Cholestérol, le grand bluff

Chères lectrices, chers lecteurs,

Bon cholestérolMerci de prendre le temps de regarder ce documentaire sur le dogme du cholestérol, le dogme du danger des graisses, sur toutes les manipulations de la part des « scientifiques », de l’industrie pharmaceutique et agro-alimentaire, qui ont été faites depuis plus de 50 ans pour nous faire avaler différentes pilules : statines, margarines hydrogénées, dans le seul but de faire tourner leur business. Car le temps de toutes ces balivernes sur le bon et le mauvais cholestérol est désormais fini, même si certains d’entre nous, d’entre vous, ont été tellement endoctrinés qu’ils auront du mal pour encore quelque temps à imaginer que la réalité puisse être différente.

Merci aussi d’encourager le plus grand nombre de personnes autour de vous à le visionner.

Bon cholestérol à tou-te-s!

Vous pouvez regarder ce documentaire à cette adresse jusqu’au 25 octobre 2016! Ne le ratez pas!

http://future.arte.tv/fr/cholesterol

Cholestérol, le grand bluff, un documentaire d’Anne Georget (France, 2016, 83 min.), diffusé le 18.10.2016 à 20h50

Le cholestérol, que tout un chacun se représente comme un excès de mauvaise graisse dans l’organisme, est désigné à la vindicte médicale et populaire depuis les années 1950 comme responsable des maladies cardio-vasculaires qui terrassent jeunes et vieux avant l’heure. Or, un nombre croissant de chercheurs en médecine dénoncent ce qu’ils considèrent comme un vaste mensonge, façonné à la fois par une série d’approximations scientifiques et par de puissants intérêts économiques, de l’industrie agroalimentaire d’abord, des laboratoires pharmaceutiques ensuite. Les facteurs avérés de risque, affirment ces recherches convergentes, sont en réalité le tabac, l’hypertension, l’obésité et le manque d’exercice. Mais depuis la mise sur le marché, en 1993, de nouveaux traitements anticholestérol, les statines, une écrasante majorité de médecins mise sur leur prescription avant toute autre mesure préventive. Consommées par 220 millions de patients à travers le monde, les statines sont devenues en quelques années le médicament le plus vendu dans l’histoire de la médecine. Or, les fabricants eux-mêmes commencent à reconnaître qu’elles peuvent entraîner des effets secondaires graves, tels que des douleurs musculaires, des problèmes hormonaux, des pertes de mémoire, des dépressions et aussi, selon des études récentes, le déclenchement d’un diabète. Une reconnaissance tardive qui, étrangement, intervient alors que les derniers brevets en la matière tombent dans le domaine public et qu’une nouvelle molécule anticholestérol s’annonce.

Pour démonter ce qui a constitué pendant plus d’un demi-siècle un dogme inattaquable, Anne Georget donne la parole à une quinzaine de spécialistes – chercheurs en médecine, cardiologues, journalistes médicaux, nutritionnistes… – qui expliquent à la fois ce que l’on sait du cholestérol et réfutent, études à l’appui, ce qu’ils estiment être des conclusions scientifiques biaisées. Ainsi le physiologiste américain Ancel Keys, qui, le premier, avait attribué à la surconsommation de graisses saturées la stupéfiante épidémie d’accidents cardio-vasculaires survenue dans les années 1950 dans certains pays occidentaux, a-t-il délibérément passé sous silence les contre-exemples statistiques. Tandis que les études cliniques des statines ont été financées à 80 % par les laboratoires qui avaient le plus intérêt à ce qu’elles s’avèrent positives.

Maladies à vendre sur Arte le 08/11/2011

Je rediffuse cette info (merci Arte) afin qu’un maximum de personnes puissent avoir accès à ces vérités. Le monde change et les consciences s’ouvrent. Rendez-vous sur Arte ce soir. L’émission sera bien sûr rediffusée.

Maladies à vendre

Le 8 novembre 2011 à partir de 20h40

Symptôme alarmant, le scandale du Mediator révèle que les intérêts économiques prennent aujourd’hui le pas sur les impératifs de santé publique. Notre médecine est-elle irréversiblement gangrenée par le marketing ? Enquêtes.

Annie-Claude Elkaim

zoom

© Eric Garault

Annie-Claude Elkaim

Une soirée présentée par Annie-Claude Elkaim

20h40 – MEDIATOR
Histoire d’une dérive

Une enquête rigoureuse sur le scandale des laboratoires Servier et les conflits d’intérêt qu’il a révélés au cœur de notre système de santé.
Le 30 novembre 2009, le Mediator, créé par le groupe Servier, prescrit dans le traitement du diabète mais aussi vendu comme coupe-faim, est retiré du marché après trente-trois ans. Douze ans plus tôt, l’Isoméride, produit par le même laboratoire, avait été interdit en raison des risques pulmonaires et cardiaques induits pour le patient. Comment Servier a-t-il pu commercialiser aussi longtemps le Mediator, causant de 500 à 2 000 morts et infligeant à des milliers de patients de graves séquelles ?

