Le porte-parole du bons sens

Macron au JT : le retour du bon sens

Tu as peut-être écouté le président Macron mercredi soir au JT. As-tu remarqué le nombre de fois où il a prononcé le mot bon sens ? C’était juste incroyable. On aurait dit la méthode Coué !

Lui, le chantre des Lumières et de Pasteur qui nous rabâche depuis 7 mois que nous sommes en guerre, il est dans la droite ligne du parti pasteurien. Effectivement, Pasteur était en guerre contre les microbes de toutes sortes, les virus et les bactéries.

D’ailleurs à propos de Louis Pasteur, cela me fait penser à l’Institut du même nom : j’ai ouïe dire dans la bouche de l’éminent Professeur Emérite et Prix Nobel Luc Montagnier (euh ! certainement un vieux gâteux !) , que l’Institut était impliqué dans la création du virus et sa propagation à Wuhan. Je crois même qu’ils ont breveté la chose.

Mais, passons. Là n’est pas le sujet!

Le bouclier anti-Covid

En dehors du gel hydroalcoolique, des masques, des gestes-barrière, du confinement, du déconfinement, suivi de l’interdiction de circuler à plus de 100km de chez soi et, maintenant, du couvre-feu, les instances gouvernementales ont-elles proposé à la population exposée au terrible danger du SARS-CoV-2 des mesures simples et de bon sens pour renforcer le terrain individuel et pouvoir se battre de l’intérieur ?

La réponse est non. NON.

Je suis sûre que tu as déjà entendu parler de ce terme de terrain. D’ailleurs, un collègue de Pasteur, Antoine Béchamp, déjà rebelle et certainement complotiste avant l’heure (je blague !), avait compris l’importance du terrain.

Il pensait même que, sur un terrain équilibré, les microbes, virus et bactéries pathogènes ne pouvaient pas se développer.

La légende veut d’ailleurs que Monsieur Pasteur l’ait reconnu sur son lit de mort avec ces mots désormais célèbres : «Le virus n’est rien. C’est le terrain qui est tout.»

En effet, j’ai, tu as, nous avons… un système immunitaire. Même si le système immunitaire semble être devenu un gros mot, un tabou, voire même un terme complotiste, nous en avons tous un.

Plus de bactéries et virus que de neurones

Et si l’on ajoute à cela que notre corps abrite pas moins de 100 000 milliards de bactéries et virus, nous pouvons dire que nous sommes un amas de microbes qui réussissons chaque jour cet exploit d’être en équilibre et de maintenir la vie en nous. Comme j’aime bien comparer les chiffres et que c’est très à la mode, j’ajoute cette info : le cerveau humain compte à peine 100 milliards de neurones. Nos organismes vivants comptent donc bien plus de bestioles que de neurones! C’est intéressant…

Mais cette vision des choses connue depuis plus d’un siècle maintenant (enfin en Occident, je veux dire) n’arrive pourtant pas à se faire entendre. On continue dans le paradigme guerrier, masculin-machiste, hérité de Monsieur Pasteur où il faut lutter contre, encore et encore.

Et tout ce qui dérive de ce paradigme n’est pas très joli joli dans ses résultats et ses implications. Car, à lutter contre la vie, on tue la vie. C’est le principe même des antibiotiques.

Le respect du vivant

Prenons, en digressant certes un peu, l’exemple de l’agriculture biologique versus l’exploitation agro-industrielle. Il paraît relativement simple de saisir que, plus les sols sont riches en bestioles de toutes sortes, plus il y a d’insectes pour faire le boulot de transformation des matières végétales et de pollinisation, plus les sols sont vivants et plus les plantes qui poussent sur un tel terreau fertile sont en bonne santé. Même un enfant de 6 ans peut comprendre cela.

Mais nous, enfin quand je dis nous, je pense surtout aux gros pollueurs de la planète comme la firme Bayer-Monsanto… nous en sommes encore au stade de la guéguerre pour tuer, éradiquer ceci ou cela qui nous dérange, et nous n’accédons jamais à une vision globale, holistique du monde avec une recherche d’harmonie comme le propose la permaculture.

