujours pas des rayons du soleil levant. Et fidèlement, mes sensations bizarres au niveau des mains étaient toujours là le matin. Et lorsque je prenais mon scooter, dans la fraîcheur ou la tiédeur matinale, ma main droite était totalement congelée sur la poignée d’accélération, j’avais du mal à bouger les doigts. Par contre lorsque je reprenais mon scooter le soir, en rentrant de mon travail, ces sensations désagréables n’étaient jamais au rendez-vous.

Et puis surtout, j’étais extrêmement fatiguée. Malgré une bonne hygiène alimentaire (nourriture bio), malgré la pratique très régulière de l’aïkido, je n’arrivais pas à me débarrasser d’une fatigue chronique, qui me minait peu à peu et me déprimait.

A ce stade, un être humain lambda aurait peut-être déjà consulté un médecin, voire même plusieurs, et des spécialistes… d’autant que les symptômes de mon mal duraient depuis deux ou trois ans déjà mais, moi, je suis plutôt du genre à essayer de comprendre la cause de la désharmonisation car je suis convaincue que nous sommes faits pour être en parfaite santé.

Un jour, un ami géobiologue est venu chez moi et m’a dit : « Tu ne devrais pas garder ton simulateur, c’est un objet particulièrement nocif ». Je l’ai écouté et, avant de me décider à me débarrasser de cet objet, j’ai donc cherché au pendule les vibrations couleurs émises par l’appareil et j’ai pu constater…

Brancher une fiche mâle dans la prise femelle

Mais avant ça, il faut que je vous explique quelque chose à propos des fiches électriques mâles sans terre et  la manière de les brancher. Vous pouvez les brancher dans un sens ou dans l’autre, en retournant la prise, mais la qualité de l’électricité ne sera pas la même.

Il y a un sens où le champ de torsion du champ électromagnétique est positif, c’est-à-dire biotique, favorable à la vie, et un sens où le champ de torsion du champ électromagnétique est négatif, c’est-à-dire anti-biotique, défavorable à la vie.

Vous pouvez tester ça vous-même avec un pendule : vous approchez une main de la fiche dans la prise et vous demandez quel est le champ de torsion :

  • s’il est positif, le pendule se met à tourner dans le sens horaire, à droite,
  • s’il est négatif, il tournera dans le sens anti-horaire, à gauche.

Il suffit de demander et vous obtiendrez la réponse.

Résultats de mes tests au pendule sur le simulateur d’aube

Puisqu’il y a deux manières de brancher une fiche mâle, j’ai donc tester le simulateur deux fois, une première fois avec la fiche branchée correctement (champ de torsion positif) et le seconde fois avec la fiche branchée de manière incorrecte (champ de torsion négatif), en m’interrogeant sur les vibrations couleurs émises par l’appareil.

Avec la fiche branchée correctement, j’ai constaté que :

  • le taux vibratoire du simulateur d’aube s’élève à 2000 Angstroms (échelle de Bovis)
  • et, au niveau des vibrations couleurs, quand la lampe est éteinte (fonction affichage de l’heure activée uniquement), l’appareil émet en V-m (vert négatif magnétique), N m (noir magnétique) et I.R m (infra-rouge magnétique), R m (rouge magnétique), O m (orange magnétique), J e (jaune électrique), V+e (vert électrique), B e (bleu électrique)  et le reste du spectre (de indigo à blanc) est en phase magnétique.
  • en revanche, quand la lampe est allumée,  l’appareil émet en V-e (vert négatif électrique), N e (noir électrique), I.R. e (infra-rouge électrique) et le reste du spectre est en phase magnétique.

En inversant le sens du branchement de la fiche dans la prise, j’ai constaté que :

  • le taux vibratoire du simulateur d’aube tombe en dessous de 0 Angstroms
  • quand la lampe est éteinte, l’appareil émet en en V-e (vert négatif électrique), N e (noir électrique), I.R. e (infra-rouge électrique) et le reste du spectre est en phase magnétique.
  • quand la lampe est allumée,  l’appareil émet en en V-m (vert négatif magnétique), N m (noir magnétique) et I.R m (infra-rouge magnétique) et le reste du spectre est en phase électrique.