Comme le démontre cette enquête, sur la base de témoignages et de documents en partie inédits, ce médicament n’aurait jamais dû être autorisé, le laboratoire ayant dès 1976 ignoré une étude niant son efficacité. Mais il n’est pas l’unique responsable. Alors que les signes de danger se multipliaient dans les années 1990, l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), noyautée par l’industrie pharmaceutique, n’en a tenu aucun compte. Remboursé par la Sécurité sociale à 65 %, pour un prix de 5 euros, le « coupe-faim du pauvre » a continué d’empoisonner des milliers de personnes. Et sans la franc-tireuse Irène Frachon, pneumologue au CHU de Brest, qui a bataillé deux ans devant l’Afssaps pour faire reconnaître les preuves médicales qu’elle avait accumulées, il sévirait encore.

L’ARBRE ET LA FORET
Méthodiquement, Bernard Nicolas et Kader Bengriba (France Telecom, malade à en mourir, diffusé en 2010 par ARTE) explorent le long règne du Mediator. Symbole d’une industrie pharmaceutique en mal d’éthique, le scandale a donné lieu à une réforme censée ouvrir une ère nouvelle, présentée cet automne à l’Assemblée. Mais comme le rappelle Irène Frachon, la « démocratie sanitaire » n’est pas encore advenue. Quelles autres victimes cache « l’arbre » Mediator, alors que les « accidents » médicaux se chiffrent à plusieurs milliers de morts par an ?

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Documentaire de Bernard Nicolas et Kader Bengriba
(France, 2011, 52mn) ~
Coproduction : ARTE France, Impact Presse

>> Regarder des extraits de ce programme
>> Ce programme sera disponible sur ARTE+7

21h30 – DEBAT

Animé par Annie-Claude Elkaim.
Invités : Irène Frachon, pneumologue au CHU de Brest et auteur du livre « Médiator 150 mg : Combien de morts », Michel Labro, Directeur de la rédaction du Nouvel Observateur, Markus Grill, journaliste d’investigation spécialisé dans les affaires de collusions, de copinages, de lobbying, de corruption  dans  le milieu  du médicament en Allemagne.

21h45 – MALADIES A VENDRE

Comment l’industrie pharmaceutique fabrique des malades à grand renfort de marketing avec la complicité des autorités et des médecins.
Jusque dans les années 1980, l’industrie pharmaceutique orientait ses efforts vers la guérison des maladies existantes, même si les pathologies affectant les populations pauvres, comme la malaria, étaient négligées parce que peu rentables. Désormais, pour garantir leurs retours sur investissement et recycler leurs médicaments, les firmes inventent des pathologies, si possible chroniques. Une publicité déguisée en information médicale, doublée d’un intense lobbying, se charge de les « vendre » au grand public et aux praticiens. Ce film – auquel l’industrie a refusé de participer – démonte les mécanismes d’une médecine sous l’emprise du marché.

Le marketing du diagnostic
Comment augmenter la consommation de médicaments ? En abaissant par exemple la norme du taux de cholestérol afin de promouvoir des molécules, qui, prises sans nécessité, comportent des risques sanitaires. Ou en décelant dans la population féminine une nouvelle forme de dépression cyclique (le « syndrome dysphorique menstruel »), traitée avec une version recyclée du Prozac. Au Japon, la dépression constituait un état rare, mais d’astucieux stratèges ont popularisé le concept de « rhume de l’âme » et fait décoller le marché des antidépresseurs. Une analyse décapante qui permet de mesurer, de spot TV en site « d’information », le marketing du diagnostic et son pouvoir.

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Documentaire d’Anne Georget (France, 2011, 55mn)
Coauteurs : Mikkel Borch-Jacobsen et Anne Georget
Coproduction : ARTE France, The Factory

>> Ce programme sera disponible sur ARTE+7

Maladies à vendre
mardi, 8 novembre 2011 à 20:40
Rediffusion : vendredi 11 novembre à 10H00 et jeudi 1 décembre à 02H10
(France, 2010, 105mn)
ARTE F

Notre poison quotidien, de Marie-Monique Robin

En guerre contre l’industrie agro-alimentaire et l’industrie chimique.

Après l’incontournable « Le monde selon Monsanto » dénonçant les méfaits des OGM sur la vie des agriculteurs et sur la biodiversité,  le nouveau documentaire de Marie-Monique Robin « Notre Poison quotidien » sera diffusé sur Arte mardi 15 mars à 20h40. Elle s’attaque aux divers produits chimiques que nous ingérons quotidiennement  : conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et aussi aux matières plastiques avec lesquelles beaucoup d’aliments sont en contact.

Une projection du film est organisée le jeudi 17 mars, à 18 heures, par le Mouvement des Générations futures au 184 rue de Grenelle, à Paris.

Si vous voulez en savoir plus avant la semaine prochaine, allez faire un tour sur le site d’Arte et sur le blog de Mme Robin.

Pour revoir le documentaire en intégralité, cliquez ici.

Ce titre « Notre poison quotidien » me rappelait vaguement quelque chose.

Etait-ce dans la prière, le Notre Père,  « Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien »?

Oui, c’était ça, mais aussi et surtout, ça me rappelait ce film impressionnant  « Notre pain quotidien »  du documentariste autrichien Nikolaus Geyrhalter sorti en 2005. Un film muet, sans aucun commentaire, d’une froideur étonnante, qui montre l’horreur fascinante de notre industrie agro-alimentaire. Vous pouvez le regarder en intégralité en cliquant ici.

Pour en savoir plus sur la pollution chimique et les effets sur la santé, allez faire un tour sur le site de SOS MCS.