Je ne peux m’empêcher d’avoir ici une petite pensée pour nos amies les abeilles et à l’ignoble revirement du gouvernement.  Les pesticides néonicotinoïdes interdits en 2018 ont été ré-autorisés sous la pression du lobby des producteurs de betterave à sucre. Ces pesticides neurotoxiques ont provoqué en 30 ans la disparition de 80% de la faune des insectes. Ah, la France, le pays des Lumières et de Pasteur!, comme dit notre cher Président. On se demande pourquoi il n’a pas appliqué ici sa recette du bon-sens. Certainement parce que, quand les lobbys te tiennent par les cojones, ils ne te lâchent plus!!! Une vidéo très sympa faisant le tour du problème est disponible ici.

L’association Bon Sens

Mais je m’égare. Revenons au bon sens.

C’est amusant que notre président utilise aussi souvent le mot « bon sens » dans son discours car, justement, c’est le nom d’une association qui vient de voir le jour le 3 octobre dernier. Cette association rassemble déjà plus de 16000 adhérents alors qu’elle n’a pas encore agi. Et ce qui est encore plus intrigant, c’est qu’à peine sorti de l’œuf, elle ait déjà été passée aux cribles des décodeurs de l’info, à commencer par Libération il y a 2 jours.

En faisant quelques recherches, j’ai découvert que « Libération » reprend le nom d’un titre de presse créé en 1927 par le libertaire Jules Vignes, nom qui sera également celui d’un des journaux de la Résistance dirigé par Emmanuel d’Astier de La Vigerie. Mais en 2020 et avec la Covid, m’est avis que Libération n’a plus rien à voir avec une quelconque résistance : et le journal, en tout cas ces newscheckers et autre décodeurs, font plutôt dans la censure et la pensée unique.

Le bon sens des protocoles sanitaires, parlons-en !

Alors cette prolifération du bon sens dans la bouche de notre président est étonnante. Car le bon sens est justement ce qui semble faire défaut dans le contenu des protocoles et autres mesures sanitaires qui pullulent depuis 7 mois. A côté du Covid, une autre grave maladie circule actuellement : c’est la mesurite aigue! Une sorte de compulsion à prendre des mesures plus farfelues les unes que les autres et en dépit du bon sens… pour se donner bonne conscience peut-être?

Un petit exemple. Un nouveau protocole sanitaire vient d’être mis au point dans le 92 à Saint-Cloud pour permettre l’accueil des jeunes dans les gymnases de la ville. Avant cela, ils pouvaient venir pratiquer leur sport favori en salle, mais ils n’avaient pas le droit d’accéder aux vestiaires. Du coup, on les retrouvait entassés dans les toilettes ou les couloirs, avec leurs vêtements jonchés sur le sol. Ca faisait plutôt désordre !

Alors, après une concertation du pôle sportif de la mairie, un nouveau plan d’action a été élaboré. Ce plan (très ingénieux!!!) permet aux enfants d’accéder aux vestiaires mais par roulement de 5 à la fois maximum, dans un vestiaire de 20m². Selon un savant calcul, fondé certainement sur des études scientifiques, il a été déterminé qu’il fallait un espace de 4 m2 pour être protégé du Sars-Cov 2, malgré les masques le gel et tout le toutim.

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Les enfants ne sont-ils pas ensemble toute la journée, en classe, à la récré, à la cantine ?

Et la Mairie insiste  : il est impératif que les encadrants veillent au respect de ces nouvelles mesures sanitaires durant les 5 minutes à peine que dure le passage aux vestiaires, avant et après le cours. Alors même que, durant leurs deux heures de cours,  ils vont se côtoyer, se toucher et chahuter. Mais de qui se moque-t-on ? La pilule du « bon sens » est un peu dure à avaler. Car cela n’a aucun sens.