Pour conclure,  bien ou mal branché, ce simulateur d’aube  émet des ondes extrêmement nocives, perturbatrices de la santé, d’autant plus que ce genre d’appareil est souvent placé sur la table de chevet, donc non loin de la tête, irradiée pendant les 6 à 8 heures que dure le sommeil par ses émissions nocives. Il n’en reste pas moins que l’on trouve ce genre de choses chez des enseignes genre « bien-et-bio.com » : je préfère penser qu’ils ne savent pas ce qu’ils vendent comme petites usines à polluer.

N’oubliez jamais que vous n’êtes pas obligés de croire qui que ce soit. Tout est toujours vérifiable par radiesthésie.Vous êtes tous en mesure de tout tester au pendule. Nous sommes d’ailleurs de véritables radars ambulants.

Les vibrations couleurs du spectre, selon Chauméry et Bélizal

Tout dans l’univers est énergie, tout émet une vibration.

Les vibrations couleurs du spectre selon Chauméry et Bélizal se répartissent en 2 x 12 couleurs :

  • 12 couleurs en phase magnétique
  •  et 12 couleurs en phase électrique.

La recherche a démontré que les 12 couleurs en phase magnétique sont pro-biotiques, favorables à la vie et à la santé, et que les 12 couleurs en phase électrique sont anti-biotiques, nocives, défavorables à la santé.

  • Vert –
  • Noir
  • Infra-rouge
  • Rouge
  • Orange
  • Jaune
  • Vert +
  • Bleu
  • Indigo
  • Violet
  • Ultra-Violet
  • Blanc

Pour s’assurer que quelque chose (nourriture, boisson, lieu, vêtement, objet d’art, appareil, etc.) est parfaitement pro-biotique, on vérifie au pendule que le spectre est lisse et en phase magnétique: c’est-à-dire que toutes les vibrations couleurs y sont représentées en phase magnétique.

Ondes des maladies

 Sens de rotation

Ondes guérisseuses

 Sens de rotation

Vert –

Négatif

Vert –

Positif

Noir

Négatif

Noir

Positif

Infra-Rouge

Négatif

Infra-Rouge

Positif

Rouge

Négatif

Rouge

Positif

Orange

Négatif

Orange

Positif

Jaune

Négatif

Jaune

Positif

Vert +

Négatif

Vert +

Positif

Bleu

Négatif

Bleu

Positif

Indigo

Négatif

Indigo

Positif

Violet

Négatif

Violet

Positif

Ultra-Violet

Négatif

Ultra-Violet

Positif

Blanc

Négatif

Blanc

Positif

Au pendule, la question de base est :

« Quelle est la couleur visible ou invisible en phase électrique ou magnétique de tel objet, telle personne, tel lieu? » en pendulant sur le cadran.

On peut aussi interroger chaque couleur visible ou invisible dans l’ordre donné ci-dessus.

On place sa main gauche à proximité de ce qui est à tester, on énumère les couleurs (Anti-Vert, Noir, Infra-rouge… jusqu’au Blanc) et on regarde dans quel sens tourne le pendule  :

    • négatif, à gauche, sens anti-horaire,
    • ou positif, à droite, sens horaire.

Communiqué CRIIRAD 07/04/2011

Voici le communiqué de la CRIIRAD publié hier.

Contamination de la France par les rejets de la centrale Fukushima Daiichi : quels sont les risques?

Accédez au communiqué du 07/04/2011

Voir aussi

http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon/iode_131_dose_inhalation.pdf

http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon/iode_131_dose_ingestion.pdf

Dire non au gaz de schiste

Pour faire suite à  l’article « Gasland, sortie nationale le 6 avril 2011 », le 15 avril 2011, les rapports intermédiaires d’experts seront remis au ministre de l’Environnement et au ministre de l’Industrie.

Tous les collectifs « Non au gaz de schiste » de France manifesteront les 15, 16 ou 17 avril pour s’opposer aux différents permis d’exploitation qui ont été contractés surtout à l’est et au sud de la France.

Accédez à la carte des permis et demandes de permis pour l’exploitation du gaz  de schiste carte
Accédez à la carte établie par la section « Développement durable » (c’est à se tordre de rire) du gouvernement.

Il faut agrandir la carte pour y voir quelque chose.

