Sainte Lucie, le féminin sacrifié

En cette période sombre, nous avons besoin de nous tourner vers la Lumière. Il nous faut même l’appeler de toutes nos forces.

Sainte Lucie avec ses yeux sur un plateau

Et puisque nous sommes le 13 décembre, jour de la Sainte Lucie et fête la lumière, j’ai fait quelques recherches sur l’origine de cette fête chrétienne et je tenais à  partager mes découvertes.

La légende de Sainte Lucie est associée à une vierge de noble famille nommée Lucie. Elle est née à Syracuse en Sicile au IIIe siècle et morte en martyr un 13 décembre entre 303 et 310 ap. JC. La Sicile est alors une province de l’Empire romain. Les détails de sa vie varient selon les sources. Et sa légende se déclinent en plusieurs versions.

Sainte Lucie et la Légende Dorée

Une de ces versions est parvenue jusqu’à nous grâce à la plume de Jacques de Voragine. Il est l’auteur de la Légende dorée, rédigée entre 1250 et 1280. Ce livre narre la vie de plusieurs centaines de saints et certains événements de la vie de la Vierge et du Christ. M. de Voragine s’est inspiré des célèbres textes classiques de la littérature religieuse du Moyen Âge comme les évangiles apocryphes ou les œuvres des Pères de l’Église tel saint Augustin ou encore saint Jérôme. 

Mais revenons à Sainte Lucie. Je te résume l’histoire. Lucie est une jeune fille vierge issue d’une famille noble et chrétienne. Un jour, elle se rend sur le tombeau de Sainte Agathe avec sa mère, malade depuis plusieurs années. Elle reçoit un message de Sainte Agathe : «Ma sœur Lucie, vierge consacrée à Dieu, pourquoi me demandes-tu une chose que tu peux toi-même accorder sur-le-champ à ta mère ? Vois, ta foi l’a guérie ! ».

Le miracle de la guérison de sa mère la conforte encore plus dans son choix de consacrer sa vie au service de Dieu. Elle demande donc à sa mère de la délier de ses fiançailles et de distribuer sa dot aux pauvres.

Le martyre de Sainte Lucie

Mais, voilà! Le fiancé est furieux. Privé de la fortune et du corps de sa promise, il dénonce Lucie auprès du consul de Syracuse, Paschase. En tant que chrétienne, elle n’obéit pas aux lois impériales de Dioclétien. L’empereur est en effet farouchement opposé à cette religion émergente. Il mène une politique de discrimination et de persécution à l’égard des chrétiens.

Le consul ordonne donc l’arrestation de Lucie. Il la condamne à subir les assauts de tous les mâles de la ville dans un lupanar « jusqu’à ce que mort s’ensuive ». Ces pratiques semblent courantes à l’époque : Sainte Agathe a subi le même sort, quelques 50 ans plus tôt à la demande de Quintien, le proconsul de Sicile. Tiens! Cela me rappelle la tristement célèbre île Saint James de Jeffrey Epstein…

Mais un miracle se produit et le corps de Lucie devient inamovible. Le consul ordonne alors qu’elle soit brûlée vive. Mais le feu ne la touche pas. Débordant d’une imagination cruelle, il opte ensuite pour l’aspersion à l’urine, l’huile bouillante, la poix, la résine. En vain! Toutes ces tentatives pour la tuer échouent. En dernier recours, on lui transperce la gorge avec une épée.

Selon Voragine, elle n’en perd pour autant pas la parole et prononce ses derniers mots : « Je vous annonce que la paix est rendue à l’Église! Aujourd’hui même, Maximien est mort et Dioclétien a été chassé du trône. Et de même que Dieu a accordé pour protectrice à la ville de Catane ma sœur Agathe, de même il vient de m’autoriser à être auprès de lui la protectrice de la ville de Syracuse. » Et elle rend l’âme après avoir reçu la sainte communion des prêtres.

