Les SCAP, symboles compensateurs d’André Philippe

C’est quoi les SCAP?

Les symboles compensateurs d’André Philippe, plus connus sous le nom de S.C.A.P. sont des dessins qui émettent une onde de forme permettant d’annuler certaines perturbations d’ordre géobiologique ou électrique ou d’un autre ordre, c’est-à-dire abstrait.

Les S.C.A.P. sont des symboles en diffusion libre, c’est-à-dire gratuits, mais j’ai quand même trouvé sur la toile des sites, espagnols ou portugais, où ils étaient en vente. Incroyable!

Cliquez ici pour savoir ce qu’en dit M. Jacques La Maya dans son livre (excellent, une vraie Bible, mais je l’ai déjà dit ailleurs) « La médecine de l’habitat », ses conseils et ses mises en garde.

André Philippe a conçu plusieurs S.C.A.P. :  il les a fait évoluer au fil du temps, au fil des expériences, positives et négatives aussi, d’ailleurs. Dans quel but? De les améliorer sans cesse. Lorsqu’on a pour tâche d’harmoniser une onde nocive ou un lieu et que l’on envisage de recourir à un S.C.A.P., je ne crois pas qu’il s’agisse d’opter systématiquement pour le plus récent. Il faut tester par recherche radiesthésique. C’est du cas par cas. Et il faut toujours suivre l’évolution des choses après la mise en place d’un S.C.A.P. Comme dirait M. La Maya, on ne sait jamais… Il peut y avoir des surprises.

Le 1e modèle

Devenu un classique, c’est le suivant :

Le 2e modèle

C’est le S.C.A.P. 3C 3T (avec 3 croix et 3 triangles) date de janvier 1987 : il est donné comme absolument universel dans ses effets, c’est-à-dire anti-ondes nocives concrètes (ONC)  et abstraites (ONA).

 Le 3e modèle

C’est le « S.C.A.P. 3T. 3 C. Héb. » : il a été mise en service à partir de mai 1987. C’est une amélioration du précédent. Il comporte en plus 3 lettres en hébreu carré qui représentent les 3 éléments de la Sainte-Trinité (Père, Fils et Saint-Esprit). Il est donné comme très efficace sur tous les plans (y  compris magie et affaires d’ordre spirituel).

Et une variation de ce modèle (intégré dans le symbole solaire) :

Et avant le 4e modèle, il y a probablement eu celui-ci : sans le shin et sans les trois cercles. Celui-ci est en vente (hallucinant!) sur certaines sites.

Le 4e modèle

Ci-dessous : il date de mars 1990 et remplace tous ceux qui l’ont précédé pour ce genre de symbole à effets multiples.

Et le 5e modèle paru en 2003

Mais , c’est pas fini. En voici d’autres encore… Si quelqu’un a des pistes concernant la chronologie de l’évolution des S.C.A.P., n’hésitez pas à partager ces infos avec nous.

Utilisation des symboles compensateurs

En consultant divers sites sur internet abordant les S.C.A.P., on trouve beaucoup de gens qui les connaissent mais peu qui les utilisent.

Pour ma part, j’ai commencé à les utiliser il y a quelques mois, et je dois dire que les résultats sont assez époustouflants. Comme il y a plusieurs modèles (je vous en ai présenté 9 au total, mais peut-être y en a-t-il d’autres?), il faut déterminer au pendule celui qui convient le mieux au problème auquel on doit faire face. Pour cela, une fois que vous avez détecté l’origine du problème ou l’endroit où la perturbation est la plus forte (avec une planche « géodynamètre », par exemple), vous déterminez au pendule toujours, donc par le ressenti, celui qui apportera le plus de bénéfices et le moins d’effets secondaires. Après la pose, vous vérifiez le taux vibratoire : vous l’aviez bien sûr vérifié au préalable! Vous refaites un test au géodynamètre. Tout doit avoir progressé significativement. Si vous n’êtes pas satisfait du résultat, sélectionnez un autre S.C.A.P. et refaites les tests.

Deux exemples

Monsieur Jean

Jean, un monsieur de 84 ans habitant à Chartres est de plus en plus fatigué et a de plus en plus de mal à marcher. Il se plaint de très mal dormir, puisqu’il est réveillé 6 à 7 fois par nuit par des crampes extrêmement douloureuses. Il va plusieurs fois par semaine chez son médecin qui le gave de médicaments mais aucune amélioration en vue. J’interviens chez lui… Je teste la chambre  : elle va bien. Je teste son lit : il va très mal avec un taux vibratoire à 2000 Angströms et le géodynamètre qui ne veut pas monter au-delà de -40. Je regarde sous son lit  et là,  je découvre un enchevêtrement de fils électriques et de multiprises : l’horreur. Mais le pauvre homme, victime du confort moderne, a investi dans un lit électrique qui permet de surélever le haut ou le bas du matelas. Le problème de ce genre de lits est que le moteur se situe à l’aplomb du tronc où se rassemblent tous les organes vitaux et que le corps endormi est particulièrement sensible à cette pollution invisible électrique. J’enlève donc toutes les multiprises et tous les fils qui trainent sous le lit, je déconnecte les prises alimentant les deux moteurs du lit (évidemment , ce ne sont pas des prises de terre, ça aurait été trop beau) et je les rebranche dans le bon sens (sens où le champ de torsion est positif). Vous pouvez vous reporter en ce qui concerne le champ de torsion et les prises à mon article « La fée électricité et ses attaques sournoises » et au paragraphe « Brancher une prise mâle dans la prise femelle ». Je choisis au pendule le S.C.A.P. qui sera le plus bénéfique pour neutraliser la pollution en provenance des moteurs. Je place un S.C.A.P. sur chaque moteur. Et le tour est joué. Dès la première nuit, Monsieur Jean a senti la différence. Il ne s’est réveillé qu’une seule fois avec une toute petite crampe. Voilà bientôt deux mois que j’ai placé ce dispositif et il se sent de mieux en mieux : il dort vraiment mieux et a même retrouvé de l’appétit.

Sylvie

Sylvie habite à Créteil dans un joli appartement assez lumineux, assez agréable de prime abord. Seul inconvénient : les garages abritant toutes les voitures de l’immeuble sont situés juste en-dessous de chez elle. Donc elle vit et dort au-dessus d’un empilement de voitures. Lorsque j’arrive chez elle, la pollution électrique en provenance du sous-sol se retrouve partout. Sous son lit passe un nœud du réseau Hartmann  : la pollution électrique du sous-sol amplifie sa nocivité. Pour harmoniser le lieu, je place un S.C.A.P. choisi au pendule sur le nœud du réseau H. sous son lit. Je refais des tests et vérifie que la pollution électrique n’est plus là. Il y a aussi un pan de mur dans un placard contenant des vêtements qui présente des traces d’humidité et de moisissures. Chaque fois  que Sylvie rentrait chez elle, l’odeur de renfermé l’agressait. Je place un autre S.C.A.P. sur le mur humide et lui demande de le nettoyer pour que l’on puisse constater ou non l’arrêt de la prolifération des champignons. Résultats : Sylvie retrouve un bon sommeil réparateur, le mur humide a séché et l’odeur de moisi a disparu pendant deux mois, mais est en train de revenir. Le S.C.A.P. du mur s’est peut-être saturé, et il faudra le remplacer par un autre.