Signez la pétition lancée par José Bové pour dire non au gaz de schiste

J’ajoute ici un lien vers un autre blog qui identifie tous les collectifs « Non au gaz de schiste »:

http://gazschiste.wordpress.com/collectifs-stop-gazschiste/

Journées nationales pour dire stop à l’exploration et à l’exploitation du gaz de schiste et de l’huile de schiste le 15, 16 et 17 avril

A l’appel de la Coordination Nationale des Collectifs Contre le Gaz de Schiste, sur les  Permis de : Brignoles, Cahors, Montélimar, Villeneuve de Berg, le Bassin Parisien  … et tous les autres …

  • Samedi 16 Avril à MEAUX

POUR LE BASSIN PARISIEN (Ile-de-France et Régions voisines):

Rassemblement  à 15 H – Place de L’Hotel de Ville à MEAUX (Seine-et-Marne)

Informations sur http://www.stop-petrole-de-schiste77.com/?page_id=6


  • Samedi 16 Avril à DONZERE

POUR LE PERMIS DE MONTELIMAR (26)

POUR LE PERMIS DE VILLEUNEUVE DE BERG(07)

Rdv à 12h00 – Pique nique, ateliers d’informations et animations – à 14h00 – Manifestation voir Drome Donzere Affiche-16-avril

  • Vendredi 15 Avril à BRIGNOLES

POUR LE PERMIS DE BRIGNOLES (04, 06, 13, 83)

Rassemblement 14 h parking Ch. de Gaulle – Passage devant mairie 15h – Réception délégation par M. le Sous Préfet 15h30

Informations sur : http://gazdeschiste-collectif-var.over-blog.com/


  • Samedi 17 Avril à CAHORS

POUR LE PERMIS DE CAHORS  (46, 47 81, 82, 12, 19, 24 et toute la région Aquitaine Midi-Pyrénées et Limousin).

Rassemblement à 15 H, Place de Gal De Gaule

  • Samedi 16 Avril à ROUSSON (30)

POUR LE GARD

GRAND RASSEMBLEMENT : Festival stopgazdeschiste30
de 10H.00 à….tard dans la nuit

Informations (plan et affiche) sur http://www.stopgazdeschiste30.com/crbst_108.html


  • Samedi 16 avril 2011 à MARSEILLE (13)

La ville est encerclée par 5 zones de permis : permis de Provence, permis de Gargas, permis de Gardanne, permis de Brignoles, permis au large de Marseille, dans la mer,

Une manif’ originale avec derrick, cannes à pêche et pastis, autour du thème de l’eau.

  • Dimanche 17 Avril 2011 à NANT (12)

Pour les départements de l’Aveyron, Lozère, Gard et Hérault

Rendez-vous  à 12h00 sur la place de Nant.

12h : Pique-nique sur la place du village (amener vos provisions)

13h : Prises de parole

14h – 17h : Marche festive au fil de l’eau

  • Dimanche 17 avril à BLYES

POUR LES PERMIS DE LYON-ANNECY, BLYES, GEX SUD

Convergence vers Blyes – Aller à Blyes en vélo depuis Lyon, Caravane d’information dans l’Ain…..



Pétition en faveur des plantes médicinales

Pour faire suite à la pétition que de nombreuses personnes ont signé (voir l’article « Urgence : défense des plantes médicinales traditionnelles » du 16/03/2011), je viens de recevoir ce mail du Collectif pour la Protection de la Santé Naturelle.

Je le retranscris ici tel que je l’ai reçu.

Pétition en faveur des Plantes Médicinales :
l’Ouragan sur Internet

Chers amis,

  • Notre pétition contre la directive européenne sur les plantes médicinales (THMPD) a déclenché un ouragan sur Internet. Faites circuler la nouvelle version de notre vidéo, qui est à l’adresse suivante : www.defensemedecinenaturelle.eu
  • Compte tenu de la dimension européenne du problème et de vif débat suscité sur les sites francophones, nous lançons une version anglaise de la pétition. Cliquez ici pour y accéder. Ou transférez ce lien à vos contacts européens : http://savenaturalhealth.eu
  • Lisez en bas de ce courriel l’interview de Thierry Souccar sur les dangers qui pèsent sur la santé naturelle en Europe. Thierry Souccar est le fondateur du site de référence  www.lanutrition.fr, et co-auteur du best-seller « Santé, Mensonge et Propagande », aux Editions du Seuil. (Thierry Souccar publie aussi une newsletter sur les nouvelles découvertes de la santé naturelle : vous pouvez la recevoir gratuitement en cliquant ici).
  • Nous répondons ci-dessous aux fausses rumeurs qui ont suivi notre pétition. Vous pourrez constater que loin d’être une vue de l’esprit, comme certains l’ont écrit, la menace contre les plantes médicinales est bien réelle.
  • Notre but est maintenant de faire évoluer cette réglementation dans le sens d’une plus grande liberté d’accès aux plantes.
  • L’objectif est UN MILLION de signatures. Nous vous demandons donc de faire circuler le lien vers notre vidéo en français www.defensemedecinenaturelle.eu, ainsi que notre vidéo en anglais auprès de toutes les personnes que vous connaissez et qui peuvent jouer les relais dans les autres pays européens :  http://savenaturalhealth.eu