Anonyme - Le martyre de sainte Lucie. Un bourreau lui transperce la gorge avec une épée

Sainte Lucie et la lumière

On lit, dans une autre version de la légende, que lorsque Lucie demande à son fiancé pourquoi il tient tant à elle, il lui répond: « Vos yeux ». C’est alors que la jeune fille s’arrache les yeux pour les lui offrir.  La vierge Marie intervient : elle rend la vue à Lucie et lui donne des yeux encore plus beaux ! Et un autre récit raconte qu’elle remet ses yeux en place elle-même après que ses bourreaux les lui ont arrachés!

Sainte Lucie, douée de seconde vue

C’est pourquoi Sainte Lucie est devenue la sainte patronne de la vue, des aveugles, des mal-voyants, des opticiens et des ophtalmo. A quoi servent les yeux? A voir? Eh, bien, pas tout à fait.

Les yeux permettent de laisser passer des rayons lumineux jusqu’à la rétine qui les transforme en signaux électriques. Ceux-ci transitent par le nerf optique jusqu’au cerveau qui les interprètent, en fonction de notre mémoire et de nos expériences, pour les convertir en images.

Lucie est reliée à la lumière d’en haut, peut-être du Très Haut. L’arrachement des yeux, choisi ou subi, et la vue retrouvée illustrent bien la nécessité de changer radicalement de regard pour se connecter à une autre lumière. Plusieurs images pieuses la montrent avec deux paires d’yeux.

Douée de seconde vue, Lucie devient lucide, et même extra-lucide. Elle voit clair parce qu’elle est connectée à son âme, à son soi supérieur. Cela lui permet de voir le monde et les horreurs qui lui sont infligées à partir de ce point de vue élevé. Elle triomphe malgré la mort (l’âme hors)  : elle annonce la mort de Maximien et la chute de Dioclétien. Et, à travers elle,  triomphe Celui qu’elle a épousé toute sa vie. « Car c’est à Toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire. »

La lumière imprègne toute la légende de Sainte Lucie. Depuis son nom qui dérive du latin « lux » jusqu’à la couronne de bougies qu’elle porte afin d’avoir les mains libres et porter secours, la nuit, aux chrétiens persécutés dans les catacombes . Ce qui fait d’elle la patronne des électriciens, en lien à l’élément feu d’où provient l’électricité et la lumière.

Sainte Lucie et sa couronne de bougies

Les révélations d’un dicton

Un dicton associé à la sainte énonce que: « A la Sainte-Luce, les jours croissent du saut d’une puce ».

Et là, ça devient intéressant. En effet, pourquoi célèbrerait-on cette croissance de la lumière le 13 alors que le solstice d’hiver oscille, selon les années, entre le 19, 20, 21, 22 ou 23  décembre et que le jour ne commence à croître qu’après? Bizarre, non!

D’ailleurs, savez-vous comment l’on détermine la date du solstice?  Le solstice d’hiver a lieu à l’instant où la longitude apparente géocentrique du Soleil est égale à 270°. Et ce moment est calculé par l’IMCCE, Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides. L’IMCCE a établi un calendrier très précis du rythme cosmique de 1582 à 2999. Voilà des gens qui voient loin!

Comme le souligne Danièle Uriot dans un article consacré au dicton, ce proverbe est particulièrement intéressant par l’erreur qu’il contient. Les jours ne commencent réellement à croître qu’après le solstice d’hiver. En l’occurrence, il faut attendre le 28 décembre pour  regagner enfin une minute de lumière solaire par jour.

En effet, si l’on regarde attentivement les éphémérides, on remarque qu’après le 13 décembre, la durée du jour continue bien de décroître jusqu’au 16 décembre. Et à compter du 17, l’heure du coucher arrête sa course à reculons. Le soleil se couche une minute plus tard chaque jour tandis qu’il se lève aussi une minute plus tard, et ce jusque début janvier. Ce phénomène de 0 gain et 0 perte a lieu du 17 au 27.

Le casse-tête des calendriers julien et grégorien

Alors pourquoi est-ce que je vous parle de tout cela? Parce qu’il y a  quelque chose qui cloche. Le phénomène décrit par le dicton n’a pas lieu à cette date mais plus tard, c’est-à-dire au solstice.