Le trio gagnant de l’immunité

Revenons à nos moutons! Sans jeu de mot ou allusion d’aucune sorte! Pour protéger le troupeau, voici le tiercé gagnant de l’immunité que le bon sens gouvernemental aurait dû proposer à la population et plébisciter. Mais, malheureusement, il ne l’a pas fait et m’est avis qu’il ne le fera pas. En effet, le cheval sur lequel il mise est le vaccin. ;(

Le trio gagnant de l’immunité se compose de:
  • la Vitamine C : elle a une activité antivirale, antioxydante
  • la Vitamine D : c’est un boosteur de l’immunité générale qui permet une meilleure absorption intestinale des nutriments
  • le Zinc : il joue un grand rôle dans les infections respiratoires et il soutient la muqueuse intestinale
Les dosages efficaces:
  • Vitamine C : puisque l’alimentation moderne actuelle, entre les transports, les frigos, et la cuisson, ne suffit malheureusement plus à couvrir les besoins journaliers -à moins que tu te nourrisses essentiellement des produits de ton propre potager ou d’un potager proche de chez toi- tu auras avantage à te supplémenter entre 500 mg et 1 g par jour.
  • Vitamine D3: 5000 UI par jour en moyenne. Consulte mon article sur la vitamine D3 pour affiner les dosages.
  • Zinc : 30 mg par jour. Prends de préférence du zinc bisglycinate, bien plus assimilable que les autres sortes.

Et tu n’oublieras pas d’ajouter à ce petit boost externe les règles de base essentielles:

  • une alimentation saine, riche en fruits et légumes frais de saison et pauvre en sucre artificiel, viande rouge, charcuterie et laitages,
  • un sommeil de bonne qualité, suffisamment long et éloigné des perturbations basses et hautes fréquences (wi-fi, 3G, 4G, etc.)
  • la sérénité mentale: la peur diffusé par les médias provoque une dépression du système immunitaire. Pratiquer tout exercice de méditation et de respiration utile pour cultiver le calme et la joie.
  • Et bien sûr, limiter au maximum tout abus : alcool, sucre, tabac, café…
Renforce ton immunité grâce à Mère Nature

On peut agir en prévention, c’est toujours mieux. L’automne est le bon moment pour stimuler le renforcement immunitaire. Les plantes phares sont :

  • l’échinacée
  • l’astragale
  • la propolis : eh oui, ce n’est pas une plante mais c’est tout de même un cadeau de Mère Nature!
  • l’extrait de pépins de pamplemousse

Il ne s’agit pas de prendre ces remèdes boostant tous en même temps. Non, on les prendra en alternance. On peut utiliser des poudres, des tisanes, des gélules, de la teinture-mère.

On fera par exemple une cure :

  • d’échinacée pendant 1 mois,
  • puis on passera à la propolis,
  • on enchainera avec l’astragale,
  • et on finira en beauté avec l’huile de nigelle d’1 mois.

L’alternance permet d’éviter les phénomènes d’habituation. Si l’on prend toujours le même produit, il risque de fonctionner moins bien.

Petite précision de taille : l’échinacée et l’astragale sont des plantes immunostimulantes. Si tu souffres d’une maladie auto-immune, tu n’en prendra pas bien sûr. Tu te dirigeras plutôt vers des plantes aux propriétés immunomodulantes.

Et si vraiment tu as peur quand tu sors

Tu pourras utiliser au choix des huiles essentielles de :

  • ravintsara
  • laurier noble (un spécial coronavirus!)
  • niaouli
  • eucalyptus radiata
  • saro

Applique 1 goutte d’huile essentielle au creux de tes poignets, sous les ganglions du cou, et sous les clavicules. Et respire tes poignets en te bouchant une narine à chaque fois.

Tu peux aussi en mettre quelques gouttes sur ton masque.

Avec tous ça, te voilà paré à passer un bel automne et un hiver paisible. Et si tu as besoin de conseils plus personnalisés, n’hésite pas à me consulter.

Porte-toi et prends soin de toi. Garde le sourire et la foi.

Agnès B.