Réactions… et contestations

Notre vidéo et notre pétition ont déclenché un intense débat public, y compris des articles dans la grande presse (Le Point) et une émission à la télévision belge. Vos signatures ont d’ores et déjà obligé les autorités européennes à clarifier leur position, et notre mouvement a été l’occasion pour les différents acteurs de préciser leurs analyses.

Le danger de la directive 2004/24/CE (le nom officiel de la THMPD) étant majeur, nous avons immédiatement reçu le soutien de centaines de blogs et sites Internet, et de dizaines de milliers d’internautes qui ont relayé notre appel.

En revanche, plusieurs voix influentes ont critiqué notre action, alors que nous pensions au départ que nous pourrions compter sur leur soutien.

Nous avons été très surpris de ces réactions négatives, d’autant plus que certains ont été jusqu’à faire circuler sur Internet des messages accusant notre Collectif de n’être qu’un faux-nez de l’industrie des compléments alimentaires. Pire encore, des rumeurs ont circulé sur Internet prétendant que la THMPD ne représente AUCUN danger pour les plantes !!

Nous souhaitons répondre méthodiquement à ces accusations infondées, tout en précisant que, pour beaucoup, elles portaient plus sur la forme que sur le fond :

L’article du Point

Le magazine Le Point a publié le 29 mars un article dénonçant notre mobilisation comme une simple fausse rumeur sur Internet. A l’appui de cette violente accusation, la réaction de Frédéric Vincent, porte-parole de la Commission européenne sur les questions de santé, qui déclare, sans rougir, que « Cette rumeur relève du délire ». « Il est hors de question pour nous de retirer ces produits du marché », martelle-t-il.

Les choses sont-elles si claires ? Absolument pas, comme en témoigne la suite de l’article :

« Il y avait des autorisations délivrées sur des bases un peu légères », continue Frédéric Vincent. « La Commission a donc imaginé un système de régulation calqué sur le modèle des médicaments classiques, mais simplifié. »

Nous y voilà. Après avoir dit que l’alerte que nous diffusons « relève du délire », le fonctionnaire européen admet précisément ce que nous dénonçons : une nouvelle procédure d’agrément pour les plantes médicinales à usage thérapeutique, certes simplifiée, mais néanmoins inspirée de la procédure prévue pour les médicaments classiques, et donc coûteuse et potentiellement hors de portée pour d’innombrables petits fabricants qui n’ont pas les départements de juristes des industries pharmaceutiques.

La suite de l’article est à l’avenant.

Le journaliste écrit en toute lettre que « Aucun test sur l’efficacité ou la sécurité des herbes ne sera exigé », et qu’il suffira aux fabricants de donner « des preuves que le produit a été utilisé à but médical pendant les trente dernières années, dont au moins quinze ans au sein de l’Union européenne ».

Mais d’une part, rien n’indique que réunir de telles preuves sera si simple que cela. Pour de nombreux fabricants artisanaux, monter de tels dossiers pourrait bien se révéler hors de portée, et c’est justement ce que nous dénonçons.

D’autre part, et c’est bien plus grave, le journaliste, qui vient d’affirmer que « aucun test d’efficacité ne sera exigé » conclut son paragraphe sur une déclaration du même fonctionnaire européen, Frédéric Vincent, qui affirme, goguenard : « Ceux qui n’ont rien fait paniquent. Il leur suffit pourtant de prouver que leurs herbes ont une efficacité. » (Source)

Il faudrait savoir ! Les fabricants devront-ils ou non apporter des « preuves », au sens où on l’entend pour les médicaments, de l’efficacité des plantes médicinales ?