Mais en 1582, il s’est produit un bouleversement. En effet, le pape Grégoire XIII décrète une grande réforme du calendrier. En octobre 1582, le jeudi sera immédiatement suivi du vendredi . on gomme ainsi  10 jours afin de rattraper 16 siècles d’erreurs entre le mouvement du soleil et les calculs humains. Ce nouveau calendrier se nomme calendrier grégorien. Nous l’utilisons toujours aujourd’hui. Et il est venu remplacer le calendrier julien.

Cela est très intéressant car on peut en déduire que, avant l’application du calendrier grégorien en 1582, le 13 décembre correspondait astronomiquement au 23 décembre aujourd’hui, et donc au solstice.

Ainsi, même si elle est parvenue jusqu’à nous et qu’on la célèbre encore dans de nombreux pays, Sainte Lucie a été évincée de sa place au solstice.

A l’image de ce qui se passe  depuis très longtemps, la célébration du féminin n’est pas à l’ordre du jour dans notre monde. Et pourtant nous savons tous, sans oser nous l’avouer peut-être, que ce retournement intérieur vers notre féminin (que l’on soit un homme ou une femme) comme l’appelle Annick de Souzenelle est un passage obligé pour l’évolution individuelle et collective de notre humanité.

Alors, si tu souhaites te préparer à ce passage, je t’invite à  lire Le Féminin de l’Etre d’Annick de Souzenelle.

Bonne Sainte Lucie et bonne fête de la lumière qui revient bientôt!

 

Vivre avec l’électrosmog, nouveau livre d’Hèlène Bernet

Le nouveau livre d’Hèlène Bernet, « Vivre avec l’électrosmog », est enfin disponible.

Hélène Bernet était électrosensible : elle raconte comment elle l’est devenue, comment elle s’en est sortie et comment les électrosensibles peuvent guérir. Car on peut guérir de l’électrosensibilité.

Sous format numérique depuis fin 2011 aux Editions Arbre d’Or : http://www.arbredor.com/vmchk/vivre-avec-l-electrosmog

Sous format papier, sa publication est prévue pour le mois de février mais ne sera disponible en librairie qu’à compter du mois de mai.

Pour celles et ceux qui habitent la région parisienne, je vais en avoir quelques exemplaires à vendre à compter de la mi-février . Le tarif devrait être de 17,00€. Si cela vous intéresse, merci de prendre contact avec moi à cette adresse :

geobiologie-sante@live.fr

Flyer Vivre avec l’Electrosmog

Essai de radiesthésie vibratoire par L. Chaumery et A. de Bélizal

Vous êtes peut-être comme moi : vous auriez bien aimé lire cet ouvrage épuisé de MM. L. Chaumery et A. de Bélizal « Essai de radiesthésie vibratoire » que l’on trouve parfois en vente à un prix exorbitant. La première édition date de 1956 (Editions Dangles).

Je revisite cet article en 2023 et le livre a été réédité depuis. Fantastique!

Cliquez sur l’image et vous accéderez à l’édition de 1976.

Si vous n’aimez pas cette édition, vous pouvez aussi le lire chez google en cliquant ici. Mais le téléchargement est payant.

A force de chercher, je l’ai aussi trouvé sur un site super sympa  : www.labirintoermetico.com. Il fourmille de documents. C’est sur ce site que j’ai téléchargé la version que je vous propose.

Cliquez sur l’image du livre. Bonne lecture!

Le SCAP, selon Jacques La Maya

Extrait de La Médecine de l’Habitat, pp.242-247

« LE SYMBOLE COMPENSATEUR

Dans la revue M.I.R, M. André Philippe (chercheur infatigable et homme de bien) a parlé du symbole compensateur qu’il avait trouvé et que, comme tant d’autres, nous avons fait connaître à de nombreuses personnes en difficultés. Pour simplifier, nous l’avons appelé le S.C.A.P. puisqu’il a beaucoup fait parler de lui en des sens très divers, sinon divergents…

Principe : étudiant les nombres bénéfiques, le pouvoir des chiffres et de leurs symboles (une fois traduits en configuration graphiques), A. Philippe en est arrivé au nombre 2,33 (7 divisé par 3). Il est facile à rendre sous forme graphique. Ce S.C.A.P. avait une puissance considérable de compensation, disait-il, et, dès lors, on peut l’utiliser de différentes façons comme moyen de protection personnelle, ménagère et pour une habitation. Cela demande explication car ce n’est pas évident à première vue.

