La bouteille champenoise vide : à consommer sans modération…
Voilà une méthode extrêmement peu coûteuse et très efficace pour harmoniser un lieu perturbé (failles, cours d’eau souterrains, lignes du réseau Hartmann et Curry…), c’est-à-dire pour remettre en parfait équilibre une habitation. C’est peut-être parce qu’il ne rapporte rien à personne (en termes financiers) que cette méthode est peu répandue.
La bouteille champenoise selon André Philippe
Jacques La Maya en donne une première version dans son livre Médecine de l’Habitat, qu’il emprunte à André Philippe.
Le système consiste à faire le plan du rez-de-chaussée d’une maison ou tout simplement le plan d’un appartement, plan le plus précis possible avec des traits bien nets. On réduit ensuite ce plan de sorte qu’il puisse tenir exactement sous le fond incurvé d’une bouteille champenoise, vide, propre et bouchée, sans étiquette de marque.
Pour un travail à distance, on oriente le plan dans le même sens que l’habitation. Pour un travail sur place, on oriente le plan parallèlement aux murs de l’habitation.
On installe plan et bouteille sur un meuble ou une étagère, en tout cas, pas au fond d’un placard. Ce système est simple et ne se sature jamais.
M. La Maya précise que la loi qui joue dans ce système est à énoncer comme suit : « Un plan donne la représentation exacte de tous les rayonnements existants à l’endroit dont il est la représentation graphique. Réciproquement, on peut créer ou annuler à partir de ce plan un rayonnement quelconque à l’endroit lui-même. »
L’avantage de cette méthode par rapport à celle figurant ci-dessous est que vous n’avez pas besoin d’être radiesthésiste pour l’utiliser. On peut placer le plan n’importe où, pourvu qu’il soit correctement orienté par rapport à l’habitation à laquelle il se réfère. Cela dit, n’oubliez pas que chacun d’entre nous est un radiesthésiste en devenir.
Je l’ai utilisé récemment pour harmoniser la maison d’une amie qui présentait des troubles du sommeil depuis son installation dans sa nouvelle maison, c’est-à-dire depuis un an et demi. Dés le premier soir de la mise en place de la bouteille (travail à distance), elle en a ressentie les effets : c’est la première fois qu’elle dormait d’un sommeil qu’elle qualifia de profond et réparateur.
La bouteille champenoise selon Jean de La Foye
Jean de la Foye donne une méthode quelque peu différente dans un article publié dans la sur le site de Jean Uguen.
« Nous souhaitons à tous d’essayer la champenoise avec profit. La bouteille champenoise ou ses équivalentes sont des bouteilles à forme extérieure douce avec un culot bien accusé. Elles sont fort intéressantes pour le radiesthésiste qui sait les utiliser.
Le goulot est négatif et appelle le ( + ) cosmique. Le culot est positif et s’oppose au (-) provenant du centre de la terre.
La bouteille seule, vide et débouchée, posée verticalement sur une » ligne à menhirs « , rétablit un équilibre de forme de l’environnement à condition de choisir l’emplacement au millimètre près sur l’axe de cette ligne. Celle-ci est le siège de courants électriques d’origine naturelle, très faibles mais réels, de l’ordre de quelques micro-ampères ou dizaines de micro-ampères. (…)
Vous vous demandez peut-être comment trouver l’emplacement où mettre la bouteille ?
Après avoir repéré la zone à menhirs avec le pendule hébreu LH, vous vous déplacez en tenant la bouteille suspendue verticalement par le goulot tenu entre pouce et index de la main libre. Lorsque le pendule ( + ) réagit au-dessus de la bouteille, vous êtes proche de l’emplacement idéal qui provoque le » Shin » à l’endroit au-dessus de tous les vivants qui se trouvent dans le rayon d’action de la bouteille.
Maintenant, remplissez d’eau une bouteille champenoise et posez à plat sur le goulot débouché un papier ou un carton où vous avez dessiné à l’encre noire une forme émettrice, par exemple de V+M, R.M., V-M, etc. Vous constaterez avec un pendule spécialisé (universel, équatorial, peu importe) que l’eau se charge de la « couleur » jusqu’à saturation.