Comment, dans ces conditions, nous accuser de « fausse rumeur », alors que le porte-parole de la Commission européenne, confirme exactement ce que nous dénonçons : la nouvelle procédure européenne obligera les petits fabricants à « prouver l’efficacité » de tous les remèdes utilisés à base de plantes, avec les coûts, les délais, et les tracasseries administratives que cela implique.

D’autres critiques, plus sérieuses, ont émergé de part et d’autre.

La position de Thierry Thévenin,
président du syndicat SIMPLES (artisans herboristes)

Le Président du syndicat d’herboristes SIMPLES, Thierry Thévenin, que nous citions dans notre vidéo, a lui aussi dénoncé notre pétition comme de la « propagande ».

Mais le problème, c’est qu’il faut lire la suite de ce qu’a écrit Thierry Thévenin. Certes, il écrit que notre texte accumule « raccourcis et effets d’annonce chocs ».

Mais juste après, Thierry Thévenin écrit :

« Cet appel présente toutefois le mérite de soulever et de porter au débat public la question du développement inquiétant (voire terrifiant) de l’arsenal des normes, des experts, des homologations qui aboutit au verrouillage et au contrôle du secteur des plantes médicinales, des médecines complémentaires et de l’herboristerie, comme d’ailleurs celui de presque tous les autres secteurs de notre civilisation. » (Source)

Ailleurs sur le site, il écrit que :

« [Cet appel] a le mérite de mettre en lumière un phénomène bien réel et inquiétant : l’inflation galopante des outils et des procédures réglementaires qui, sous le louable prétexte de protéger le public, le déresponsabilisent et l’assujettissent progressivement aux rares groupes de pression ou d’intérêt – groupes de lobbying – (industriels, distributeurs, médias,…) qui sont suffisamment organisés et puissants pour avoir les moyens de décrypter, analyser, orienter ces mesures ou même plus simplement d’exister légalement en passant à travers le crible de ces dispositions juridiques d’une incroyable complexité. Si vous en doutez ou si voulez simplement mesurer cette complexité, allez explorer l’adresse suivante:
http://ec.europa.eu/health/human-use/herbal-medicines/index_en.htm »(Source)

Nous sommes donc d’accord sur le fond avec Thierry Thévenin. Sous couvert d’assurer « notre sécurité », de nouvelles directives liberticides sont mises en oeuvre par l’Administration sous la pression de lobbys, et c’est exactement ce que nous dénonçons, une nouvelle fois.

Cette nouvelle réglementation européenne est tout sauf un fantasme ; le processus d’étouffement des médecines complémentaires est en cours, et ne fera que s’accélerer si les citoyens ne se mobilisent pas.

Il est plus qu’urgent aujourd’hui d’opposer un front uni à « l’inflation galopante des outils réglementaires » dénoncée par Thierry Thévenin, qui porte atteinte à nos libertés les plus fondamentales, à commencer par notre liberté de nous soigner autrement.

Il est plus urgent que jamais de poursuivre notre mouvement, et de lui donner une ampleur européenne. Merci de continuer à faire circuler notre vidéo (nouvelle version) : www.defensemedecinenaturelle.eu

Une autre critique

Une autre critique, reprise par plusieurs commentateurs, a consisté à nous reprocher de dénoncer une directive entrant en application le 30 avril 2011, alors qu’elle a en réalité été votée dès 2004, et que les fabricants ont donc eu sept années pour « se mettre aux normes ».

Sur un plan strictement juridique, nous faisons notre mea culpa : Au lieu d’écrire, « une nouvelle directive entrera en application le tant », nous aurions dû écrire : « une directive de 2004 entrera en vigueur de plein droit le tant ». Nous avons changé notre vidéo en ce sens.

Cependant, sur le principe, nous ne retirons pas un cheveu à ce que nous dénonçons :

La Commission Européenne nous dit : « attention, nous allons vous imposer de nouvelles restrictions. Mais ne vous plaignez pas, vous avez un délai pour vous préparer. » Pour nous, le fait qu’il s’agisse d’une directive entrant en application en plusieurs étapes n’enlève rien à son caractère abusif.

Le syndicat des fabricants de compléments alimentaires

Enfin, nous voulons aussi répondre aux propos du syndicat des fabricants de compléments alimentaires Synadiet, repris aussi par certains blogs.

Selon eux, cette directive européenne, dans la mesure où elle offrirait un cadre juridique simplifié aux plantes médicinales, ne change rien par rapport à la législation française en application jusqu’à présent, et pourrait même leur être favorable.