Protections personnelle ? Oui, et surtout pour ceux qui sont exposés à des rayonnements puissants (centrales électriques, stations radio et tv, personnel des sous-marins atomiques, etc). On est saturé, en ces lieux, de V-e et N-e. Le S.C.A.P. est tracé sur une carte blanche qui est portée sur soi, d’où une zone de protection réelle. On peut en faire des bijoux, des médailles, pendentifs, plaques pectorales.

Protection ménagère ? Oui : l’eau du robinet est chargée en V-e car il y a des câbles électriques dans le sol (ils sont parallèles à ceux des conduites d’eau potable !), d’où aliments chargés de V-e. Pour l’eau des chaudières, idem, les radiateurs émettent aussi ce V-e et le N-e dans toute la maison…

Un rectangle de bois (7 sur 20) sur lequel on grave le S.C.A.P. au stylo feutre est placé sur un seul radiateur. Il fait disparaître les radiations nocives. Cela joue également pour l’eau et, qui plus est, pour tout l’immeuble. On procède de la même façon pour le réfrigérateur, le congélateur et la moulinette (qui tourne dans le mauvais sens – le sens anti-horaire – et qui émet donc son V-e à plein gaz…).

Habitation ? Oui : de nombreux tests à distance sur plan, puis sur place, ont été faits avec succès quant au pouvoir de compensation, y compris pour les cas d’humidité massive due à la présence d’un rayonnement « rouge électrique ». En cours d’essai dans un habitat particulièrement malsain, A. Philippe a pu constater que le S.C.A.P. placé dans le symbole solaire était encore plus efficace et ce quasi instantanément !

Autres utilisations diverses : on s’en est servi avec succès pour machines agricoles (ou autres) tournant antihoraire (donc V-e), ordinateurs en tout genre, locomotives électriques, tous appareils électroménagers tournant dans le sens anti-horaire, armoires à pharmacie familiale, véhicules de toutes catégories, chauffages électriques, etc. Cette liste n’est pas limitative ; on peut aussi charger l’eau et les aliments. Si le S.C.A.P. est bénéfique, il n’y a pas de raison d’en limiter l’usage et on s’en est rendu compte expérimentalement. Peu à peu, le graphisme a évolué pour le rendre toujours plus performant (voir les variantes successives). A. Philippe a mis en garde ses lecteurs contre tout projet de recherche et d’essai comportant sur les nombres, car on peut tomber, dit-il, sur des nombres qui empoisonneraient l’ambiance et pourraient même attaquer le sujet expérimentateur, nuire à sa santé et mettre sa vie en danger. A première vue il peut sembler étrange que quelques traits rectilignes sur une simple feuille de papier aient un tel pouvoir (bénéfique ou maléfique selon les cas). Mais il nous a été donné d’entendre certaines confidences d’utilisateurs du S.C.A.P. (en variantes diverses) et nous devons en résumer sommairement l’essentiel car il y a eu controverse sur certains points. Tout à fait indépendamment de celle-ci, et on a eu aussi des preuves de la puissance opérative des symboles, même si le symbole agit dans un sens non désirable…

Controverses : certains utilisateurs ont trouvé que le S.C.A.P. bloquait les radiations nocives comme on s’y attendait, mais qu’il pouvait également les stocker et les réémettre ensuite en masse, ce qui est fâcheux bien sûr, et crée un doute assez alarmant. Voir, en fin de la présente étude, les conditions à remplir par le compensateur idéal (symbole ou autre principe de travail anti-O.N.). Les avis sont partagés car, en dehors de tout point de vue technique, le S.C.A.P. dérange puisqu’il est gratuit et fabriqué (ou reproduit) avec la plus grande facilité. Nous n’entrerons pas en lice pour ou contre qui ou quoi que ce soit à ce sujet et nous renouvelons l’expression de notre vive estime à A. Philippe, expérimentateur hors pair, homme désintéressé et sincèrement dévoué face à toute personne en détresse qui lui lance un appel au secours.

