Les bactéries du permafrost désignent des micro-organismes qui ont été emprisonnés dans le permafrost, une couche de sol gelé en permanence, souvent pendant des milliers, voire des millions d’années. Le permafrost est principalement présent dans les régions arctiques, telles que la Sibérie, l’Alaska, le Canada et le Groenland et, selon moi, partout où il y a des glaciers qui fondent. Cela peut paraître un phénomène lointain, mais sur notre territoire, à Chamonix par exemple, il y a un glacier qui fond. Et au fur et à mesure de cette fonte, des bactéries ressurgissent. Leur potentiel pathogène et les risques pour la santé publique sont réels.
Le Nouvel Obs a publié des photos parlantes de la fonte de la célèbre Mer de Glace du type avant-après, si le sujet t’intéresse.
Plusieurs scientifiques qui se sont emparés du sujet des bactéries du Permafrost, en particulier en ce qui concerne leur impact potentiel sur la santé humaine. Voici quelques-uns des chercheurs et équipes notables dans ce domaine :
⭐Jean-Michel Claverie et Chantal Abergel de l'Université Aix-Marseille. Ce couple de virologistes est célèbre pour avoir découvert des virus géants dans le permafrost sibérien, comme le virus Mollivirus sibericum et le Pithovirus sibericum.
⭐le Pr Didier Raoult de l'Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection. Il a montré un intérêt pour les micro-organismes anciens, y compris ceux du permafrost, et leurs implications pour les maladies infectieuses modernes.
⭐Rick Cavicchioli de New South WalesUniversity , Australie. Ce microbiologiste a étudié les microorganismes dans des environnements extrêmes, y compris le permafrost.
⭐Edward O. Wilson de Harvard University, États-Unis. Principalement connu pour ses travaux sur la biodiversité et la sociobiologie, Wilson a exprimé des préoccupations sur les dangers posés par les micro-organismes anciens libérés par la fonte du permafrost, en particulier dans le cadre de la biodiversité et de l'écologie.
⭐Boris Revich du Russian Academy of Sciences, Russie. Il a étudié les impacts sanitaires potentiels du dégel du permafrost en Russie, y compris la libération de bactéries et d'autres pathogènes qui pourraient représenter un risque pour la santé publique, particulièrement dans les populations locales du Nord de la Russie.
⭐Scott Rogers de la Bowling Green State University, États-Unis. Il a étudié la conservation de micro-organismes dans des environnements extrêmes comme le permafrost et les glaciers, y compris comment ces microbes pourraient être réactivés par la fonte et avoir un impact potentiel sur la santé humaine et animale.
Inconnues au bataillon
Ces bactéries ont une résilience extrême : elles ont survécu dans des conditions extrêmement froides, souvent en dessous de -10°C. Elles possèdent des mécanismes biologiques qui leur permettent de résister aux conditions gelées, au manque de nutriments, et à une faible activité biologique.
Elles sont très anciennes. Certaines de ces bactéries sont restées en dormance pendant des périodes très longues. Par exemple, des bactéries retrouvées dans le permafrost sibérien pourraient avoir plusieurs centaines de milliers d’années.
Il est théoriquement possible que des bactéries pathogènes, responsables de maladies anciennes et potentiellement disparues, soient réactivées en sortant du permafrost.
Les bactéries libérées pourraient perturber les écosystèmes actuels, soit par leur activité biologique, soit par la concurrence avec les micro-organismes existants.
On peut aussi s’imaginer qu’elles passent totalement incognito auprès de notre système de défense immunitaire. En effet, malgré la mémoire ancestrale dont il dispose, notre système immunitaire ne les ayant jamais rencontrées auparavant, pourrait très bien les laisser passer, ne les reconnaissant pas comme pathogènes.
Un mal de chien
Pour illustrer mon propos, je vais te raconter une tranche de ma vie estivale. En mai, j’ai commencé à avoir très mal au genou gauche. Il est vrai que ce genou a été blessé il y a quelques années par une rupture de ligament croisé antérieur, survenue lors d’une chute à ski en pleine tempête de neige. Mes skis étaient très mal réglés. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le ski, on règle les skis en fonction du poids et du niveau de compétence du skieur afin de pouvoir déchausser en cas de chute. Donc mes skis étaient réglés pour 75kg, et je n’ai jamais déchaussé! Aïe, aïe, aïe! Mon genou a sacrément morflé!