Cela m’a conduit à remplacer le papier par une grosse bille en verre, matériau non polarisé ni magnétique. Cette sphère sans préférence particulière est en résonance permanente avec les données globales de l’environnement immédiat ou lointain. Toute sa surface est le siège d’un LYLH. ( NDLR : c’est de l’hébreu, pour moi)
Autrement dit, la bille résume tous les équilibres de la sphère Chaumery – de Bélizal, mais, sans pôles ni équateur fixes, elle capte en pleine disponibilité.
Posez cette bille en verre de deux à trois centimètres de diamètre, qu’on trouve dans tous les magasins de jouets et que les enfants appellent « boulet « , sur le goulot débouché d’une bouteille vide verticale, vous constatez que nombre de nocivités ont disparu. Des polarités se sont remises dans le bon sens, mais, cependant, si l’ambiance obtenue s’est améliorée, elle n’est pas parfaite lorsque vous l’étudiez avec des appareils de mesure précis. C’est un compensateur approché, qui le restera toujours plus ou moins. Car il est pratiquement impossible de maintenir en permanence les conditions d’une perfection, l’outil lui-même et sa verticalité restant en dehors des normes de précision requises.
Posez maintenant votre bille sur une » Champenoise » débouchée remplie d’eau. Votre pendule LYLH réagit au-dessus de la bouteille pendant toute la durée de la charge due à la bille, c’est-à-dire pendant quelques minutes.
Versez quelques gouttes de cette eau ainsi » dynamisée » sur un témoin de vivant, vous lui faites émettre au-dessus le » Shin » à l’endroit pendant quelques instants, ainsi que le LY Nord-Sud, le LH Est-ouest et le rayon guérisseur vers le sujet. Autrement dit, ce témoin a été rendu provisoirement en bonne santé.
De là à faire boire cette eau, le pas est vite franchi. Une femme victime d’un eczéma rebelle a vu ses démangeaisons disparaître en une nuit après avoir bu un verre de cette eau.
Un garçon de onze ans faisait de dix à quinze crises nerveuses par jour à la suite d’un traumatisme d’ordre affectif. L’eau dynamisée par la bille a, dès le lendemain, ramené le nombre de crises à quatre ou cinq. Maintenant, comme me l’a écrit le docteur traitant, l’enfant ne fait plus de crises et se remet lentement mais régulièrement.
Ce sont là des cas spectaculaires dont il ne faut pas espérer d’emblée la reproduction. Il semblerait que cette eau agisse en premier sur les troubles nerveux, mais il y a fort à penser, qu’à terme, elle puisse soulager d’autres malades et aider l’action purement médicale en ramenant un équilibre provisoire à chaque absorption.
Ce n’est pas une eau inoffensive. En effet, prise d’emblée en trop grande quantité, elle a causé des vertiges, insomnies et palpitations, troubles mineurs et apparemment sans danger grave. Il faut donc au début se montrer prudent et s’adapter progressivement à des doses de plus en plus fortes jusqu’à faire de ce liquide l’eau de boisson habituelle.
Notez que, bille enlevée, l’eau se décharge peu à peu, en quelques heures ou en quelques jours suivant l’intensité lumineuse de l’environnement.
Quant à la bille elle-même, il est très possible et même probable que sa couleur, son matériau aient de l’importance. Ce sera vous, amis radiesthésistes, qui pourrez mener cette étude à bien. Personnellement, je pense qu’une sphère en cristal transparent incolore serait la meilleure bille à usage universel.
Lorsque vous obtiendrez des résultats, ne manquez pas d’en faire part à votre revue, car c’est par la confrontation de multiples essais dans les conditions les plus diverses qu’une doctrine d’emploi pourra se faire jour. »
Conclusion
Ne jetez plus vos bouteilles champenoises vides. Apportez-les aux géobiologues qui se trouvent à côté de chez vous. Elle pourront apporter à d’autres d’immenses bienfaits .