Une chose est absolument certaine : le S.C.A.P. possède une puissance étonnante qui peut se manifester sous mille formes. En voici un exemple des plus probants. Après un exposé sur des sujets d’ordre spirituel, la question du S.C.A.P. fut évoquée par quelqu’un et donna lieu aux très surprenantes affirmations suivantes :

– M.X… nous dit : « J’ai mis un S.C.A.P. dans mon téléviseur ; il tomba en panne et fut donné au dépanneur. Un ami nous prêta sa télévision où l’on mit un S.C.A.P. et elle tomba en panne également. On en resta là, surpris, et même inquiets… »

– M. Y… nous dit à son tour : « Ma télévision n’est pas tombée en panne, mais lors de certaines émissions, on aperçoit sur l’écran d’étranges dessins en noir qui n’ont aucun lien direct avec les images que nous devions voir se dérouler normalement. C’est très troublant ; on ne sait quoi penser de tout cela« .

– Mme D… haussa les épaules et ajouta : « La maison et le poste sont bourrés de S.C.A.P. Il ne se passe rien ni en bien ni en mal. C’est tout. Je me demande pourquoi ces personnes, elles, sont témoins de tout cela. C’est comique ! »

– Mlle R…. : « Depuis que nous avons tout neutralisé avec des S.C.A.P. la maison est vraiment transformée. Tout glisse, tout coule, tout est comme lubrifié. Et finis les troubles d’avant : insomnies, maux de tête, agressivité, pipi au lit et le reste… Quelle merveille que ces petits cartons à dessins noir sur blanc ; c’est à n’y rien comprendre, mais le fait est là… »

– Mlle C. B… : « L’informatique nous claque, surtout dans les bureaux avec tout le confort moderne à O.N. J’ai mis un S.C.A.P. sur moi et mes collègues. Nous étions beaucoup moins agressées par les ordinateurs. Quelqu’un crut bon d’en mettre dans les carters en plastique de ces derniers. Il arriva que certains ordinateurs cessèrent de fonctionner normalement. C’est plus fort qu’avec Uri Geller. Le chef de service est furieux en raison des pannes d’ordinateurs que le spécialiste ne comprend pas ; il est surtout agacé par le fait que ce petit bout de carton mette la machine au défi. Finalement, on salue le S.C.A.P. et on tourne en rond. Avec le S.C.A.P., c’est notre outil de travail (à O.N. !) qui est malade ; sans le S.C.A.P., on est mal dans sa peau ; c’est lui ou nous. Cruel dilemme digne d’un roman de science-fiction… »

– Mlle P… (organiste) : « Un orgue avait des articulations rouillées. On a mis un S.C.A.P. trois jours avant le récital à l’église Notre Dame-de-Lourdes. Le jour venu, tout a bien marché. Pourtant, un S.C.A.P. n’est pas un liquide qui huile les pivots mécaniques d’un vieil orgue ; alors ? »

PAutre chose encore, et de taille ! Un ami, très connaisseur, quelque peu cartésien (de la veine « deux et deux font quatre »), nous affirme ce qui suit : il a placé des S.C.A.P. autour d’un lit et iil s’est formé comme un mur psychique entre les deux époux dont la vie conjugale était normale. Ils ont fini par devoir se séparer. Leur karma n’était pas si mauvais puisqu’ils ont rencontré, par la suite, chacun de leur côté, un conjoint qui a fait l’affaire. Mais le fait est là : il leur a fallu se séparer ; incroyable, mais vrai…

Deuxième anecdote significative : on met des S.C.A.P. sur du bois humide pour chasser cette humidité (c’est une de ses propriétés). On met les bûches dans la cheminée. Le bois brûle bien comme on s’y attendait, mais y mit une telle ardeur que tout brûla aussi. Tout ? Oui, la suie, les murs en brique, etc. Appelés, les pompiers n’y comprenaient absolument rien car plus on jetait de l’eau, plus ça brûlait. Il y eut de grands dégâts de type paranormal. Quelle puissance cachée dans ce S.C.A.P., mais que d’effets non contrôlables aussi !