Bref, nous sommes en mai, et j’ai mal au genou, alors qu’il ne s’était pas manifesté depuis quelques années. Au début, j’attribue cette douleur aux travaux de décrottage des murs en moellons de ma maison recouverts de ciment, aux nombreuses heures passées à manier le burineur et charrier des tonnes de gravats. Mais le temps passe, nous sommes mi-juin, les travaux sont loin derrière moi, et mon genou est toujours douloureux. Je me fais des emplâtres d’argile verte, je me masse avec des baumes pour les articulations. Mais rien n’y fait.
Les Permafrost, le dada de l’IGA
En juillet, la situation empire. Je me mets à boiter. Par chance, je croise le chemin d’un collègue de Marseille de l’Institut de Géobiophysique Appliquée (IGA) qui m’interpelle aux sujets des bactéries, virus et parasites du Permafrost.
Les Permafrost sont un des grands sujets de l’IGA. Dans la même veine que les borrélioses, on a remarqué que, très largement situées dans le cerveau et le système nerveux, elles ont la capacité à créer des dégâts un peu partout.
Avant j’en trouvais quasi systématiquement à chaque consultation mais, depuis quelque temps, je n’en trouve plus du tout. Ce collèque me dit alors: « C’est normal car tu en as sur toi! Et cela t’empêche de capter l’information sur les autres ».
La magie de l’IGA
Le soir même, je saisis mon pendule. Je cherche. Et je trouve effectivement 1 virus et 2 bactéries du Permafrost. Je note le repère auquel je les ai captés à l’antenne de Lecher. Et fidèle aux méthodes de l’IGA, je prends mon cristal C8. Je me mets en contact avec le champ du point zéro et les relais d’informations et j’ordonne la destruction de la structure atomique et l’informationnelle de ces bestioles. J’ordonne aussi la cicatrisation des lésions et micro-lésions engendrées par les dites bestioles et je vais me coucher.
Le lendemain, la douleur a quasiment disparu et, au bout de 3 jours, je ne boite plus du tout. Aujourd’hui, tout cela me semble de l’histoire ancienne! Mais je reste toujours étonnée et bluffée de l’immédiateté des résultats que l’on peut obtenir avec les outils de l’IGA.
Et ce qui est encore plus appréciable, c’est que maintenant que je ne suis plus parasitée par ces bestioles, j’ai retrouvé ma capacité à les ressentir, c’est-à-dire les détecter au pendule ou à l’antenne de Lecher. Et c’est tant mieux pour mes clients!!!
Merci beaucoup. Votre article est très intéressant !
Des douleurs lombaires persistantes et invalidantes pourraient-elles avoir été causées par de tels virus ou bactéries ?
Bonjour Dominique,
Je ne sais pas… Il faut faire une séance d’harmonisation IGA et chercher car ces douleurs peuvent provenir de multiples causes. Ça peut être des disques abîmés. Ça peut être une Lyme. Ça peut être des bactéries persistantes dans l’intestin. Ça peut être beaucoup de choses. Et tant qu’on ne teste pas, on ne peut pas savoir. Et donc on ne peut pas agir.
Si tu habites loin de La Rochelle, je consulte en visio-consultation.
Bien à toi,
Agnès B.
Merci Agnès pour ta réponse.
Oui effectivement, une séance d’harmonisation IGA me permettrait peut-être d’y voir plus clair. Comme j’habite loin de La Rochelle, il faudrait que ce soit en visio. Que dois-je faire ? Sur ton site, plusieurs possibilités de soins sont proposées, laquelle dois-je choisir ?
Bien à toi
Dominique G
Bonjour Dominique,
Tu as 2 possibilités:
– en direct en visio-consultation : tu assistes à la séance
https://geobiologie-sante.com/boutique/sante/seance-harmonisation-iga/
– ou sur photo et à ce moment là tu n’assistes pas à la séance et je t’adresse les traces écrites du travail effectué.
https://geobiologie-sante.com/boutique/sante/harmonisation-iga-sur-photo/
En ce qui me concerne, je préfère nettement être en direct. Un minimum de contact et de feed_back, c’est bien agréable!
Bien à toi,
Agnès B.
Merci Agnès. C’est aussi ce que je pense. Je vais m’inscrire pour la séance en visio. J’ai juste un petit doute. Je n’ai pas Skype (et n’arrive pas à le télécharger sur mon ordinateur). Comment peut-on faire pour la visio ?
Bien à toi
Dominique G
J’utilise le terme Skype en tant que générique. La visio aura lieu via Googlemeet.
Bien à toi,
Agnès B.
Merci Agnès pour cet article. Très intéressant…
Très bon article. Merci beaucoup pour les infos.
Belle journée.