Le solstice du 21 décembre est derrière nous. Et nous sommes désormais au cœur de l’hiver. Une période où nos maisons doivent être plus que jamais des refuges chaleureux. Depuis quelques mois déjà, nous chauffons nos foyers, que ce soit avec des radiateurs électriques, un poêle à bois, une pompe à chaleur, un chauffage central, au sol, au gaz ou même solaire.
Si, comme moi, tu as la chance d’avoir un poêle à bois, j’aimerais te parler d’une méthode qui a radicalement changé ma manière d’allumer le feu et de ne plus galérer avec mon poêle. Cette méthode, c’est le top-down.
Elle a non seulement transformé ma façon de faire le feu, mais elle a aussi bouleversé ma vision de certaines valeurs que l’on m’avait enseignées. J’ai eu l’impression qu’elles étaient complètement à l’envers et qu’il fallait les remettre à l’endroit.

Allumer le feu de bas en haut
Si tu as déjà fait du feu, tu as certainement utilisé la méthode conventionnelle, de bas en haut. On place les petits éléments combustibles en bas (brindilles, petit bois, papier ou allume-feu), puis les morceaux de bois de taille moyenne, et enfin les bûches plus grosses au-dessus. On allume le feu au bas de la pile, au niveau des petits combustibles. La chaleur monte naturellement et enflamme progressivement les couches supérieures. L’inconvénient de cette méthode, c’est qu’elle génère beaucoup de fumée au départ, car les gaz dégagés par les bûches supérieures ne peuvent pas brûler.
Allumer le feu de haut en bas
Avec le top-down, de haut en bas, on place les bûches les plus grosses en bas, suivies du bois de taille moyenne, puis du petit bois et, au sommet, les allume-feu, en croisant les couches à chaque étage. Le feu est allumé par le haut. La combustion est très propre, car les gaz dégagés par les bûches du bas passent à travers les flammes et sont brûlés. La chaleur est mieux répartie, ce qui augmente la performance. Une fois allumé, le feu ne nécessite aucune intervention. Il peut se maintenir seul jusqu’à ce qu’il ne reste que des cendres. Cette méthode optimise la circulation de l’air et répond aux exigences des systèmes à haut rendement.
Cette méthode est tellement contre-intuitive, tellement contraire à tout ce que l’on nous a enseigné que, la première fois que je l’ai expérimentée, je doutais vraiment que cela puisse marcher. Et ça marche!
Les origines du top-down
La technique de l’allumage du feu par le haut (top-down) est souvent associée à une optimisation moderne des techniques de combustion, mais ses origines précises ne sont pas documentées. Il est probable qu’elle ait été utilisée de manière intuitive par certaines cultures.
Les mentions de cette méthode se sont popularisées dans les dernières décennies, grâce à des études sur l’efficacité énergétique et la réduction des émissions polluantes.
Pourquoi n’est-elle pas plus souvent enseignée ? Certainement parce que le top-down semble de prime abord moins intuitif. Bien qu’il offre des avantages significatifs, il demande un peu plus de réflexion initiale. Alors que la technique traditionnelle est simple à transmettre, même si elle produit plus de fumée et une combustion moins efficace.