Amis lecteurs, nous en restons là, à vous de juger, si un jugement est possible devant de tels faits. Nous aurions des dizaines d’histoires vraies de ce genre : effets miraculeux, imprévus, déconcertants dans le sens d’un mieux ou d’un pis, variations dans le temps et l’espace. Qui nous dira quelles lois entrent en jeu dans les aventures des usagers d’un symbole opératif ? Qui ?

En janvier 1987, nous avons eu le dernier S.C.A.P. qui comporte 3 triangles équilatéraux circonscrits et 3 croix magnifiant les 3 sommets du grand triangle. Il est donné comme absolument polyvalent, y compris contre les actions magiques. On le met à l’essai avec prudence et doigté un peu partout. Peut-être manie-t-on, avec lui, une dynamique silencieuse mais singulièrement active. Une fois encore, qui sait quoi ?

Certains chercheurs, qui ont été satisfaits du S.C.A.P. chez eux, ont suggéré que là où il y avait des désagréments (des bavures !), c’était peut-être en raison du fait que l’habitat était déjà sous magie et que le S.C.A.P. n’a fait qu’actualiser des phénomènes latents. La maison était peut-être sous transfert, ou sous l’action cryptique d’un K.Sh.Ph. avec shin inversé. De quoi y perdre son latin ou son hébreu…

Voilà un beau sujet d’étude pour le C.N.R.S. n’est-ce pas? »

Extrait du livre « La médecine de l’Habitat », de Jacques La Maya aux éditions Dangles, 2005.

L’après-vie, de Serge Fitz

après-vie, serge fitzJe viens de terminer un  livre passionnant et déroutant : « L’après-vie : Nouvelles perspectives pour les disparus », de Serge Fitz, paru en 2011.

Serge Fitz nous apprend comment rechercher par radiesthésie les personnes, animaux ou objets disparus, jusque-là tout ce qu’il y a de plus classique dans ce domaine. Puis le livre glisse doucement vers un sujet beaucoup plus vaste, celui de la mort, de la réincarnation et de la résurrection qui, d’après l’auteur et les enseignements de G.P. Grabovoï dont il se fait le porte-parole, sont à la portée de chacun d’entre nous (à condition d’avoir l’esprit un tantinet ouvert) pour finir sur des considérations concernant l’essence de la vie et de l’âme.

Voici ce que dit la jaquette du livre

En remontant le temps, le radiesthésiste permet aux vivants de comprendre les disparitions qui les frappent et apporte les informations pour un deuil vivifiant.

En faisant la lecture radiesthésique du stress et des niveaux énergétiques des moments vécus par le disparu à partir de l’instant où le voile tombe, nous pouvons enfin comprendre l’indicible. Un deuil réussi est aussi bénéfique à ceux qui restent qu’à celui parti pour une autre vie.

Si cette lecture débusque désormais les mensonges de l’histoire, elle permet aussi le contact avec les entités ainsi que, lorsque c’est le cas, la localisation de leur réincarnation.

Abordant le sujet de la résurrection, l’auteur nous introduit auprès de Grigori Petrovitch Grabovoï, l’académicien russe extra lucide qui nous fait entrer dans un continuum où la mort n’a plus sa place.

Serge Fitz est l’auteur de plusieurs livres sur la géo-biothérapie et le langage des maladies. Il anime des séminaires en tant que radiesthésiste, conseiller et praticien dans les domaines des énergies corporelles et du décryptage des causes de la maladie.

Pour en savoir plus sur ces sujets passionnants, allez faire un tour sur l’un des sites de l’auteur

http://www.sante-info-russie.com/materialisation.htm

http://www.lequadrant.com/

Les nouveaux guérisseurs, documentaire

Voici un documentaire diffusé le 23 mars dernier sur FR3.