Pour le Synadiet, « le seul impact que pourrait avoir cette directive 2004/24/CE concerne les produits de médecine chinoise et indienne ».

Outre que, selon nous, la médecine chinoise et la médecine indienne peuvent difficilement être considérées comme une simple épiphénomène de la médecine par les plantes, il nous semble utile de rappeler que la législation française est, justement, extrêmement pointilleuse et restrictive sur le sujet de la médecine naturelle, et que le fait que l’Europe entérine cette législation justifie nos craintes et le mouvement de dénonciation que nous avons souhaité initier.

La raison en est simple, et c’est une question de principe : au lieu d’interdire la vente de remèdes à base de plantes dont la dangerosité et la toxicité ont été prouvées, ce qui serait évidemment souhaitable et parfaitement légitime, l’administration française a pris historiquement le parti d’interdire toutes les plantes qu’elle n’avait pas explicitement autorisées.

Le résultat est connu : sur des dizaines de milliers de plantes médicinales existant dans le monde entier, donc plus de 1500 en France métropolitaine seulement, selon le Professeur Fournier, seules 34 – oui, trente-quatre ! – ont été autorisées en France jusqu’au début des années 2000.

Avec l’Union Européenne, on a observé un léger frémissement, le nombre de plantes autorisées passant à 148, en dix ans.

Il n’en reste pas moins que, à ce rythme, et avec les coûts que cela induit pour les fabricants, les citoyens européens seront, durant des décennies, privés de milliers de plantes médicinales, et ce par le fait de la directive, la THMPD, que nous jugeons donc arbitraire, et que nous souhaitons dénoncer.

Nous avons besoin de vous

Plus que jamais, nous voulons nous mobiliser, et continuer à mobiliser, les citoyens autour de nous, pour amender la directive THMPD et, si possible, la supprimer.

Après l’onde de choc que nous avons provoquée à la Commission Européenne par notre seule pétition en français, il est clair que nous pouvons engager un vrai bras de fer si notre mouvement s’étend.

Alors merci de continuer à faire circuler notre pétition www.defensemedecinenaturelle.eu, et de faire connaître à tout votre entourage européen l’existence de notre vidéo en anglais : http://savenaturalhealth.eu

Enfin, pour les personnes qui souhaitent aller plus loin sur le sujet de la THMPD, nous avons décidé de donner la parole à un expert incontesté du sujet, Thierry Souccar, co-auteur avec l’avocate Isabelle Robard du best-seller « Santé, Mensonge et Propagande » (éditions du Seuil).

Dans l’interview exclusive ci-dessous, Thierry Souccar fait le point sur les dangers qui pèsent aujourd’hui sur la médecine naturelle en Europe.

Avec tous nos remerciements de votre mobilisation.

Augustin de Livois
Pour le Collectif pour la Protection de la Santé Naturelle
Trois questions à Thierry Souccar

Thierry Souccar, vous êtes co-auteur du best-seller « Santé, Mensonges et Propagande » (Editions du Seuil) qui dénonce notamment les excès des réglementations sur les compléments alimentaires. Que pensez-vous de cette campagne contre la directive THMPD ?

Thierry Souccar. Il faut d’abord dire ce qu’est cette directive européenne. Elle a été prise en 2004, pour une application en 2011, et elle poursuivait deux objectifs : donner un cadre règlementaire aux plantes médicinales traditionnelles sans usage médicinal bien établi mais dont l’usage est traditionnel depuis au moins 30 ans dans la communauté (ou 15 ans dans un pays tiers), et assurer au consommateur une sécurité d’utilisation. Par rapport aux médicaments, les formalités d’enregistrement sont allégées puisqu’il suffit de déposer un dossier reposant sur la démonstration d’un usage traditionnel pour l’indication retenue et attestant de la qualité des procédés de fabrication. Il est possible, en étant optimiste, qu’en offrant un cadre législatif aux plantes médicinales, elle en facilite l’usage, notamment en France. Malgré tout, l’émoi suscité par la date butoir d’avril 2011 et la campagne qui a suivi est légitime. Tout d’abord, les fabricants qui ne se sont pas mis en conformité ne pourront pas continuer à commercialiser leurs plantes, donc le consommateur craint à juste titre d’avoir des difficultés à se procurer ses plantes habituelles, au moins momentanément, et il ne l’accepte pas. Ensuite, certains reprochent à la directive de favoriser les plantes européennes, et dans une moindre mesure chinoises et indiennes (ayurvédiques) au détriment des centaines ou de milliers de plantes « exotiques » africaines ou américaines ou d’Océanie. Enfin, il y a le coût d’enregistrement, qui varie considérablement d’un pays à l’autre. On craint une course à l’armement, de plus en plus lourde, de plus en plus contraignante, de plus en plus coûteuse qui ne profite qu’aux grosses structures. On aurait pu imaginer une procédure plus simple, sur la base de monographies mises à disposition par l’Europe, assorties d’un coût d’enregistrement réduit, par exemple quelques dizaines d’euros comme c’est d’ailleurs le cas en république tchèque.