Les avantages du top-down
- Efficacité énergétique : Le top-down permet une combustion plus complète. Le feu brûle de haut en bas : cela entraîne une montée en température progressive et réduit les déchets de combustion. Il n’y a quasiment plus de cendres. Et les tuyaux d’évacuation des fumées s’encrassent beaucoup moins.
- Réduction de la fumée : La combustion se fait à chaud dès le départ, ce qui diminue les émissions de particules et de gaz imbrûlés.
- Entretien simplifié : Une fois le feu allumé, il a besoin de moins d’intervention pour se maintenir. Et quand, au bout de quelques feux, on maîtrise la technique, il n’y a plus du tout besoin de s’en occuper.
Inversion des valeurs
On peut transposer cela à bien d’autres aspects de nos vies. Cela nous permettrait de ne plus marcher sur la tête! Et Dieu sait qu’on le fait souvent dans nos sociétés occidentales.
C’est valable, par exemple, pour l’organisation des tâches tout au long de la journée : il faut avoir la discipline de toujours commencer par celles qui prennent le plus de temps et d’énergie (les grosses bûches) et terminer par les plus légères.
C’est aussi valable pour l’alimentation si l’on l’aborde par lm’aspect de la combustion . En effet, le Dr Laurent Scwartz résume très bien le dilemme avec la nourriture:
- soit tu brûles, c’est-à-dire que la combustion de ce que tu apportes à ton corps est parfaite, et produit une dose de déchets que tu peux facilement éliminer,
- soit tu synthétises, c’est-à-dire que ton métabolisme tourne au ralenti, que tu ne digères pas bien et donc que tu ne brûles pas bien ce que tu as mis dans ton système, et notamment l’excès de sucre, ingérable, qui va se transformer au mieux en gras, au pire en cancer.
Si tu brûles, tout va bien pour toi. En revanche, si tu synthétises, tu t’encrasses, et au bout d’un moment, tu te diriges vers les maladies auto-immunes, le diabète, ou même le cancer. Mais je reparlerai de l’alimentation dans un prochain article. En attendant, retiens juste que : pour que la combustion soit optimale, il est recommandé de manger comme un roi le matin, comme un prince le midi et comme un pauvre le soir.
Le top-down du corps
En filant la métaphore du top-down, du haut vers le bas, du cosmique vers le tellurique, des informations vers la matière, cela m’amène à faire un parallèle avec certaines méthodes alternatives de soin qui, elles aussi, insistent sur l’importance de rétablir d’abord une bonne réception des informations, autrement dit une connexion ou re-connexion profonde du cerveau à notre code source avant ou afin d’agir sur le corps physique.
A l’inverse, la médecine conventionnelle et allopathique n’a que faire de ce qui précède la matière, de ce mystère qui l’informe, lui donne forme. Elle vise en général à faire disparaître un symptôme en administrant un principe actif chimique afin que ce symptôme ne s’exprime plus. Elle en reste pour l’instant à l’allumage du feu du bas vers le haut : cela génère beaucoup de fumée que j’appellerai effets indésirables ou secondaires.
Les informations avant la matière
A l’image de la technique du top-down où l’on allume le feu par le haut pour qu’il transforme progressivement la matière du bois en chaleur et lumière, on peut décider de s’occuper du corps humain en le reconnectant aux informations lumineuses et cohérentes qui lui ont permis de se constituer et qui le maintiennent en vie à chaque instant. Mais cette connexion a peut-être été perdue ou perturbée en raison des nombreuses pollutions que nous subissons actuellement dans notre monde aux prises avec le complexe militaro-industriel : pollutions chimiques et métaux lourds dans l’eau, l’air, la terre et donc la nourriture, pollutions électromagnétiques (électricité basse et haute fréquences).

Les techniques d’harmonisation que je pratique, l’Harmonisation Globale et l’Harmonisation scalaire IGA, permettent cette reconnexion à notre programme source, en nettoyant les scories qui encombrent les canaux de transmission. Elles emploient simplement des outils différents.
L’Harmonisation Globale travaille sur les origines physiques, émotionnelles, spirituelles et/ ou énergétiques des troubles, des symptômes. En découvrant et en intégrant cette cause première, on la transmute. Le symptôme n’a donc plus lieu d’être. Du coup, il s’efface.
L’Harmonisation scalaire IGA, quant à elle, permet d’effacer les programmes parasites (entités, programmes négatifs, virus, bactéries, parasites, Levure et champignons, cellules anarchiques, etc.) qui interfèrent avec la programmation lumineuse initiale, originelle. Ainsi toutes les cellules du corps peuvent à nouveau s’abreuver au programme source et lumineux qui les génère à chaque instant. Et de ce fait, le symptôme se dissout de lui-même.
Pourquoi cela est-il plus efficace ? En agissant sur l’information d’abord, on évite d’aggraver les déséquilibres ou d’agir à contre-courant. C’est comme préparer un feu en haut pour qu’il brûle, sans fumée et efficacement, jusqu’en bas.
Associer la sagesse des techniques ancestrales et des pratiques modernes pour un impact maximal. Tout comme le feu top-down illustre une évolution vers plus d’efficacité et de respect de l’environnement, le rééquilibrage du corps par l’information ouvre la voie à des transformations profondes et durables.