Il sera re-diffusé

  • le dimanche 03/04 à 03h25 sur France 3
  • le mardi 12/04 à 03h25 sur France 3

Ce documentaire s’inscrit dans la lignée qui a débuté l’année dernière avec les « Enquêtes Extraordinaires » de Stéphane Allix diffusé en mai 2010 sur M6.

La lumière parvient enfin à envahir le petit écran.

Les nouveaux guérisseurs

Documentaire écrit par Agnès Poirier, réalisé par Agnès Poirier et Olivier Wlodarczyk.

Durée : 86 minutes

Le sujet

Magnétiseurs, coupeurs de feu, rebouteux, énergéticiens : après un an d’enquête, ils ont accepté de livrer quelques-uns de leurs secrets. On pensait les guérisseurs d’un autre siècle, voués à disparaître, alors que la science et la médecine repoussent toujours plus les frontières du possible. C’est tout le contraire. Les guérisseurs sont là et bien là: Magnétisme, énergie, chakras, et autres corps subtils. Le vocabulaire change, les techniques évoluent. Et ils font toujours le plein. Qu’est ce qui conduit les Français, confrontés à la maladie ou en quête de mieux-être, à faire ce détour par l’invisible? Que va t’on chercher chez un guérisseur? Et que s’y passe-t-il? Que va-t-on chercher chez un guérisseur ?

Malgré la méfiance dont font preuve à leur égard les hôpitaux, les guérisseurs, rebouteux et magnétiseurs connaissent un succès croissant auprès des malades.

Nombreux sont ceux qui, de tout âge et de tout milieu, ont déjà eu recours aux services d’un guérisseur, d’un rebouteux ou d’un magnétiseur pour guérir une verrue ou une douleur. Alors que la médecine traditionnelle et les hôpitaux restent très méfiants à l’égard de ceux qui pratiquent ces méthodes, de plus en plus de malades font appel à eux. Bien qu’ils suscitent la controverse, les Français commencent à s’intéresser aux étranges pouvoirs de ces détenteurs de secrets. Parmi eux, des charlatans redoutables tentent de profiter de la crédulité de leurs clients. Mais que faut-il penser de leur savoir ? Et pourquoi fascinent-ils tant le public ?

Un extrait du film…

[vimeo http://vimeo.com/20523758]

Médecine de l’Habitat, Jacques La Maya

Ce livre pratique dresse d’abord un inventaire complet des diverses sortes d’ondes nocives. Ensuite sont étudiés concrètement tous les moyens de compensation, d’élimination et de neutralisation, tant par des procédés anciens, populaires ou occultistes, que par des techniques contemporaines en plein développement (appareils de protection), ainsi que par des méthodes mentales et spirituelles.

Chapitre 1 – Sources et classement des ondes nocives

Chapitre 2 – Les effets pathogènes des ondes nocives et leurs conséquences essentielles

Chapitre 3 – Détection des ondes nocives et classement des méthodes

Chapitre 4 – Compensation, élimination et neutralisation des ondes nocives

Chapitre 5 – Réseaux telluriques, géobiologie et médecine de l’habitat

Chapitre 6 – Pratique personnelle et recours aux experts

Chapitre 7 – Ondes bénéfiques, biotique

Chapitre 8 – La dynamique des énergies subtiles et la radionique

Chapitre 9 – Ondes nocives et civilisation de “fin des temps”

Chapitre 10 – Questions et réponses; dialogue lecteurs/auteurs.

Des adresses utiles complètent ce livre consacré au jeu subtil – et dangereux – des énergies de la vie, énergies que nous commençons seulement à redécouvrir car les Anciens les connaissaient parfaitement.

La terre perd le nord, sur la piste du pôle magnétique…

Voici un excellent documentaire sur le champ magnétique terrestre et son évolution au cours des dernières décennies, réalisé par Stéphane Nicolopoulos et de Yanick Rose et datant de 2010, diffusé le 03/02/2011 sur RTBF.

Sujet :

Le champ magnétique terrestre existe depuis plus de trois milliards d’années. Orienté nord-sud, il est généré par les mouvements du métal en fusion dans le noyau de la Terre, à quelque 3000 km sous nos pieds.