L’approche adoptée par la Commission européenne pour encadrer l’utilisation des médicaments est-elle une menace pour la liberté thérapeutique ?
Tout d’abord s’agissant de santé, la priorité est évidemment d’être extrêmement vigilant. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin de règles, de contrôles et d’une administration capable de les exercer avec mesure et équité. Jusqu’ici, en matière de libertés thérapeutiques, l’Europe a joué un rôle positif ; elle a servi de rempart contre les débordements d’administrations nationales qui sont, comme en France, souvent hostiles aux médecines complémentaires. Par exemple, l’utilisation dans les compléments alimentaires des plantes médicinales inscrites à la Pharmacopée était bien plus limitée en France que dans la majorité des autres états membres de l’Union Européenne. Or, grâce à l’Europe, depuis 2008 un décret a fait passer de 34 à 148 les plantes qui ne relèvent plus du monopole de distribution pharmaceutique. C’est insuffisant, mais c’est mieux. Par ailleurs, le cadre juridique mis en place au niveau européen a permis à des fabricants et des thérapeutes de gagner des procès face à l’administration française, et la France a aussi été condamnée à de maintes reprises par la Cour européenne de justice pour abus de droit et non respect des règles européennes, de libre circulation par exemple. A nous tous de faire en sorte que l’Europe reste cet espace de liberté et surtout qu’elle l’élargisse. Nous devons par exemple exiger plus de transparence de l’Agence européenne du médicament, qui est traversée par les mêmes conflits d’intérêt que ceux mis à jour à l’Afssaps. Nous devons amener Bruxelles à élargir le périmètre des allégations, des substances et des doses autorisées dans les compléments alimentaires. Nous devons avoir cette même démarche d’élargissement pour les plantes médicinales d’usage traditionnel et pour d’autres pratiques complémentaires comme la naturopathie ou la médecine chinoise. Nous devons aussi veiller à ce que l’arsenal règlementaire reste raisonnable.

Quels sont les principaux dangers, selon vous, qui pèsent actuellement sur les médecines naturelles, en Europe ?
En ce qui nous concerne, nous Français, les principaux freins viennent de notre administration nationale qui est, comme je l’ai déjà dit, traditionnellement hostile aux compléments alimentaires, hostile à la libération des plantes qui relevaient ou relèvent du monopole pharmaceutique, hostile à la naturopathie, à la médecine chinoise etc. La réglementation prise au niveau européen oblige la France à desserrer son étau, mais l’Europe est encore très perméable aux exigences des Etats-nations. Certains de ces états qui ont une vision extrêmement restrictive des médecines naturelles exercent une influence sur la règlementation. Par exemple, dans le cas des compléments alimentaires on sait que la France a tout fait pour limiter la portée des mesures prises au niveau européen. Il est donc nécessaire d’exercer un véritable contre-pouvoir au niveau des instances qui discutent de ces règlements touchant aux médecines naturelles pour permettre l’accès à des substances ou des pratiques de santé qui ont prouvé leur intérêt, mais qui restent aujourd’hui inaccessibles aux Européens, quand elles ne sont pas purement et simplement illicites.

Thierry Souccar diffuse par courrier électronique des informations gratuites sur les nouvelles découvertes de la médecine naturelle et de la nutrition. Pour vous inscrire vous aussi, cliquez ici

******************

Ce email vous est envoyé par le Collectif pour la Protection de la Santé Naturelle.

Pour nous écrire : contact@defensemedecinenaturelle.eu

Pour nous envoyer de la documentation par courrier, merci de vous adresser à :

Collectif pour la Protection de la Santé Naturelle
253A Chaussée de Wavre
1050 BRUXELLES – BELGIQUE