Extrait de La Médecine de l’Habitat, pp.242-247
« LE SYMBOLE COMPENSATEUR D’ANDRE PHILIPPE »
Dans la revue M.I.R, M. André Philippe (chercheur infatigable et homme de bien) a parlé du symbole compensateur qu’il avait trouvé et que, comme tant d’autres, nous avons fait connaître à de nombreuses personnes en difficultés. Pour simplifier, nous l’avons appelé le S.C.A.P. puisqu’il a beaucoup fait parler de lui en des sens très divers, sinon divergents…
Principe du SCAP
Etudiant les nombres bénéfiques, le pouvoir des chiffres et de leurs symboles (une fois traduits en configuration graphiques), A. Philippe en est arrivé au nombre 2,33 (7 divisé par 3). Il est facile à rendre sous forme graphique. Ce S.C.A.P. avait une puissance considérable de compensation, disait-il, et, dès lors, on peut l’utiliser de différentes façons comme moyen de protection personnelle, ménagère et pour une habitation. Cela demande explication car ce n’est pas évident à première vue.
Protections personnelle ? Oui, et surtout pour ceux qui sont exposés à des rayonnements puissants (centrales électriques, stations radio et tv, personnel des sous-marins atomiques, etc). On est saturé, en ces lieux, de V-e et N-e. Le S.C.A.P. est tracé sur une carte blanche qui est portée sur soi, d’où une zone de protection réelle. On peut en faire des bijoux, des médailles, pendentifs, plaques pectorales.
Protection ménagère ?
Oui : l’eau du robinet est chargée en V-e car il y a des câbles électriques dans le sol (ils sont parallèles à ceux des conduites d’eau potable !), d’où aliments chargés de V-e. Pour l’eau des chaudières, idem, les radiateurs émettent aussi ce V-e et le N-e dans toute la maison…
Un rectangle de bois (7 sur 20) sur lequel on grave le S.C.A.P. au stylo feutre est placé sur un seul radiateur. Il fait disparaître les radiations nocives. Cela joue également pour l’eau et, qui plus est, pour tout l’immeuble. On procède de la même façon pour le réfrigérateur, le congélateur et la moulinette (qui tourne dans le mauvais sens – le sens anti-horaire – et qui émet donc son V-e à plein gaz…).
Pour l’habitation ?
Oui : de nombreux tests à distance sur plan, puis sur place, ont été faits avec succès quant au pouvoir de compensation, y compris pour les cas d’humidité massive due à la présence d’un rayonnement « rouge électrique ». En cours d’essai dans un habitat particulièrement malsain, A. Philippe a pu constater que le S.C.A.P. placé dans le symbole solaire était encore plus efficace et ce quasi instantanément !
Autres utilisations diverses
On s’en est servi avec succès pour machines agricoles (ou autres) tournant antihoraire (donc V-e), ordinateurs en tout genre, locomotives électriques, tous appareils électroménagers tournant dans le sens anti-horaire, armoires à pharmacie familiale, véhicules de toutes catégories, chauffages électriques, etc.
Cette liste n’est pas limitative ; on peut aussi charger l’eau et les aliments. Si le S.C.A.P. est bénéfique, il n’y a pas de raison d’en limiter l’usage et on s’en est rendu compte expérimentalement. Peu à peu, le graphisme a évolué pour le rendre toujours plus performant (voir les variantes successives). A. Philippe a mis en garde ses lecteurs contre tout projet de recherche et d’essai comportant sur les nombres, car on peut tomber, dit-il, sur des nombres qui empoisonneraient l’ambiance et pourraient même attaquer le sujet expérimentateur, nuire à sa santé et mettre sa vie en danger.
A première vue il peut sembler étrange que quelques traits rectilignes sur une simple feuille de papier aient un tel pouvoir (bénéfique ou maléfique selon les cas). Mais il nous a été donné d’entendre certaines confidences d’utilisateurs du S.C.A.P. (en variantes diverses) et nous devons en résumer sommairement l’essentiel car il y a eu controverse sur certains points. Tout à fait indépendamment de celle-ci, et on a eu aussi des preuves de la puissance opérative des symboles, même si le symbole agit dans un sens non désirable…
Controverses
Certains utilisateurs ont trouvé que le S.C.A.P. bloquait les radiations nocives comme on s’y attendait, mais qu’il pouvait également les stocker et les réémettre ensuite en masse, ce qui est fâcheux bien sûr, et crée un doute assez alarmant. Voir, en fin de la présente étude, les conditions à remplir par le compensateur idéal (symbole ou autre principe de travail anti-O.N.). Les avis sont partagés car, en dehors de tout point de vue technique, le S.C.A.P. dérange puisqu’il est gratuit et fabriqué (ou reproduit) avec la plus grande facilité. Nous n’entrerons pas en lice pour ou contre qui ou quoi que ce soit à ce sujet et nous renouvelons l’expression de notre vive estime à A. Philippe, expérimentateur hors pair, homme désintéressé et sincèrement dévoué face à toute personne en détresse qui lui lance un appel au secours.