De nombreuses espèces animales l’utilisent pour s’orienter, notamment lors des migrations saisonnières. Il sert également pour nous protéger des particules solaires, responsables des orages électromagnétiques.

Mais le champ magnétique n’est pas constant. Depuis qu’on le mesure précisément, soit environ 150 ans, il a perdu presque 15 % de son intensité. Or, les chercheurs ont remarqué que lorsque le champ magnétique décroît, une inversion polaire se produit. Le pôle Nord devient le pôle Sud, et vice versa. Qu’est-ce que cela implique? Faut-il s’en inquiéter?

D’imminents scientifiques le confirment, notre champ magnétique terrestre s’amenuise au fil des années et tant à s’inverser. Le pôle nord magnétique se déplace, il est instable et a déjà parcouru depuis 1831, date ou il à été localisé pour la première fois, près de 2000 km et se dirige vers la Sibérie. Cela s’est déjà produit à plusieurs reprises au cours de l’histoire de notre planète mais c’est bien la première fois que l’homme est en mesure de l’observer.

Voir le film, en provenance d’un autre blog.

A tous ceux qui osent encore dire que le champ magnétique entourant la terre est une vue de l’esprit et n’a jamais été prouvé scientifiquement (je pense ici aux réseaux Hartmann, Curry, Wissman, Peyré), qu’il s’agit d’une pseudo-science, il est temps pour eux d’ouvrir les yeux.

Notre poison quotidien, de Marie-Monique Robin

En guerre contre l’industrie agro-alimentaire et l’industrie chimique.

Après l’incontournable « Le monde selon Monsanto » dénonçant les méfaits des OGM sur la vie des agriculteurs et sur la biodiversité,  le nouveau documentaire de Marie-Monique Robin « Notre Poison quotidien » sera diffusé sur Arte mardi 15 mars à 20h40. Elle s’attaque aux divers produits chimiques que nous ingérons quotidiennement  : conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et aussi aux matières plastiques avec lesquelles beaucoup d’aliments sont en contact.

Une projection du film est organisée le jeudi 17 mars, à 18 heures, par le Mouvement des Générations futures au 184 rue de Grenelle, à Paris.

Si vous voulez en savoir plus avant la semaine prochaine, allez faire un tour sur le site d’Arte et sur le blog de Mme Robin.

Pour revoir le documentaire en intégralité, cliquez ici.

Ce titre « Notre poison quotidien » me rappelait vaguement quelque chose.

Etait-ce dans la prière, le Notre Père,  « Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien »?

Oui, c’était ça, mais aussi et surtout, ça me rappelait ce film impressionnant  « Notre pain quotidien »  du documentariste autrichien Nikolaus Geyrhalter sorti en 2005. Un film muet, sans aucun commentaire, d’une froideur étonnante, qui montre l’horreur fascinante de notre industrie agro-alimentaire. Vous pouvez le regarder en intégralité en cliquant ici.

Pour en savoir plus sur la pollution chimique et les effets sur la santé, allez faire un tour sur le site de SOS MCS.

Lumière, le film de Peter-Arthur Straubinger

Vivre sans manger, se nourrir de lumière…

Tel est le thème du film documentaire de Peter-Arthur Straubinger « Lumière » (2009) sorti en salle le 15/12/2010 et actuellement projeté dans 6 salles parisiennes.

Et non, la science n’a pas réponse à ce phénomène appelé le respirianisme qui touche des milliers de personnes dans le monde.

Mais on ne peut pas avoir toujours réponse à tout.

Enfin, les temps sont bien en train de changer et la lumière s’infiltre enfin dans les médias.

Bien sûr tout n’est pas gagné, si l’on en croit le communiqué qu’a du faire le réalisateur afin de répondre aux différentes attaques et critiques.

Si ce sujet vous intéresse, prenez le temps d’écouter la longue interview du réalisateur faite par la radio Ici et Maintenant 95.2 et publiée sur http://rimsave.com/

Voici le lien vers l’interview complète qui doit faire pas loin de trois heures.

Extrait du film ici sur interobjectif.net.