Témoignages des effets du SCAP
Une chose est absolument certaine : le S.C.A.P. possède une puissance étonnante qui peut se manifester sous mille formes. En voici un exemple des plus probants. Après un exposé sur des sujets d’ordre spirituel, la question du S.C.A.P. fut évoquée par quelqu’un et donna lieu aux très surprenantes affirmations suivantes :
– M.X… nous dit : « J’ai mis un S.C.A.P. dans mon téléviseur ; il tomba en panne et fut donné au dépanneur. Un ami nous prêta sa télévision où l’on mit un S.C.A.P. et elle tomba en panne également. On en resta là, surpris, et même inquiets… »
– M. Y… nous dit à son tour : « Ma télévision n’est pas tombée en panne, mais lors de certaines émissions, on aperçoit sur l’écran d’étranges dessins en noir qui n’ont aucun lien direct avec les images que nous devions voir se dérouler normalement. C’est très troublant ; on ne sait quoi penser de tout cela« .
– Mme D… haussa les épaules et ajouta : « La maison et le poste sont bourrés de S.C.A.P. Il ne se passe rien ni en bien ni en mal. C’est tout. Je me demande pourquoi ces personnes, elles, sont témoins de tout cela. C’est comique ! »
– Mlle R…. : « Depuis que nous avons tout neutralisé avec des S.C.A.P. la maison est vraiment transformée. Tout glisse, tout coule, tout est comme lubrifié. Et finis les troubles d’avant : insomnies, maux de tête, agressivité, pipi au lit et le reste… Quelle merveille que ces petits cartons à dessins noir sur blanc ; c’est à n’y rien comprendre, mais le fait est là… »
– Mlle C. B… : « L’informatique nous claque, surtout dans les bureaux avec tout le confort moderne à O.N. J’ai mis un S.C.A.P. sur moi et mes collègues. Nous étions beaucoup moins agressées par les ordinateurs. Quelqu’un crut bon d’en mettre dans les carters en plastique de ces derniers. Il arriva que certains ordinateurs cessèrent de fonctionner normalement. C’est plus fort qu’avec Uri Geller. Le chef de service est furieux en raison des pannes d’ordinateurs que le spécialiste ne comprend pas ; il est surtout agacé par le fait que ce petit bout de carton mette la machine au défi. Finalement, on salue le S.C.A.P. et on tourne en rond. Avec le S.C.A.P., c’est notre outil de travail (à O.N. !) qui est malade ; sans le S.C.A.P., on est mal dans sa peau ; c’est lui ou nous. Cruel dilemme digne d’un roman de science-fiction… »
– Mlle P… (organiste) : « Un orgue avait des articulations rouillées. On a mis un S.C.A.P. trois jours avant le récital à l’église Notre Dame-de-Lourdes. Le jour venu, tout a bien marché. Pourtant, un S.C.A.P. n’est pas un liquide qui huile les pivots mécaniques d’un vieil orgue ; alors ? »
Rester prudent
Autre chose encore, et de taille ! Un ami, très connaisseur, quelque peu cartésien (de la veine « deux et deux font quatre »), nous affirme ce qui suit : il a placé des S.C.A.P. autour d’un lit et il s’est formé comme un mur psychique entre les deux époux dont la vie conjugale était normale. Ils ont fini par devoir se séparer. Leur karma n’était pas si mauvais puisqu’ils ont rencontré, par la suite, chacun de leur côté, un conjoint qui a fait l’affaire. Mais le fait est là : il leur a fallu se séparer ; incroyable, mais vrai…
Deuxième anecdote significative : on met des S.C.A.P. sur du bois humide pour chasser cette humidité (c’est une de ses propriétés). On met les bûches dans la cheminée. Le bois brûle bien comme on s’y attendait, mais y mit une telle ardeur que tout brûla aussi. Tout ? Oui, la suie, les murs en brique, etc. Appelés, les pompiers n’y comprenaient absolument rien car plus on jetait de l’eau, plus ça brûlait. Il y eut de grands dégâts de type paranormal. Quelle puissance cachée dans ce S.C.A.P., mais que d’effets non contrôlables aussi !
Amis lecteurs, nous en restons là, à vous de juger, si un jugement est possible devant de tels faits. Nous aurions des dizaines d’histoires vraies de ce genre : effets miraculeux, imprévus, déconcertants dans le sens d’un mieux ou d’un pis, variations dans le temps et l’espace. Qui nous dira quelles lois entrent en jeu dans les aventures des usagers d’un symbole opératif ? Qui ?
En janvier 1987, nous avons eu le dernier S.C.A.P. qui comporte 3 triangles équilatéraux circonscrits et 3 croix magnifiant les 3 sommets du grand triangle. Il est donné comme absolument polyvalent, y compris contre les actions magiques. On le met à l’essai avec prudence et doigté un peu partout. Peut-être manie-t-on, avec lui, une dynamique silencieuse mais singulièrement active. Une fois encore, qui sait quoi ?
Certains chercheurs, qui ont été satisfaits du S.C.A.P. chez eux, ont suggéré que là où il y avait des désagréments (des bavures !), c’était peut-être en raison du fait que l’habitat était déjà sous magie et que le S.C.A.P. n’a fait qu’actualiser des phénomènes latents. La maison était peut-être sous transfert, ou sous l’action cryptique d’un K.Sh.Ph. avec shin inversé. De quoi y perdre son latin ou son hébreu…
Voilà un beau sujet d’étude pour le C.N.R.S. n’est-ce pas? »
Extrait du livre « La médecine de l’Habitat », de Jacques La Maya aux éditions Dangles, 2005.